Capital naturel

négative. Ce qui n’est économiquement pas logique. La compta nationale a donc plusieurs choix : elle peut distinguer les indemnités normales des indemnités exceptionnelles (marées noires, grandes tempêtes) considérés alors comme des transferts de capital ; ou alors elle peut lisser ces indemnités exceptionnelles sur plusieurs périodes. c) 2ème composante : la PEFP (Production pour Emploi Final Propre) C’est une prod non marchande. Innovation qui ne concerne quasiment que les ménages (99% de la PEFP)

publiques de l'État et des collectivités locales, et d'autre part les entreprises dont au moins 51 % du capital social est détenu par l'État ou des administrations nationales, régionales ou locales. Définition secteur privé : C’est le contraire du secteur public. L’État n’intervient pas ou peu. La privatisation d’une entreprise est un transfert d’une partie ou de la totalité du capital d’une entreprise du secteur public au secteur privé (En quelque sorte, l’État rachète l’entreprise). Suite

l’industrie locale) politique industrielle ( former un tissu industriel national et encourager les marchands à la création d’entreprises locales) II- Les physiocrates : Les physiocrates sont libéraux non interventionnistes, ils laissent faire l’ordre naturel en respectant la propriété privée et la liberté de faire du commerce. 1) Principaux apports des physiocrates : PN = PG – Avances ( primitives + annuelles) * Notion de richesse : c’est ce qui reste après avoir assuré la reproduction, cette

économique ? * Comment peut-on mobiliser les ressources nécessaires ? * Faut-il craindre un processus de croissance infinie ? Enjeux : * Comprendre la diversité des facteurs de croissance  : elle dépend de facteurs économiques ( travail, capital, progrès technique) mais aussi de facteurs institutionnels * Savoir appréhender les limites de la croissance, notamment la limite écologique, ce qui conduit à relativiser sur l’importance de cet objectif macro-économique qu’est la croissance

Chapitre 1 : Adam Smith, Economie de marché et profit. * Smith croit en un ordre naturel, favorable au « laissez-faire ». Il s’appuit sur la philo, la morale, l’histoire et la religion pour faire de l’économie. L’homme va décider et déterminer l’échange. Le lien social entraine l’échange et l’échange crée la société et donc du lien social. Libéralisme économique = libère les échanges. I- La division du travail et l’échange. 1) « Les choses nécessaires à la vie » Richesse :

par l'accumulation de marchandise ». a) Argent et capital Capitaliste et bourgeois c'est la même chose Bourgeois : vie du capital Ce qui va permettre de définir le capitaliste bourgeois c'est la source de ses revenues qui le Capital mais tout les gens riche ne sont pas des capitalistes donc l'argent n'est pas forcément du capital. Pour les économistes ce qui permet de définir les grandes classes sociales c'est leur source de revenu. Le Capital est une ressource de revenu spécifique. ARGENT

trente glorieuses (1945-1975) avec de fortes mutations sociales et technologiques. Depuis 1975, la croissance s’est essoufflée. Les experts du club de Rome en 1970, avaient prédit un épuisement de la croissance relatif à l’épuisement des ressources naturelles (surtout énergétiques) fortement influencé par le premier choc pétrolier 1973. Or cette crise est structurelle, le problème structurel est lié à la saturation de la consommation. C’est la consommation qui tirait la croissance. Depuis 1980 on réfléchit

Les ressources naturelles Les ressources naturelles ne sont pas gratuites car elles sont rares et il faut les exploiter. Une double enegalités existe entre économies : -certaines économies sont largement dotées et en tirent des rentes de situation (cas des pays du golf persique dans le pétrole) -D’autres par contre sont spécialisées dans des activités fortement consommatrices de ces sources naturelles (la plupart des pays développés.) 3- Le capital technique Le terme capital peut être pris

et éléments de management L’entreprise sous 3 optiques : économique, juridique, et humaine OPTIQUE ECONOMIQUE: 1. une unité de production Qui comprend des bâtiments, des machines (moyens de production), des personnes qui y travaillent (capital humain) - Combine des facteurs de production de la manière la plus productive possible afin que le rendement de son activité soit la plus grande possible. La production doit dépasser l’input afin de lui garantir un profit 2. Une unité de

Section II Section III Section IV Section V Section VI Section VII Chapitre II De la rente de la terre Chapitre III Du profit foncier des mines Chapitre IV Du prix naturel et du prix courant Chapitre V Des salaires Chapitre VI Des profits Chapitre VII Du commerce extérieur Chapitre VIII De l’impôt Chapitre IX Des impôts sur les produits naturels Chapitre X Des impôts sur les rentes Chapitre XI De la dîme Chapitre XII De l’impôt foncier Chapitre XIII Des impôts sur l’or Chapitre XIV Des impôts sur les maisons