Capital naturel

de croissance effectif g : correspond à celui qui se réalise réellement. Il dépend du rapport entre l’épargne constatée et le coefficient de capital : cette égalité est nommée équation fondamentale de la croissance. g le taux de croissance : g = s/v v : le coefficient de capital : rapport entre le capital fixe et le montant de la production. Part du capital dans la production. Il exprime l’état de la technologie. 2) le taux de croissance garanti (justifié) gw : il assure l’équilibre entre l’épargne

Quels sont les déterminants de la croissance ? Force et faiblesses du modèle Français ? Plan : Introduction I – Les déterminants de la croissance. A – Les déterminants traditionnelles. Les ressources naturelles. Le Capital humain et le travail. L'accumulation du capital et l'investissement B- Les autres déterminants. Le progrès technique. Les facteurs sociologiques et institutionnelles. II – Les Forces et Faiblesses du modèle Français. A – Les forces du modèle

sources primitives de tout revenu et de toute valeur d’échange sont le salaire ou l’entretien des ouvriers, et des bêtes qui aide à produire l’ouvrage, le profit de l’entrepreneur et la rente du propriétaire du lieu de production Chapitre VII : Prix naturel des marchandises et prix de marché 1. Présentez les caractéristiques, dans chaque société ou localité, des salaires, du profit, des fermages. Dans chaque société ou localité, il y a un taux moyen ou ordinaire pour le profit, les salaires ainsi

la richesse chez les classiques. La richesse est le flux des produits obtenus par le travail de la nation au cours d’une période, l’année par exemple. La création des richesses se fait donc par la production qui nécessite les facteurs travail et capital. L’accroissement des richesses, donc l’enrichissement, se fait par la croissance du potentiel productif par rapport à sa simple reproduction. Le surplus est la différence entre la production annuelle totale et la part qui doit en être déduite pour

qualification) - Le capital (tous les moyens de production durable et parfois les consommations intermédiaires) - Les ressources naturelles (ex : la terre) Productivité : Sert à mesurer l’efficacité des moyens de production. Elle s’exprime soit en unité monétaire (=la valeur) soit en physique Gains de productivité : taux de variation de la production A/ La contribution des facteurs de production à la croissance 1. Le facteur travail: les hommes Certains économistes parlent plutôt de capital humain

production : le travail, rémunéré par le salaire, dont la division est synonyme de spécialisation et de productivité accrue ; le capital, qui fournit un profit et provient de l'épargne et donc du revenu des particuliers ; la terre, dont le propriétaire perçoit la rente. Il en résulte que le montant du produit est fonction de la quantité et de la qualité du travail mis en œuvre par le capital, que le coût de production d'un bien est formé de salaires, de profit et de rente (le produit du travail n'appartient

problèmes peuvent être résolus à savoir le chômage, les déficits budgétaire et commercial, la pauvreté, l’exclusion et la discrimination. Avec la montée en puissance des préoccupations écologiques (réchauffement planétaire, épuisement des ressources naturelles, biodiversité…), la croissance économiques commencent commence à suivre une nouvelle logique de plus en plus propre et non polluante : il s’agit autrement dit de la recherche de la croissance économique dans le cadre d’un développement propre et

Partie 1 - L’accumulation du capital et la question de la surproduction Chapitre 1 - Loi des débouchés selon les Classiques I Le cercle vertueux du capital Pour tous les classiques (fin du 18iè jusqu'au début du 20iè), sous réserve que le libéralisme prévaut, il existe un cercle vertueux d'accroissement des richesses: l'accumulation du capital engendre la croissance, qui augmente les revenus et donc le taux de profit, qui lui augmente l'accumulation du capital etc. Selon les classiques l'épargne

17 en conclure que « les profits sont déterminés par la difficulté ou la facilité à se procurer de la nourriture » [ Ibid ., p. 4]. Cependant, l’accumulation du capital n’agit pas seulement sur le niveau du taux de profit, elle exerce aussi une influence sur les prix en modifiant les conditions de production des marchandises. « Si de nouvelles difficultés apparaissent dans la production du blé, nous dit Ricardo, lorsque plus de travail devient nécessa ire, tandis qu’il ne faut pas plus

Introduction : Quand Smith définit le prix naturel comme la somme des salaires, des profits et des rentes qu’il faut payer pour produire une marchandise et l’apporter sur le marché, on a le sentiment qu’il propose une théorie additive des prix. Il n’en est pas ainsi car les revenus monétaires des facteurs de production dépendent, eux-mêmes, des prix. Il faut déterminer, simultanément, les prix et les revenus. La thèse de Smith est que la répartition du produit dépend principalement de deux éléments