Caracteres Humains Animaux Fables Lafontaine

de la Raison. Autrement, est ce que c’est la fantaisie qui perturbe la dissolution de la Raison dans les fables Delafontaine et est ce qu’elle empiète négativement sur l’idée que reçoit le lecteur. Et fondamentalement, est ce que la fantaisie est vraiment nécessaire, ou est-ce que l’on peut plutôt s’en passer pour marquer la priorité de la Raison et mener à bien l’objectif argumentatif des fables ? Ou inversement, est ce que la Raison ne peut exister que sans la fantaisie ?Nous commencerons par montrer

que nous allons étudier en deux grandes parties, premièrement avec la présentation de l'apologue comportant sa définition, son histoire et ses fonctions. Deuxièmement nous verrons ses diffèrentes formes possibles, avec pour principaux exemples les fables, les paraboles, les comptes philosophiques ainsi que. I. Présentation de l'apologue. 1) Définition L'apologue est un discours narratif, qui porte une visée argumentative et didactique. Il est très souvent allégorique. Il est rédigé en vers

_La question de l’Homme dans les genres de l’argumentation Introduction – fables La première moitié du 17ème siècle voit l’avènement du style baroque, coincidant avec une instabilité politique, religieuse, la fronde… Le baroque fait preuve de goût pour l’illusion, les apparences, pour le mouvement, et rappelle la fragilité de la vie. On peut trouver dans le baroque un certain goût pour la métaphore, la préciosité(qui d’ailleurs au départ était un mouvement respectable avant d’être tourné en dérision

La Fontaine, « Les animaux malades de la peste » La fontaine (1681-1696) est un écrivain du 17ème siècle, siècle du classicisme, il est surtout connu pour son recueil de Fable paru en 1678. Dans ses fables, LaFontaine peind les défauts humains ou critique la société de son époque. Ainsi dans la fable les animaux malades de la peste il dénonce les puissants et la justice de son époque. Nous verrons comment LaFontaine mène sa critique en voulant à la fois plaire et instruire. Nous cerneront l’art

LA VALEUR MORALISATRICE CHEZ J.DE LAFONTAINE La morale (du latin moralitas, « façon, caractère, comportement approprié ») désigne l'ensemble des règles ou préceptes relatifs à la conduite, c'est-à-dire à l'action humain. Ces règles reposent sur la distinction entre des valeurs fondamentales : le juste et l'injuste, ou plus simplement le bien et le mal. C'est d'après ces valeurs que la morale fixe des principes d'action, qu'on appelle les devoirs de l'être humain, vis-à-vis de lui-même ou des autres

et nouvelles en vers", puis c'est la première édition des Fables en 1668, dont les six livres ont un retentissement immédiat. LaFontaine ne cesse, après cela, d'écrire se consacrant aux fables. Il mourra donc à l'age de 74ans. La Fontaine reconnait qu'il imite ces grands prédecesseurs. Son illustration se fait réaliste ou poétique, de façon animalière, caricaturale ou colorée. Des supports mordernes s'intéressent eux aussi aux Fables : la publicité les a utilisées et d'une certaine façon le

dresser le bilan d’une situation en exposant différents points de vue à l’aide d’arguments logiques et d’exemples. D’autre part, l’argumentation indirecte est une argumentation implicite, qu’il faut déduire d’un récit ou d’un discours. Cela concerne les Fables ou les apologues, qui sont des récits plaisants et divertissants qui ont pour but de délivrer une leçon de morale. Dans Candide, Voltaire cherche à s’attaquer à la thèse de Leibniz, laquelle énonçant que tout va pour le mieux dans le meilleur

forger la vision d’un enfant et l’éduquer à la vie, on a souvent recours à des histoires peuplées de personnages fictifs qui vivent des aventures extraordinaires. Malheureusement, avec l’âge, ces histoires perdent tout intérêt. Des auteurs comme Lafontaine ou Voltaire ont compris la force de l’argumentation dans la fiction. On appelle cette forme de l’argumentation, indirecte ou implicite. L’auteur n’argumente pas personnellement, mais à recours à la fiction pour faire passer son message. L’auteur

Jean de Lafontaine, Les obsèques de la Lionne, Fables Introduction : La Fontaine a commencé à écrire sous le règne de Louis XIV. Cette fable est tirée du second recueil, publié en 1694. L'une de ses protectrices était Mme de la Sablière. C'est par les contes, puis par les fables, sur le tard, que La Fontaine a connu la gloire. Le second recueil est dédicacé à Mme de Montespan. Les fables de ce recueil sont plus philosophiques, plus longues que celles du premier. dans cette fable, LF notamment du

tendance de flatter le roi, Lafontaine parvient à exprimer ses idées .En effet, derrière, Les fables, son œuvre majeure, se cache une critique de la société de son époque. Le cerf, contrairement aux courtisans ne pleure pas la lionne disparue.A la colère du roi et aux chatiments qu’il lui promet, le cerf répond en inventant un songe où la lionne l’a dispensé de pleurer.En définitive , le cerf obtient même un cadeau.Les obsèques de la Lionne est la 14ème fable du livre 8 des Fables, c’est une reprise de