Caracteristique De Courant Mercantiliste

conciliation entre l'efficacité économique et la justice sociale. LES COURANTS DE LA PENSÉE ÉCONOMIQUE La réflexion économique apparaît chez les philosophes grecs (Aristote et Platon) qui étudie la gestion domestique puis celle de la cité. Au moyen age c'est la morale chrétienne qui inspire la pensée économique. Entre le 16ème et 18ème siècle, les mercantilistes rendent la réflexion économique autonome mais ne constituent pas encore un courant économique structuré. Au milieu du 18ème siècle, les physiocrates

des préoccupations environnementales et l’émergence du développement durable: 5 IV) Les rapports entre la technique et l’éthique : 5 V) Les questions de démographie : 6 Chapitre 1 : d’une brève histoire des échanges internationaux aux caractéristiques de la mondialisation actuelle : 7 I) Une brève histoire des échanges internationaux : 7 A) L’Antiquité et la domination de l’espace méditerranéen : 7 B) Le moyen âge : le temps des marchands, des foires et du développement de la monnaie :

Habsbourg. Henry IV Louis XIII •Durant le règne de Louis XIV (1643-1715), la France était la puissance politique, économique et culturelle dominante en Europe grâce aux achats de l'Espagne avec les métaux précieux de son empire et à la politique mercantiliste initiée par Fouquet et surtout Colbert . Colbert (1619-1683) - ministre de l'économie, ministre du budget et ministre des finances. Pour résorber le déficit chronique, il réorganise le système fiscal en protectionnisme accru et mercantilisme il

Chapitre 3 : L'environnement de l'entreprise Section 1 : Analyse de l'environnement de l'entreprise § 1- Les niveaux d'environnement § 2 - Les partenaires de l'entreprise § 3 - Les domaines-clés de l'environnement § 4 - Les caractéristiques de l'environnement actuel Section 2 : Concurrence et complémentarité des entreprises § 1 - La concurrence entre les entreprises § 2 - La complémentarité des entreprises Section 3 : L'influence de l'entreprise sur son milieu

exemple ne sera d’aucune utilité à l’anthropologue qui veut comparer les formes que revêtent les groupes de parenté dans des civilisations différentes .Inévitablement, un écart se crée entre tout essai de définition rigoureuse d’un concept et l’usage "courant" d’un mot. Ainsi s’explique la tentation de recourir à des néologismes ou à des latinismes (diffusionnisme, habitus, avunculat,…..), à des changements de genre(le politique, le symbolique)ou encore à l’introduction de guillemets(<<primitif>>

banques émis par la banque centrale ainsi que les dépôts à vue dans les banques ou autres organismes financiers équivalents. II : les formes de la monnaie La monnaie peut prendre plusieurs formes. Cependant toutes doivent répondre à certaines caractéristiques afin de pouvoir être utilisées comme moyen d’échange. On distingue donc la monnaie fiduciaire de la monnaie scripturale et de la dématérialisation de la monnaie 1) La monnaie fiduciaire : Elle est constituée de monnaie métallique appelée

longtemps. La prépondérance du pouvoir industriel prend s’est manifestée au moment de la révolution industrielle. Le pouvoir financier remonte encore plus loin si l’on considère les premiers marchands et leurs maisons de commerce à la période mercantiliste; l’état-nation moderne comme système organisationnel est une création de la même période. Les médias sont plus récents, mais ils ont de tout même exercé une influence notable dès la fin du XIXe siècle. Alors, si l’ensemble des acteurs ont exercé

marquées par une stabilité et une durée relative. Ex : « Les coutumes sont des institutions « Oliver North (Prix Nobel) A. Rappel historique Depuis l’Antiquité, l’or et l’argent se sont imposés naturellement comme monnaie du fait de leurs caractéristiques intrinsèques (rareté, durabilité, divisibilité, …). Dès le Moyen Age, les banquiers remettent des reçus aux clients qui leurs remettent de l’or et de l’argent. Ces reçus, qui sont nominatifs, commencent à circuler dans l’économie mais ils

s’étendre jusqu’à former le marché planétaire. Il y a une vision communément admise, l’histoire et l’anthropologie sont deux disciplines remisent en cause à travers les acquis cette représentation du développement. Il y a aussi une projection des caractéristiques de l’économie de marché, SMITH aurait pensé à l’économie à l’aune de la société ce qui lui confère un caractère évolutionniste et européanocentriste qui s’inspire du modèle biologique. Cf. Ouvrage « La grande transformation » de Karl POLANYI

nations : — Elle se circonscrit à des nations « similaires » ou qui le deviennent : les firmes se transnationalisent en reproduisant le modèle économique qu’elles ont construit dans leur pays d’origine, donc en ciblant des pays d’accueil ayant des caractéristiques adéquates à ce modèle. La croissance économique et la spécialisation accrue des pays concernés induisent alors des investissements croisés entre ces pays qui sont à la fois pays d’origine et d’accueil. Cette forme de mondialisation des firmes