Caracteristiques De Creon

cynique de Petits Classiques Larousse - 2 – Ubu roi de Jarry Caligula et renoncement désespéré de Créon), tous le font apparaître comme : - un moyen de s’enrichir : Ubu rappelle à plusieurs reprises que c’est là l’unique but de sa politique : « je vais faire périr tous les Nobles et prendre leurs biens », « Eh ! je m’enrichis ». De même pour Caligula : « Gouverner, c’est voler ». Quant à Créon, s’il ne prend pas cette attitude à son compte, il est bien obligé de constater que « l’équipage ne pense

celui, ceux (masculin), celle, celles (féminin) -des formes composées avec –ci (=ce qui est proche ou ce qui suit) et –là (= ce qui est loin ou ce qui précède), ex: celui-ci, celle-là -des formes neutres: ce, c’, ceci, cela, ça C’est l’édit de Créon qui a été la conséquence de cette tragédie. 3.Les pronoms possessifs Leurs formes varient selon la personne du possesseur et selon le genre et le nombre du nom que les pronoms remplacent. C’est un mot qui représente le nom en désignant le possesseur

La tragédie grecque est une manifestation caractéristique d'Athènes du Ve siècle avant J-C. C'est vers 534 que le premier concours tragique des Dionysies à lieu. En effet, la tragédie naît des célébrations religieuses faites pour Dionysos (dieu de la vigne, du vin et de ses excès). En plus d'être basée sur Dionysos, la tragédie présente un personnage en situation de victime, qui est confronté aux drames de la destinée humaine et à des forces qui le dépassent : les Dieux eux-mêmes. De plus, à cette

idée en tête : « refuser et mourir ». Antigone avoue, dans sa lettre écrite par le garde, qu’elle a peur, que Créon avait raison et qu’elle ne sait pas pourquoi elle meurt, ce qui révèle que l’acte d’Antigone est absurde et vague. Antigone représente la révolution française face à la colonisation allemande représentée par le tyran « Créon ». Antigone a dit, au début de sa conversation avec Créon, qu’elle a tenté d’enterrer son frère par devoir, mais à la fin, elle avoue qu’elle a défié sa loi uniquement

être don devoir religieux. Cependant Créon le roi de Thèbes avais interdis les funérailles requise a ce temps pour Polynice. Antigone demanda a sa sœur Ismène de l’aider a accomplir sa tache mais elle refuse de la suivre en disant quelle ne gagnerai rien a se rebeller contre Créon. Antigone aurais pu laisser passer la mort de son frère et aurais pu passer a autre chose. Mais le destin repris son cours, et Antigone étant la jeune femme forte et caractéristique que elle étais, a offert a son frère

mourir ! » Puis : « Hélas ! j’ai souffert, infortunée, j’ai enduré des maux bien dignes de lamentations ! ». La multiplication de l’interjection : « Hélas ! », suivie des nombreuses phrases exclamatives et du champ lexical de la souffrance est caractéristique du registre pathétique. Médée donc est en proie à une tristesse, une souffrance qu’elle exprime par le biais d’une déploration. Certes nous ne pouvons au sens strict parler de larmes car aucune didascalie ne nous signale qu’elle pleure, toutefois

sont présentés du plus important au moins important  -antigone : Perso éponyme elle est décrite par les adjectifs "petite maigre"c'est une "jeune fille noiraude et renfermé" On a une description fidèle à l'antihéro elle ne présente aucune des caractéristiques du héros conventionnel  Description très péjorative avec des adjectifs qui relève de la mort mais elle est tout de même présentée comme une héroïne "se dresser seule face au monde", "va surgir"  - Ismene. Tout le contraire d'Antigone. On a une

pièce, mais il indique aussi son dénouement, il effectue des rétrospectives en expliquant au spectateur le fait que Créon soit Roi, l’histoire des frères d’Antigone, mais aussi le fait qu’Antigone va mourir. Son monologue est marqué par le poids de la fatalité sur le destin d’Antigone « l.7 Elle pense qu’elle va mourir » «l.8 Mais il n’y a rien à faire. » mais aussi sur le destin de Créon « l.34 Il se demande s’il n’est pas vain de conduire les hommes. ». Cela nous montre en effet le fait que ce monologue

de l'épouser. Ils s'enfuient, et, afin d'empêcher Aétès de les poursuivre, Médée tue et dépèce son frère. Par la suite, elle se livre encore à d'autres crimes, par amour pour Jason. Arrivés en Corinthe, Jason s'éprend de Créuse, la fille du roi Créon. Ce dernier, décidant d'exiler un coupable pour les méfaits laissés dans le sillage des Argonautes, leurs nouveaux héros, Jason décide d'en profiter pour désigner son ancienne compagne pour coupable, afin de l'éloigner et de pouvoir épouser Créuse

mais les deux meurent —, et cela sous peine d'être lapidée par le peuple thébain, car l'interdiction a été émise par le roi Créon. Tout en reconnaissant la justesse du geste, Ismène refuse de la suivre dans cette entreprise (« je cède à la force, je n'ai rien à gagner à me rebeller »). Alors qu'Antigone s'en va accomplir ce qu'elle estime être son devoir religieux, Créon développe, avec quelque grandiloquence, devant le chœur des vieillards thébains — choisis pour leur docilité — sa philosophie