Caracteristiques De Creon

nous étions alors en train de vivre ».[ Inspirée du mythe antique en rupture avec la tradition de la tragédie grecque, le personnage d’Antigone (interprété par Monelle Valentin) devient l'allégorie de la Résistance s'opposant aux lois édictées par Créon / Pétain qu'elle juge iniques. Alors que la première est un échec, Antigone deviendra avec le temps l'œuvre la plus emblématique (et la plus jouée) de l'auteur. À la Libération, Anouilh s'érige contre l'épuration. Tentant de sauver la tête de Robert

Comment on écrit l’histoire ; la politique est comme une activité tragique, c’est-à-dire insoluble. Ces deux représentations sont intimement liées, d’autant + que la présence de noblesse dans une pièce tragique est une caractéristique est essentielle et celle-ci, souvent marqué par la monarchie, représente le pouvoir politique.Comme le disait Aristote ; « la tragédie est la représentation d’une action noble, menée jusqu’à son terme et ayant une certaine étendue, au moyen d’un

de Corinthe. C'est l'homme qui apportera vérité sur tout le livre. Il s'est tût durant des années, pour préserver la vie de la ville, et sa propre vie. Créon : C'est le frère de Jocaste, ainsi que le successeur d'Oedipe au trône de Thèbes. Il est resté fidèle à Oedipe jusqu'à la fin, et a tenté de l'aider. Lorsque la vérité est dévoilé Créon reste noble, est en qualité de bon roi, et de « meilleurs des hommes » (p.59) il accorde à Oedipe l'exil, tout en promettant de prendre soin de ses « deux

des faiblesses et des qualités chez chacun. Pour Créon, on peut voir un personnage seul et vulnérable : «  il est fatigué » , « il a des rides », « Créon est seul », « il se demande s'il n'est pas vain de conduire les hommes ». Sa femme, Eurydice, est montrée comme impuissante face au problèmes de son mari : « Elle ne lui est d'aucun secours. Créon est seul. » Les gardes sont présentés comme des personnes simples, bien loin des problèmes de Créon : « Ils sentent l'ail, le cuir et le vin rouge et

Il présente son savoir (la ruse qui lui a permis de triompher de la sphynge) comme supérieur à la science "officielle" – la technique divinatoire de Tirésias – (380). Et cette revendication le conduit à deux excès : la condamnation de l’ami fidèle, Créon (384), qu’il soupçonne maintenant  de comploter contre lui, et la récusation du sage Tirésias qu’il a lui-même convoqué pour faire la lumière et dans lequel il ne veut plus voir qu’un aveugle (389). 2)     pharmakos Cette démesure que l’on pourrait

suivants : - la noblesse du sujet et des personnages ; - l’imitation (ou mimesis) faite par des personnages en action et non par la narration ; - la purgation des émotions (ou catharsis). Toutefois, « l’action noble » est également une caractéristique de l’épopée grecque et Aristote prend soin de distinguer les deux genres : « Alors que dans la tragédie on ne saurait imiter plusieurs parties de l’action qui se déroulent en même temps, mais seulement la partie jouée sur scène par les acteurs

deux fils, Etéocle et Polynice, l’oncle maternel, Créon est devenu roi de Thèbes. Il fit enterrer Etéocle avec les funérailles nécessaires, mais laissa Polynice sans aucun enterrement. Il a jouta même dans un décret royal « Quiconque essayera d’enterrer Polynice sera immédiatement tué ». Face à ça Antigone va se dresser devant ce décret royal contre tous ceux qui seront sur son chemin et tentera tout pour enterrer Polynice. Après son arrestation, Créon lui laissa une chance d’avoir la vie sauve, mais

qui prend place durant l’Antiquité, une période connu pour la double fonction de divertissement et d’éducation morale. L’héroïne, Antigone défis la loi de Créon, roi de Thèbes. Elle enterre son frère même si il se battait contre le gouvernement parce qu’elle pense que c’est injuste et immorale de le laisser sans enterrement. Quand le roi Créon la convoque elle exprime qu’elle connaissait la loi et qu’elle avait choisi de ne pas la suivre. Cela énerve le roi que décide de la bannir. Une série de suicide

...................................................7 4. Antigone – Ismène (2) (p.8) ...........................................................7 5. Créon – Le Garde – Le Chœur (p.8-9) ...........................................9 6. Antigone – Les Gardes (p.10)………………………......………..10 7. Créon – Antigone (p.11-17)……………………………………...10 8. Le Chœur – Créon – Hémon (p.18-19) ………………………….12 9. Antigone – Le Garde (p.19-21) ………………………………….12 10. La fin de la pièce (p.21-22) ………………………………………13 IV.) Pour travailler

...................................................7 4. Antigone – Ismène (2) (p.8) ...........................................................7 5. Créon – Le Garde – Le Chœur (p.8-9) ...........................................9 6. Antigone – Les Gardes (p.10)………………………......………..10 7. Créon – Antigone (p.11-17)……………………………………...10 8. Le Chœur – Créon – Hémon (p.18-19) ………………………….12 9. Antigone – Le Garde (p.19-21) ………………………………….12 10. La fin de la pièce (p.21-22) ………………………………………13 IV.) Pour travailler