Caractère D Harpagon

est là / qui vous aime, perdu dans la nuit qui le voile ; / qui souffre, ver de terre amoureux d’une étoile […]. » Antonomase (féminin) : C’est une figure par laquelle on remplace un nom commun par un nom propre, et vice-versa. Exemple : « un Harpagon », pour désigner un avare, est une antonomase. C’est aussi le cas lorsqu’on remplace un nom par une périphrase : « la capitale de la France » pour désigner « Paris ». Apocope(masculin) : C'est l'effacement d'un graphème ou d'un groupe syllabique

théâtre ? Nos élèves ont toujours des difficultés à distinguer l’œuvre de la vie de l’auteur. C’est pourquoi il est pertinent, à l’occasion de l’étude de cette pièce de théâtre, de leur faire remarquer l’antinomie entre la vie de Feydeau et le caractère résolument loufoque de ses oeuvres. Séance 2 - 3h – Dominante  : lecture Objectif : découvrir l’architecture rigoureuse de l’intrigue qui repose sur les rebondissements, les quiproquos et les coups de théâtre

Tout ce qui présente au regard, vue d’ensemble qui attire l’attention et éveille des réactionsComique : amusant, burlesque, cocasse, drôle ; qui appartient à la comique (registre, genre [comme le vaudeville ; la farce, l’absurde, de mœurs ou de caractère) qq qui est théâtrale. Divertir : égayer. amuser consoler. délasser désennuyer. détourner distraire. moquer. ; Détourner quelqu'un de quelque chose, faire que ses pensées se tournent ailleurs : Divertir un ami

V. Hugo nous propose une véritable réflexion sur l’esthétique dans l’art. Elle s’axe sur deux grandes parties : 1) La Théorie des trois Ages ou les origines du drame 2) Les grandes caractéristiques du drame : « quel est son caractère, quel pourrait être son style » 1- La théorie des trois Ages V. Hugo veut ici illustrer le fait que la société évoluant, ses goûts, son art connaissent synchroniquement la même transformation. a) Temps primitifs : Caractérisés

Le « premier farceur de France » Noms populaires français dans les pièces de Molière => tradition de la farce. Farce traditionnellement fondée sur comique d’action et de situation + mise en scène de personnages immuables, types humains au caractère figé (épouse infidèle, marchand malhonnête, moine débauché, etc.). Représente des situations inspirées de la vie quotidienne la plus banale (scènes de ménage, adultères, vols, tromperies). Farce = genre alors jugé vulgaire et plus vraiment à

inspirées de la vie quotidienne la plus triviale (scènes de ménage, adultères, vols, tromperies), la farce était traditionnellement fondée sur un comique d'action et de situation, et mettait en scène des personnages immuables, des types humains au caractère figé (épouse infidèle, marchand malhonnête, moine débauché, etc.). Molière, bien qu'il se défendît d'être, selon le mot d'un de ses contemporains, « le premier farceur de France », écrivit des pièces qui sont des farces à part entière, telles que

marchait gravement, avait l'air très sérieux, le nez gros, la bouche grande, les lèvres épaisses, le teint brun, les sourcils noirs et forts, et les divers mouvement qu'il leur donnait lui rendaient la physionomie extrêmement comique. A l'égard de son caractère, il était doux, complaisant, généreux; il aimait fort à haranguer (Marie Du Croisy, comédienne de la troupe)[25]. »Le 23 janvier 1662, Molière signe son contrat de mariage avec Armande Béjart. Il a 40 ans, elle en a 20. La cérémonie religieuse a

cure de l’idéal et du grandiose, mais se nourrit du réel. Ses personnages sont « des hommes », rien de plus. Rien de plus, mais rien de moins : car depuis plusieurs siècles, la littérature française à tendance à mettre au premier plan des héros à caractères de surhommes, ou plutôt des hommes incomplets, qui ne montrent qu’un côté de leur être. Voilà donc ce que revendiquent les praticiens du drame romantique : des héros qui soient complets, avec leurs forces comme leurs failles, et la complexité qui

seigneur impie et débauché, un portrait donc d’un libertin. Ce texte appartient à la scène d’exposition de la pièce. Elle nous renseigne sur l’intrigue, le passé immédiat et les circonstances de l’action, mais nous permet aussi de découvrir le caractère du héros éponyme, celui de son valet, ainsi que les rapports spécifiques qui lient ce couple. En apportant une explication à Gusman, afin que ce dernier puisse « comprendre » le comportement de Dom Juan, Sganarelle apporte aussi des informations

1673, et des pièces plus élaborées approfondissant caractère et étude sociale, en vers comme « Le Misanthrope » (1665), « Tartuffe » (1664-1669), « Les Femmes savantes » (1672), ou en prose comme « Dom Juan » (1665). Molière aime peindre des mœurs de son temps, surtout de la bourgeoisie dont il dénonce les travers, il a créé en même temps des personnages individualisés emblématiques et approfondis dont la liste est longue : Monsieur Jourdain, Harpagon, Alceste et Célimène, Tartuffe et Orgon, Dom Juan