Caractère De Jean De La Bruyère

Séquence n°2 : L’éloge et le blâme Corpus : _Texte n°1 : extrait des « Caractères » de La Bruyère (XVIIe) _Texte n°2 : extrait du discours d’André Malraux (1964) pour le transfert des cendres de Jean Moulin au Panthéon _Portraits officiels et caricatures _Portraits du Fayoum (extrait de l’émission « Palette ») Objectifs de la séquence : • étudier l’éloge et le blâme : visées, procédés caractéristiques, points communs en l’éloge et le blâme… • étudier quelques caractéristiques des portraits

Nous avons affaire ici , à un corpus de trois texte et d’une image , portant sur la dénonciation du travail. Le premier texte Les caractères est de Jean de la Bruyère grand moraliste du XVIIème siècle dénonce l'exploitation des travailleurs dans l'agriculture et les deux autres extraits: le poème Melancholia et le Discours pour la Chambre des pairs sont de Victor Hugo grand poète engagé du XIXème siècle qui dénoncent le travail et l'exploitation des enfants. Nous nous demanderons quelles réflexions

VILLE LA BRUYERE – LES CARACTERESJean De La Bruyère est un écrivain moraliste français du XIIIX Siècle (Le Classicisme)Les caractères est une oeuvre atypique publiée en 1688 qui reflète un millier de portraits tout à la fois féroces et sans concession, faisant un miroir deformant des vices de la société de l’époque.Ce court chapitre évoque certains aspects de la vie à Paris (il y a des noms de quartiers, on y voit la Seine, les Tuileries…), et il est logique, dans la mesure où La Bruyère s’en est

Question préalable Le corpus suivant nous présente trois textes : « du Souverain ou de la République » de La Bruyère, l'article « Paix » de Damilaville, et « la guerre de Troie n'aura pas lieu » de Jean Giraudoux. Ces trois textes sont issus respectivement du 17ème, 18ème et 20ème siècle. Ils dénoncent tous la guerre, utilisant arguments ou images. Le texte de Damilaville est un article d'encyclopédie du 18ème. Il a ici pour fonction de définir le terme « paix ». Nous observons qu'il l'oppose

esthétique fondée sur la recherche de la perfection. Dans les Caractères publiés en 1688, Jean de La Bruyère dresse une série de portraits satiriques qui présentent des contre-modèles pour la société classique portée vers les valeurs de mesure, de modération et de civilité. Le portrait d’Arrias se situe au début du Livre V des Caractères qui s’intitule de la Société et de la Conversation. Dans celui-ci, LB évoque

par le jeune Racine, qui donnera une période de maturité, équilibre et intégration au courant. Œuvres : Le Cid L’Illusion Comique Horace Nicomède Jean de la Bruyère Il est célèbre pour une œuvre unique, « Les caractères ou les Mœurs de ce siècle ». C’est un ensemble de brèves pièces littéraires qui exposent l’esprit du XVII siècle. La Bruyère était l’un des premiers à mettre le classicisme en avant, il développe un phrasé rythmé dans lequel les ruptures sont essentielles. Il est souvent associé

La Bruyère, Les Caractères, Livre VI, « Des Bien de Fortune », remarque 83 (extrait). Introduction Jean de La Bruyère fait paraître une première édition des Caractères en 1688. Il s’agit d’abord d’une traduction des Caractères de l’écrivain grec Théophraste, suivie des Caractères ou Mœurs de ce siècle de La Bruyère. L’auteur revendique ainsi son appartenance au camp des Anciens dans la querelle des Anciens et des Modernes, car il considère que les Anciens sont des modèles indépassables

Les caractères Des biens de fortune : Crésus : À Crésus on lui reproche d'aimer trop le luxe et la bonne chair Champagne : Champagne (nom de province attribué aux valets) : égoïsme, excès de son repas et famine du petit peuple. Sylvain : vient de la forêt. S'achète un autre nom Dorus : recontextualisation antique. Triomphateur de la bassesse de son père. Image reconstruite de la grandeur romaine et des véritables motivations : son père était bas et pauvre. GITON ET PHEDON : Giton est

exigences de la vie en commun. En tant que phénomène collectif, il a d’abord une fonction régulatrice. Le rire serait ainsi une sorte de geste social ayant le pouvoir "d’intimider en humiliant" (Bergson parle de "correction"). On pourrait évoquer ici La Bruyère, qui rappelle combien les rieurs ne pardonnent rien à la personne raillée, "ni son ton de voix, ni son silence, ni sa taille, ni son visage, ni son habillement, ni son entrée, ni la manière dont elle est sortie". Si la société peut ainsi se défendre

Ce passage est un extrait des « Caractères » de Jean de La Bruyère, un moraliste français né à Paris le 17 août 1645 et mort à Versailles le 11 mai 1696. La Bruyère est célèbre pour une œuvre unique, Les Caractères ou les Mœurs de ce siècle (1688). Cet ouvrage, constitué d’un ensemble de brèves pièces littéraires, compose une chronique essentielle de l’esprit du xviie siècle. Il a joué un rôle dans la Querelle des Anciens et des Modernes, une polémique née à l’Académie française et qui agita le monde