Corpus Melancholia, Les caractères , discours pour la chambre des pairs.
Nous nous demanderons quelles réflexions pourrions nous tirer de ces textes sur le travail ?
Les textes 2 (Mélancholia) et 3 (Discours pour la chambre des pairs)cherchent à persuader alors que le texte 1 (Les caractères) dresse lui un portrait des agriculteurs de l'époque grâce à des métaphores.
Afin de faire réfléchir les lecteurs Victor Hugo dans le texte 2 nous fait prendre conscience du temps de travail des enfants :
"ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules" , ( rajouter vers )
"de l'aube au soir", avec un adverbe, "éternellement".Puis il montre les difficultés physiques et morale des enfants : « accroupis sous les dents d'une machine sombre », «jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue » , «Il ne comprenne rien à leur destin ». Victor Hugo utilise des exclamations pour faire part de son indignation:
« Que ce travail, haï des mères, soit maudit ! ». Le texte 3 veut également faire prendre conscience que l'exploitation des enfants est cruel mais pour cela Victor Hugo utilise des métaphores , il compare les machines industrielles à des montres: « L'industrie a créé des espèces de monstres » et les enfants à des créatures qui donnent leur âme aux «monstres».Dans l’image de Melancholia les rôles sont inversés , la machine ressemble à un visage et les enfants sont engloutis. La Bruyère lui utilise une série de métaphores qui compare l'humain à un animal « L'on voit certains animaux farouches,[...], noir , livides et tout brûlés du soleil , et quand ils se lèvent sur leurs pieds ,