Caractéristiques Existentialisme

BIOGRAPHIE D’ALBERT CAMUS Ecrivain français, romancier, auteur de pièces de théâtre, journaliste. Albert Camus n'a pas connu son père et a passé son enfance avec sa mère en Algérie. Sa santé (tuberculose) ne lui permet pas d'accéder à une carrière universitaire. Après une licence de philosophie, il devient journaliste engagé (parti communiste et Alger-Républicain), puis fut résistant. D'une courte adhésion au parti communiste, il retire une méfiance de l'endoctrinement et la certitude que

Exposé : Albert Camus, L’Etranger, 1942 L’existentialisme : L’existentialisme est un courant littéraire et philosophique du XXe siècle faisant de l’existence (lat.existentia ; correspond au surgissement de l’homme dans le monde en philosophie) le centre de sa réflexion. Selon ce mouvement, l’être humain est un être unique, maître de lui-même. C’est en lui qu’il doit trouver ses propres valeurs et c’est lui qui décidera des actes qu’il veut accomplir. Par conséquent, nous pouvons donc dire

Camus est un poète existentialiste du 20e siècle que l’on considère comme étant l’homme d’absurdité par excellence. Il avait sa propre philosophie, celle de l’absurde. Lorsqu’il écrivait ses romans, il était beaucoup basé sur l'absurdité et lorsqu’une personne lisait ces romans, il trouvait que cela n’avait aucun sens, mais au fond Camus essayait juste de faire passer un message ou simplement il faisait allusion à une vérité. Meursault, le personnage principal de l’œuvre l’Étranger d’Albert

Vers la moitié du XXème siècle, suite à la Seconde Guerre mondiale, beaucoup de gens se mettent à réfléchir sur le sens de la vie, la condition humaine, etc. Ces remises en question mènent à l’apparition d’un nouveau style de théâtre, influencé de la philosophie existentielle: le théâtre de l’absurde. /La pièce Fin de partie de Samuel Beckett, grand dramaturge de ce courant, est un bon exemple de cette nouvelle vision plutôt pessimiste de l’homme et de la vie. Il y illustre un monde sans issue, sans

dissertation. « Aujourd’hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. » Avec cette première phrase restant comme l’une des plus belles et des plus fortes de la littérature française, Albert Camus écrit un court roman entre absurde et existentialisme. Car l’Etranger pose aussi la reflexion philosophique via la narration. Mersault est un homme ne se conformant à la norme définie par la société dans laquelle il évolue. Il ne trouve pas sa place et devient étranger au monde comme à lui-même.

L'existentialisme est un humanisme a été publié en 1946 et considéré comme l'exposition de sa pensée philosophique, l'existentialisme. Il est le compte rendu d'une conférence réalisée en octobre 1945 à Paris. Celle-ci se découpe en 6 parties : dans la première partie, Sartre expose les critiques qui ont été adressées à l’existentialisme (marxiste et catholique), ensuite il va définir l’existentialisme, va faire une différence entre les deux écoles, va parler du premier principe de cette

n°2 de l’Etranger de Camus Extrait : « Le soir […] la peau blanche » (I, V) Albert Camus, écrivain français, était le chef de file de l’Absurde. Le héros absurde est seul, victime et n’a pas de logique. Camus présente donc un personnage caractéristique de ce mouvement : Meursault. Il est l’un des trois héros du « Cycle de l’Absurde ». L’extrait étudié suit l’enterrement de la mère de Meursault qui est le premier lieu de l’absurdité du personnage, mais aussi les rencontres avec Raymond et le

l’individualisme et l’absurdité de l’existence) et le fondement de cette polémique (le risque anti humaniste). La deuxième, page 25 à 33, décrit dans un premier temps les deux versions de l’existentialisme, puis dans un second temps le principe de tout existentialisme : « l’existence précède l’essence ». Dans la troisième partie, page 33 à 51, Sartre déclare que les concepts fondamentaux de l’existentialisme athée renvoient à l’action de l’homme. Il y développe trois concepts : l’angoisse, le délaissement et

TEXTE 4 : Le dénouement. Albert Camus, d’origine algérienne, est un journaliste et philosophe français. La Peste , dont ce texte est issu, nous raconte l’avancée d’une épidémie de peste dans la ville algérienne d’Oran, qui n’est en fait que la représentation allégorique de la WW2. Le roman est présenté sous forme de chronique dont le narrateur est jusqu’ici inconnu. Ici, on assiste à la diminution de l’épidémie. La fin du récit est donc consacrée à la libération de la ville et au bonheur enfin

mouvement malgré la pièce Fin de Partie qui possède les caractéristiques du genre. L’absurdité des situations mais également la déstructuration du langage lui-même ont fait de ce style théâtral un mouvement dramatique à part entière. Ce type de théâtre montre une existence dénuée de signification mettant en scène la déraison du monde dans laquelle l’humanité se perd. Sommaire [masquer] 1 Sources philosophiques 2 Origine critique 3 Caractéristiques 4 L'avant-garde de l'après-guerre 5 Les dramaturges