Caractéristiques Personnage Malade Imaginaire

non-extraction de l’objet ; défaillances ténues du capitonnage, prévalences des identifications imaginaires. "La psychose, c'est ce devant quoi un analyste ne doit reculer en aucun cas"1, même si cette affirmation de Lacan exprime plus une exigence didactique qu'un conseil technique, il n'en reste pas moins que selon lui la cure analytique n'a pas à connaître de contre-indication diagnostique. Ce sont les caractéristiques de la demande du patient qui décident de l'engagement d'une analyse ou de son refus

des choses, et non des choses de la nature Exemple : la représentation du « canon » de l’homme par Léonard de Vinci. La danse, comme mouvement parfait, etc.. Pour Diderot, l’artiste ne doit pas chercher à représenter un « autre » monde, un monde imaginaire, un monde qui n’existe pas (il s’oppose notamment aux représentations « allégoriques » du type : Orphée discutant avec les Muses, etc.). Mais il ne doit pas non plus nous montrer le monde tel que nous le percevons quotidiennement, tel que nous le

et le profane qui en générale a une visée ludique. Le sujet objet de notre étude est un conte extrait du recueil Les aventures de topé l’araignée : Le gigot devin. Le conte qui pourrait se définir comme : « récit souvent assez court de faits imaginaires » (2). Dans le conte la narration fait référence à un autre temps. Michel Simonsen a parlé avec raison de « fictivité avouée » (3).On constate à la lecture du conte soumis à notre attention que toutes les vraisemblances sont possibles. Ici c’est

histoire et idéologie……………………………………………….. II-2 Roman et idéologie ………………………………………………………. II-3 Ambiguïté et projet idéologique CHAPITRE III III-1 : Le narrateur, porteur du projet idéologique ………………………………… III-1-1 Le personnage comme acteur social …………………………………… III-1-2 Le personnage du docteur Rieux ……………………………………. CHAPITRE IV IV-1 De l’implicite en général au silence en particulier TROISIÈME PARTIE : Analyse de l’œuvre à partir de son projet idéologique CHAPITRE I I-1 : Les intentions explicites

comme Rome. Ce mouvement naît de l’optimisme humaniste et de l’esprit de la Pléiade. Ce mouvement esthétique touche en premier lieu l’architecture, la peinture et la sculpture. Il concerne la musique et la littérature plus tard. Il a pour caractéristique d’être le contraire du Classicisme, c’est à dire que c’est un art, inachevé, imparfait. Cet art est exprimé par la divergence. 1) La poésie baroque. La poésie baroque : Cette poésie s’oppose à l’épure de Malherbe, la poésie baroque n’hésite

farce/plaisanterie. Le comique est extravagant, bouffon. Ce mouvement est // à la préciosité, car ils relèvent tous les 2 du baroque. Il va réagir à la préciosité mais en restant dans l’excès. Le but est de faire rire mais aussi de faire réfléchir. Les caractéristiques sont la désacralisation, les comiques peu relevés et l’ordinaire exagéré. 2 auteurs illustrent le burlesque: Scarron et Bergerac. 1. Paul Scarron Il est né à Paris, puis va déménager dans Le mans, il va accompagner un évêque et devient

parallèlement à sa carrière de médecin. En 1534 paraît Gargantua, le personnage éponyme étant le père de Pantagruel ; Le Tiers Livre et le Quart Livre sont respectivement publiés en 1546 et 1552. Un Cinquième Livre dont l’authenticité est discutée paraîtra après la mort de l’écrivain en 1564. Ces récits sont condamnés par l’Église. • Gargantua, un récit humaniste. (Voir p. 353.) B Les principaux repères • Les principaux personnages. − Gargantua : un géant, fils de Grandgousier et de Gargamelle.

recensent les événements marquants de la vie de Racine et traitent de la création de Phèdre. Les pistes d’étude proposent une analyse de la pièce en trois temps. Dans un premier temps, la structure fait l’objet d’un résumé analytique. Puis, les personnages sont traités dans leur dimension proprement tragique : Phèdre, Hippolyte, Aricie et Thésée sont conçus par Racine comme des héros « ni tout à fait coupable[s], ni tout à fait innocent[s] ». Enfin, la troisième piste s’intéresse à Phèdre comme tragédie

situation, personnages – nombre et identité, rapports entre eux –, registre, évolution de l’action, rôle du spectateur… • Cherchez les éléments que vous retrouvez dans ces trois scènes. • Classez ces éléments et définissez-les. Justifiez votre réponse par des références précises aux textes. ©HATIER m Question 2 Ce que l’on vous demande • « Complicité » signifie participation (ici : à l’action), connivence (entre deux personnes : ce peut être entre l’auteur, les personnages et le spectateur)

n’importe quoi. Il a parfois soif aussi et alors seuls les rivières et les lacs peuvent étancher leur soif ou de la bière en tonneaux entiers. Il avale parfois aussi des hommes mais plutôt par mégarde que volontairement, l’anthropophagie n’est pas sa caractéristique. Il n’est pas sadique non plus, ni méchant. Les objets dont il se sert sont aussi gigantesques que le reste, par exemple les arbres sont pour eux des cannes ou des cure-dents, les géantes se peignent avec les crêtes de montagne. Les menhirs et