Caractéristiques Spleen Baudelairien

que les méditations graves ont accoutumé à voir dans les choses plus que les choses »8. Son art permet au lecteur d’apercevoir cette dimension insoupçonnée, de donner au quotidien une intensité dramatique. Il peut pour cela s'appuyer sur une caractéristique, un personnage, un comportement ou une référence mythologique. L'important c'est ce qu'il puisse dire du sujet décrit, un sujet qui est souvent décrit d'une manière allégorique. L'utilisation de ce procédé de style à lui seul nous permet

image douloureuse et pathétique, il exprime la marginalisation progressive du poète qui finit par y trouver le signe renversé de son élection. Ce qui montre que les ordres social et poétique sont rentrés en conflit. II Intro : il appartient à Spleen et idéal, 4 strophes de 4 alexandrins, comparaison du poète (comparé) à l’albatros (comparant) I . Axe et articulation : structure du texte Comparaison filé "est semblable" v.13 Le poème est organisé : le comparant apparaît (12 v consacrés)

lyrisme évoque une manière bien particulière de s'exprimer, une manière passionnée et poétique, de vivre. Le poète adopte le ton élégiaque et trouve dans la nature le rêve et des moyens de s'évader que la société ne lui permet pas. Ce poème est-il caractéristique de l'art de Verlaine ? illustre -t-il le premier vers de L'art poétique : « De la musique avant toute chose» ? Nous étudierons d’abord les procédés qui créent cette atmosphère musicale puis, la présence du poète enfin les effets qu'une telle atmosphère

comparaison. • La métaphore : elle rapproche deux idées, deux notions, de manière implicite, sans outil de comparaison. • La personnification : c’est une métaphore qui assimile un objet ou un animal à une personne, en lui attribuant les caractéristiques ou les conduites d’un être humain. • L’anaphore : reprend le même mot ou la même expression en tête de phrase, de vers, ou de groupes de mots. • La redondance : c’est la reprise d’une même information sous des formes différentes ; c’est

périphrase. Elle l'aide à développer un mot quand celui-ci devient insuffisant pour traduire la pensée ou les sentiments du poète. Le crépuscule est désigné par le groupe de mots "chute de clarté" dans "Les tours du silence". L'ellipse est une autre caractéristique de la poésie d'Eluard. Elle contribue à créer l'univers onirique qui lui est propre et qui fait travailler l'imagination du lecteur. Elle suggère en supprimant. Dans le poème "La peur", on a une énumération sans article "Pont brûlé/Bras faible/Bâton

« littéraire » du mouvement Sommaire ETRANGER Des débuts à l ‘étranger : le romantisme Allemand et Anglais FRANCE La Grande génération romantique, de la naissance au déclin 1) Histoire 2) Quelques caractéristiques des romantiques ETRANGER Des débuts à l ‘étranger : le romantisme Allemand et Anglais L'imitation méthodique des littératures anciennes, inaugurée en France au XVIe siècle avec Clément Marot puis la Pléiade, atteignit son

L’extrait, les axes et la problématique | - Le passage étudié se situe au tout début du roman ; il s’agit des premières pages. \?/ Quels sont les caractéristiques de cet incipit ? Axes - Les caractéristiques et originalités de cet incipit - L’importance du thème du cheval Le commentaire | Introduction I. Les caractéristiques et particularités de l’incipit a. Les personnages Personnages formant un trio : « Joseph » et « la mère » explicitement énoncés et nommés. 3ème personnage

engloutir sans réagir. Cette torpeur stérile était aussi éloignée de l’oisiveté dorée du «lion» à la mode que de la mélancolie et de l’ennui des romantiques. C’était une forme de neurasthénie, une souffrance physique et morale, qu’il allait appeler le «spleen» (mot anglais entré en français depuis 1655, signifiant proprement «rate», «siège des humeurs noires», d’où «mélancolie», et, au XIXe siècle, «mélancolie sans cause apparente, caractérisée par le dégoût de toute chose»). Pour I'arracher à «la perte

constant chez un Zola qui milite pour un matérialisme à la fois philosophique et littéraire. Pour exprimer la détresse de Christine, point n'est besoin d'en faire une héroïne en proie aux imaginations romantiques et à la rêverie impalpable, si caractéristiques de la manière des romanciers mondains, Jules Sandeau, Octave Feuillet, « qui tiennent de George Sand et de Lamartine, les doux, les élégants, les idéalistes et les moralistes[2] ». À la modalité assertive dominante dans le passage sont conjoints

rigoureux, bien assuré (vocabulaire adéquat notamment), qu'une certaine témérité dans des propositions qui fassent sens. Comme le commentaire est composé, il implique une démarche argumentative, dissertative plus exactement, avec son organisation caractéristique : déploiement des idées sous forme d'arborescence complexe circonscrite par un « plan » annoncé à la fin de l'introduction. C'est bien d'idées qu'il s'agit, l'exemplification étant assurée par des prélèvements significatifs au sein du texte. Ces