Caravagisme

marqué par l’Italie. L’influence la plus forte c’est celle du Caravage (réalisme et clair-obscur dramatique) cette peinture moderne a influencé artistes français. Les français se rendaient à Rome pour approfondir leurs inventions. Cette diffusion du caravagisme à d’abord touché le sud de la France proche de l’Italie. En particulier à Toulouse qui a était très tôt un foyer caravagesque avec le peintre Nicolas Tournier. Tournier, Réunion de buveurs (vers 1620, Le Mans.)  Réalisme, clair obscur très contrasté

de Bartolomeo Manfredi (v. 1580-1620). Par la suite, certains peintres étrangers venus travailler à Rome se rapprochent de ce courant: Valentin de Boulogne, Gerrit Van Honthorst et Jusepe de Ribera. Moins en vogue en Italie à partir de 1630, le caravagisme continuera cependant à influencer profondément la peinture européenne jusqu’à la fin du XVIIe siècle. Annibal Carrache, son frère Augustin et leur cousin Ludovic, tous trois originaires de Bologne, sont les principaux représentants de la seconde

de Bartolomeo Manfredi (v. 1580-1620). Par la suite, certains peintres étrangers venus travailler à Rome se rapprochent de ce courant: Valentin de Boulogne, Gerrit Van Honthorst et Jusepe de Ribera. Moins en vogue en Italie à partir de 1630, le caravagisme continuera cependant à influencer profondément la peinture européenne jusqu’à la fin du XVIIe siècle. Annibal Carrache, son frère Augustin et leur cousin Ludovic, tous trois originaires de Bologne, sont les principaux représentants de la seconde

mal à se trouver une identité à tel point que pour la décoration du palais du Luxembourg, Marie de Medicis fera appel à un étranger en la personne de Rubens. Les artistes français vont se former en Italie et reviennent profondément marqués par le caravagisme comme Simon Vouet et Nicolas Tournier ou encore Georges de la Tour, peintre de Lorraine bien que l’on ignore s’il fut jamais allé en Italie, on dénote une influence certaine des clairs-obscurs du Caravage que la Tour interprète de façon très intimiste

qui visait a placer les personnages sur un fond neutre, et la lumière est interne, la cheminée qu'on devine, ça s' apelle le luminisme, qui se développe au XVII, c'est quand on a la source de lumière propre a l' oeuvre, et a l' inverse c'est le caravagisme. Eclairage qui semble venir de face, artistes qui s' attachent au rendu des matières, subtile variation de couleur, par la cruche, mélange de couleurs, la surface de son verre et mis en valeur, dominance de tonalité blanche et ocre, on voit qu'

l’Antiquité classique et Raphaël. Le dix-septième siècle est le siècle de Louis XIV : représentation par Hyacinthe RIGAUD en 1702 où se trouve toute la majesté du siècle. Georges de La TOUR : influence de la mystique franciscaine et certain "caravagisme". Les frères LE NAIN – Antoine, Louis et Mathieu – qui utilisent une signature commune : thème de la vie rurale, qu’il s’agisse des métiers ou des activités "La Forge", "Le retour de la Fenaison" ou des intérieurs "Famille de paysans dans un intérieur"

approfondissent les virtualités de la peinture de genre.   1)      Les Flandres à l’ombre de Rubens Esprit brillant et électrique, Rubens assimile avec une grande facilité tous les courants artistiques contemporains, du maniérisme pragois au caravagisme romain et à l’académie bolonais des Carraches. A son retour d’Italie, en 1608, il subjugue la Flandre par la vivacité de son style ample et coloré.   Avec Rubens Son installation à Anvers coïncide avec un renouveau artistique. Sa manière généreuse

Les notions de baroque et de classicisme reflètent les attitudes mais aussi les usages divers que font de l’art ces pouvoirs temporels ou spirituels. A la dramatisation de la première moitié du XVIIe siècle, marqué par les contrastes picturaux du caravagisme mais aussi la prolifération du premier art baroque, va succéder une vision plus ordonnée et coordonnée des arts. La mise en place des Académies et de leurs hiérarchies mais surtout la subordination des arts à un dessein unique, comme à Versailles