Carcassès

charmant,/ Et le meurtre, parmi tes plus chères breloques,/ Sur ton ventre orgueilleux danse amoureusement » Pour finir nous allons donc parler de la sublimation de la laideur. Elle est appuyé grâce au figure d’oppositions : Les oxymores « carcasse superbe » v.13 de « Une Charogne » « Héros lâche » « enfant courageux » v8, « monstre énorme, effrayant, ingénu » v.22 Les antithèses : Cette figure de style construit le poème« Hymne à la Beauté »« infernal et divin » v.2« Le bienfait et le crime »v

| | | |Prix moyen du Kg carcasse | | | | | |Poids de vente moyen en carcasse | | | | | |Plus value totale/ kg de carcasse | | | | |

II / Les veaux de boucherie Les veaux sont âgés de 0 à 8 mois. Dans la station expérimentale du Rheu les veaux sont tous de la race prim'holstein et sont envoyés à l’abattoir à l'âge de 5 mois et demi avec un poids de 240 kg dont 130kg de carcasse (le rendement est donc de 51%). Les veaux arrivent dans la station âgés de quelques semaines et sont engraissés durant 5 mois. Tous au long de leur présence à la station, les veaux aurons un suivis rapproché ; poids, taille ainsi que des prises

passivité comme les évènements de la vie. Les Lorilleux, mangent le rôti, ce qu'il y a de plus desséché, traduisant leur avarice, leur jalousie, et cherchent d'ailleurs à manger le plus possible afin de ruiner « la Banban ». Les dames décortiquent la carcasse qui est « le morceau des dames », « grattent les os », ici ce sont des attitudes symboliques de leur curiosité et de leur tendance au commérage. Le goût de Clémence pour le croupion souligne sa vulgarité. Alors que le caractère de chaque convive

veut avoir un cadre spatio-temporelle réel plus qu’il y fait le portrait d’une des facettes de Paris. De plus certains poèmes viennent emprunter un événement du quotidien, comme « Une Charogne » de Baudelaire ou il fait un portrait détaillé d’une carcasse d’animal en un piteux état, cependant ce texte de la poésie et le poète fait une comparaison antithétique de la charogne à une belle femme. 2. La poésie c’est déjà confronté à la réalité dans d’autres circonstances, comme le rapprochement à un

êtres humains ont pu être si cruels et non souciant de ceux qui les entourent. Deuxièmement, l’auteur décris ensuite la situation après la mort de ces deux personnes. Par exemple : ‘’Les deux corps ressemblaient à des déchets d’abattoir, à des carcasses mal équarries par des bouchers malhabiles.’’ La comparaison des corps à des déchets d’abattoir nous révèle l’insouciance avec laquelle ces deux corps sont laissés dans la rue à pourrir. De plus, aucun des amis de la famille peut venir enterrer les

paraissant très contradictoires.Le poème instaure ainsi des chocs, notamment d'atmosphère instaurant un malaise comme le premier vers du troisième quatrain : « Le soleil rayonnait sur cette pourriture » .C'est cette ironie ajoutée à des oxymores comme « carcasse superbe » ou « comme une fleur s'épanouir » précédant le mot « cuire », terme culinaire peu approprié à la situation, qui parvient à nous mettre mal à l'aise. Ainsi, en associant des termes incompatibles, Baudelaire crée une fusion entre le beau

par des corbeaux à la pitié du monde « des pleurs et des larmes  Importance du champ lexical de la mort violente, atroce « corbeaux, saigner, carcasse » L’emploi d’un bestiaire « escargots, requin, corbeaux » (V1 V4 et V7): renvoie à l’idée d’élévation du spleen vers l’idéal. Etat de dégradation de son corps suggéré par les expressions  « vieux os, carcasse immonde, vieux corps sans âme, mort parmi les morts  Métaphore au V9 : les vers présentés comme des compagnons. Périphrase au V9 : « compagnons

centre se situe une montagne avec des couleurs grisâtres où descend une vallée qui mène à l’intérieur du cygne. La montagne est ouverte en haut et laisse apercevoir un temple au loin. Plusieurs ossements composent le tableau (des carcasses, une mâchoire) Sur le côté, une carcasse prenant la forme d'un voilier, abandonnée. Et c'est aussi avec la végétation qui pousse sur le cygne que l'on retrouve la thématique de la mort qui est très présente dans l’œuvre du peintre. Enfin, au dernier plan se trouve le

qui s'offre au vivant. La description macabre s'applique au poète « vivant » (v 7) « mes vieux os » (v 3) « carcasse immonde » (v 8), termes aux connotations péjoratives, morales « immonde » et hyperboliques très fortes : le corps est source de dégoût et porte la mort en lui Les termes « Tous les bouts de ma carcasse » (v 8), « saigner » (v 8) animalisent le corps La parole du poète porte des signes d'agressivité et d'hostilité