Caresse

ferme, à cause de Lennie. En effet, ce dernier est déficient mental: doté d’une forces surhumain, il a l’âge mental d’un enfant de 8ans. Il aime toucher les choses douces et ne contrôle pas sa force. Ils ont dû fuir leur ancien Ranch : Lennie ayant caressé la robe d’une jeune femme, celle-ci l’a accusé de viol. Ils arrivent dans un nouveau ranch où dès le début, deux personnages posent problème : -Curley, le fils du patron qui est violent et agressif. -Sa femme qui est une aguicheuse. Dans cette

lui aurait apporté, donné avec un sourire en amande orange. La gamine était maigrelette, elle portait sur ses frêles épaules le poids d’années lasses, banales, des années de Bretagne et c’est tout … Quelle litanie mon dieu ! Un jour j’ai voulu lui caresser la glotte, la garce a refusé. Un jour j’ai voulu lui lécher l’orteil, elle a accepté, elle trouvait cela amusant, palpitant de jouer avec ce si doux verni, de le voir se perdre sur mes dents blanches et maladroites. Nous en sommes restés là, ma

col calciné Et ta beauté me foudroie en plein cœur, comme l'éclair d'un aigle Femme nue, femme obscure Fruit mûr à la chair ferme, sombres extases du vin noir, bouche qui fais lyrique ma bouche Savane aux horizons purs, savane qui frémis aux caresses ferventes du Vent d'Est Tamtam sculpté, tamtam tendu qui gronde sous les doigts du vainqueur Ta voix grave de contralto est le chant spirituel de l'Aimée Femme noire, femme obscure Huile que ne ride nul souffle, huile calme aux flancs de l'athlète

coucher du soleil,tu es ma petite fée.Je veux t'offrir ma chaleurpour te réchauffer du froid,t'embrasser pour ne pas que tu aies peur,pour ne jamais que tu pleures.Et tout ça, pour être à toi.Ton sourire est tellement agréable,ton corps si tendre à caresser,ton odeur si douce à sentir,ton regard si intense mon coeur.Je me ferais tout beau, tout neufpour que tu me regardes toujoursavec cette lueur qu'il y a en toi.Je t'aime, je t'aime, je t'aime.J'aime te regarder, t'admirer,me balader avec toipour oublier

sont instaurés par le tutoiement et l'adjectif « bon », qui symbolise le moins d'inconvénients. L'impératif, encore, est affectueux, il renvoi aux conseils. Un idée de douceur est se fait également ressentir par, notamment, le champ lexical, avec « caresse », « silence », « ronde », « à plat », et l'allitération en [L] à la ligne une, traduisant une liquidité du son qui renvoi à une certaine fluidité. La douceur est aussi traduite par un rythme doux. Ce rythme est crée par les phrases relativement

objet éloigné cherchant à dévoiler mon existence. S’il éclaire mon visage, c’est que je suis devenu un voyeur en quête de lumière. Voilà une dure épreuve qui creuse l’angoisse du promeneur lorsque le plaisir quitte la brise du funambule pour venir caresser sa rêverie. Vous savez, ce mystérieux petit prince n’a pas cette méprise du cœur que j’ai observé chez les hommes au cours de mes nombreux voyages. Son corps est habillé d’étoiles et de roses. Il est un temple fragile enflammé par des grains de

le gibier. La micro caresse La micro caresse traduit un bien-être.  Ce qui se dit ou se passe est donc perçu comme étant agréable.  La caresse que la personne se prodigue peut être interprétée (par un processus inconscient) comme une caresse effectuée à l'autre. Tout se passe comme si, séduite par le discours de l'autre, elle caressait l'autre en effectuant une micro caresse sur elle-même. Cependant, il faut s'intéresser au contexte pour différencier cette micro caresse dirigée vers l'autre,

seule au milieu de la foule Je sens doucement une larme qui coule Et puis dans ma poitrine mon coeur qui roule. Tout crie, tout bouge. J'ai peur et tout s'écroule. Je suis une gourmande De tes baisers cannelles De tes mots doux amandes De tes caresses caramels. Depuis quelques temps je suis dévoré Ta trace, je ne peux l'effacer Je n'ai que ton visage dans mes pensées Mon souhait est de te posséder. Ton regard, lui, m'as touché Je rêve d'une chose, être avec toi Mon coeur tu l'as blessé

l’apologie du choix exclusif, montrant alors que les caresses sont alors une preuve, un témoignage d’amité, qu’elles sont porteuses d’une signification. Sinon, les caresses, galvaudées, « prostituées » à « tout l’univers » sont sans valeur. Le « vrai », référence d’Alceste conditionne l’ensemble de ses prises de position : la condamnation morale de la feinte (Alceste refuse la dissociation Privé/public de Philinte), l’opposition à la « prostitution » de caresses qui ne signifient plus rien (alors que la politesse

couvent La troisième partie du livre commence par son arrivée dans la communauté de Sainte-Eutrope. Elle est tout de suite prise sous l’aile de la supérieure madame ***. Cette dernière lui voue un véritable culte et la recouvre de baisers et de caresses, ce qui lui attire la haine de sœur Thérèse qui était autrefois la favorite de la femme. Sœur Suzanne toute innocente n’y voit rien de mal, (voir citation 5) cependant elle se confesse au directeur Lemoine qui lui interdit de s’approcher de la supérieure