Caricature Limite

personnage à une caractéristique physique ou morale. L’absurde: Il s’agit d’un comique reposant sur des décalages ou une situation bizarre. Satirique: Il repose sur une critique qui utilise le comique, le rire. Ce registre utilise l’ironie, la caricature, l’humour pour dénoncer. Ironique: L’ironie s’apparente à la moquerie. Il consiste à dire le contraire de ce que l’on pense (=l’antiphrase) Polémique: Il s’agit d’énoncer des idées qui peuvent choquer afin de créer un débat, le but étant

aux dominos et qui ne voient pas ce qui se passe sous leurs yeux. Pour couronner le tout, ils sont persuadés à tort de comprendre à mi-mot Mme Raquin alors qu’ils ne font que créer -par leur suffisance- un énorme quiproquo. Cela en devient une caricature comique de la bourgeoisie parisienne du XIX ème siècle, rejoignant en image la pensée d’Ernest RENAN : « La bêtise humaine est la seule chose qui donne une idée de l’infini ».

I. Un portrait argumentatif fondé sur la satire de l'égocentrisme : Une véritable caricature : le portrait suit une progression à thème constant – L'attention est focalisée sur le personnage de Gnathon (la consonance antique en fait un modèle a priori) Pourtant, le lecteur se rend compte rapidement qu'il s'agit : Portait d'un égocentrique Omniprésence du personnage manifestée à travers : l'emploi de nombreux pronoms personnels : 25 « je » (pronom sujet) + lui + soi. l'importance

contre un homme vraiment nu ? » (sc. 4)) . Molière dénonce ce groupe social sous la forme d’une comédie de mœurs en effet elle fournit un témoignage sur les problèmes contemporains mais cette comédie va aussi utiliser les principes de la farce : caricature des personnages, comiques de geste… Molière dans cette comédie donne des noms ridicules aux personnages (Grogibus) c’est un procédé de farce, de plus nous observons un décalage entre la fonction et le titre des personnages (marquis de Mascarille :

énormément son efficacité.       Quelles sont les cibles du rire ?  Plus les personnages moqués sont importants, plus le rire a de chances d’emporter l’adhésion du plus grand nombre, mais plus le risque est grand également de se heurter à la censure. La caricature de Hitler dans Le Dictateur est à cet égard éloquente. Le personnage historique en 1940 n’est encore critiqué que pour ses manières, son ton, ses obsessions. La critique prendra d’autant plus de poids quand l’Histoire aura connu les exactions dont

et sous un pseudonyme.       En 1826, Balzac se fit également éditeur puis imprimeur et contracta un grand nombre de dettes (environ 100 000 francs). C'est pour pouvoir rembourser toutes ses dettes qu'il devint journaliste dans La Silhouette, La Caricature mais aussi La Chronique de Paris en 1836. A partir de cette date, la plupart des romans de Balzac furent d'abord publiés en feuilleton avant d'être édités en volume.     Dès lors, il ne vécut que pour la littérature et à un rythme de forcené.

La charge de Benjamin Roubaud, dit Benjamin, reprend les principales caractéristiques des caricatures de Victor Hugo pour cette période qui précède son entrée en politique : une grosse tête, digne d’un « homme in-folio [9] », et un vaste front d’autant plus visible qu’il semble éclairé et qu’il contraste avec un environnement sombre. Entre Notre-Dame de Paris et un sabbat de sorcières, le surhomme semble indifférent à ses thuriféraires lilliputiens et à ses admirateurs qui viennent pourtant baiser

Duprat, Annie Les rois de papiers : la caricature de Henri III à Louis XVI. Paris : Belin, 2002. 367 p. (Essais d'histoire moderne). Salle J – Histoire, archéologie – [944.030 2 DUPR r] Salle T – Histoire du livre et bibliothéconomie – [741.609 03 DUPR r] Langlois, Claude Les cent plus belles images de l'affaire Dreyfus. Paris : Kharbine-Tapabor ; Paris : Éd. Dabecom, 2006. 109 p. Site F. - Mitterrand – Rez-de-jardin – magasin – [2006- 280593] Bargeton, Delphine Typologie de la presse

ancienne maîtresse... ce à quoi la première va se livrer... sans aucune retenue. Nous nous demanderons en quoi Cléanthis est-elle ici maîtresse du jeu. Pour cela, nous étudierons d'abord sa maîtrise de l'art du portrait ; nous verrons ensuite que sa caricature sert à insérer une critique des mœurs chère à l'écrivain des Lumières. Cléanthis maîtrise l'art de la satire A- La terminologie et les outils du portrait Le portrait est d'abord un terme d'art plastique. Faire le portrait de quelqu'un à

entre mutilés, leur vie est une farce, car la mort les poursuit jusqu’au fond d’un café. Enfin, il ne nous compose pas cette peinture avec discrétion et pudeur, mais nous impose de la contempler avec un humour trompeur. Dix fait un détour par la caricature pour mieux nous montrer la dure réalité qu’il symbolise. Nous sommes comme les spectateurs de l’époque, mais à la différence qu’eux pouvaient voir l’image douloureuse de ces hommes mutilés dans les rues et les cafés. Liens avec d’autres œuvres