Cartel des gauches

PAR QUESTION (+ 0,25 / question) Une réponse fausse n’entraine pas de point négatif (0 / question) Plusieurs réponses entraînent un point négatif ( - 0,25) Question 1 Le parti des Verts en France choisit l’autonomie sans alliance électorale à gauche : A. de 1974 à 1984 B. de 1984 à 1994 C. de 1974 à 1997 D. de 1984 à 2012 E. de 1988 à 2002 Question 2 La loi tendancielle de l’oligarchie au sein des organisations partisanes a été théorisée par A. Maurice Duverger B. Moseï Ostrogorski

variable capitale. Plus on est catholique pratiquant, plus on a de chances de voter à droite ; plus on est détaché de la pratique religieuse, plus on va avoir tendance à voter à gauche. A la fin des années 1970, 82% des catholiques pratiquants réguliers ont voté pour la droite alors que 86% des sans religions ont voté pour la gauche. Cette variable reste aussi toujours aussi pertinente. Si l'on prend les dernières élections présidentielles de 2007, 71,6% des catholiques pratiquants ont voté Nicolas Sarkozy

la propriété privée ; échange, investissement ou production libre * Assurer la liberté de contracter et garantir l’exécution des contrats ( = système juridique) * Garantir les règles d’une saine concurrence ( = interdire les monopoles ou cartels, ententes…) Formation des prix C’est la rencontre de l’offre et de la demande qui détermine le prix. La demande = quantité de biens et services que les consommateurs sont disposés à acheter à un prix donné. Quand les prix baissent, la demande

clients et partenaires de la banque. On se rend compte que le passif et l'actif devant s'équilibrer, la banque ne peut pas prêter plus que le montant de ses capitaux : car si les crédits représentaient un multiple des capitaux propres, la partie gauche enflerait de manière démesurée dans le bilan. Il faut donc que quelquechose entre d'un côté dans les capitaux propres pour qu'il puisse ressortir de l'autre sous forme de créances accordées aux emprunteurs. Ce système est idéal dans sa conception

eponse Les fonctions de profit sont donn´ees par : π1 = a − b(q1 + q2 ) − 2c − e · q1 π2 = a − b(q1 + q2 ) − 2c + e · q2 Les cpo ∂π1 ∂q1 ∂π2 ∂q2 = 0 ⇔ 2bq1 = a − bq2 − 2c − e = 0 ⇔ 2bq2 = a − bq1 − 2c + e Soit, en regroupant les termes en q1 et q2 a` gauche des deux signes ”=” : 2bq1 + bq2 = a − e − bq1 + 2bq2 = a + e − c 2 c 2 En utilisant la r´esolution par inversion de matrice (dite aussi de Cramer), l’´equilibre de Cournot est donn´e par : q1 (q2 ) = 2a−c−6e 6b q2 (q1 ) = a+3e−c/2 3b La quantit´e

socialistes au pouvoir L’incapacité des gouvernements de droite de Pierre Laval puis d’André Tardieu à résoudre les problèmes posés par la crise aboutit à leur défaite aux élections de 1932. La gauche l’emporte largement à la Chambre avec 334 députés, contre 259 pour la droite. Au sein de la coalition de gauche vient en tête le parti radical-socialiste (157 sièges), talonné par la S.F.I.O. (129 sièges). Celle-ci est écartée du pouvoir par le nouveau président Édouard Herriot, qui décide de gouverner

il revient de 1926 à 1929, où il mène encore un gouvernement d’union nationale. On constate la volonté de prolonger l'« Union sacrée », même si on note un retour du clivage gauche/droite en 1924-1926, avec le Cartel des gauches. La démission de Poincaré à l’été 1929, marque le retour progressif mais définitif du clivage gauche/droite dans la vie politique française

conscience, garantit le libre exercice des cultes, mais n’en reconnaît, n’en salarie, n’en subventionne aucun". 1906-1907: Conflit des inventaires. Les inventaires des biens des lieux de culte provoquent les protestations des paroisses. Division de gauche radicale (souhaite éliminer la religion) et modérée (pour la liberté de conscience). Division de la droite radicale (rejette en bloc la séparation) et modérée (tente d’atténuer les effets de la séparation). Janvier 1907: Loi sur l’appartenance

France et le Vatican. ( On peut utiliser l’expression « combisme » comme le symbole de la politique anticléricale et comme prologue à la séparation de l’Église et de l’État. L’action d’Emile Combes traduit en actes le militantisme du « Bloc des gauches » et contribue à asseoir durablement l’encadrement républicain et laïque de l’État par l’épuration de l’administration, la magistrature et l’armée. Emile Combes apparaît tout au long de ces débats favorable davantage à une logique de contrôle strict

tout, l'opposition ne désarme pas tout à fait. Sur sa droite, le bonapartisme se heurte aux légitimistes, aux orléanistes, à l'ensemble des libéraux. Sur sa gauche, les députés républicains ont été les principales victimes de la « loi des suspects » qui a suivi le coup d'État du 2 décembre. Le bonapartisme Il ne se veut ni de droite ni de gauche ; rassemblant des éléments d'origine fort diverse, il se propose de supprimer les partis et de réconcilier les Français, et se présente comme une garantie