Cas Arcelor Mittal

200 salariés). Une majorité d’établissements est liée à l’automobile, et se situe au top100 des premières usines de France4. Raison sociale Arc International (Sites Arques & Blaringhem) Renault (Division Industrielle France) Cuincy et Maubeuge Arcelor Mittal (Sites de Gravelines, Isbergues et Desvres) Francaise de Mécanique Soc Européenne Véhicules Légers Du Nord (Sevelnord) Toyota Motor Manufacturing France Roquette Frères PSA-DAF (Division Auto. France) Bombardier Transport France Maco Production

en 2000 etc. … • Média : Universal et Vivendi (100 milliards de $, plus grosse opération de fusion), AOL et Time Warner, Disney et ABC. • Télécom : Orange/France Telecom, Vodafone/Mannesmann. • Informatique : PC Compact… • Métallurgie : Arcelor et Mittal, Thyssen/Krupp… • Agroalimentaire : Gillette, repris par Unilever, Pepsi reprend un grand nombre de marques. • Assurances : Allianz reprenant AGF, Axa et UAP. • Banques : BNP Paribas. • Services collectifs : EON dans les grands services

se situent au même stade de production et qui résulte en le contrôle par une même entreprise d'un produit ou service, elle se manifeste par la constitution d'un oligopole, ainsi la fusion dans le secteur de la sidérurgie entre les géants Mittal Steel et Arcelor renforce la concentration de ce secteur ; C A B La concentration verticale consiste en l'acquisition d'entreprise permettant de contrôler des stades successifs de production, que ce soit des stades antérieurs - concentration

Strasbourg, CH Troyes, CH Verdun, Cliniques, Maisons de retraites… Bureaux et services : : Caisse d’Epargne, Crédit Agricole, Décathlon, EDF, FNAC, La Poste, SFR, SNCF, Stade de la Meinau, Stade de Reims… Industrie : Alcan, Alstom, Arcelor Mittal, Arjo Wiggins, Champagne Pommery, Chamtor, Clariant, Continental, Converteam, Delphi, Faurecia, Fournier, Heineken, Kléber, Lafarge, Malteurop, MCC Smart, Novacarb, Nexans, Peugeot Motocycles, Philips, PSA, Smurfit Kappa, Solvay

client proactive et capacité d’anticipation…………………………p8 III) « Government Sachs »……………………………………………………………p9 1) Sa collusion avec le pouvoir………………………………………………….p9 2) La crise des subprimes………………………………………………………p11 3) Un cas : l’exemple de la dette grecque………………………………………p12 CONCLUSION……………………………………………………………………………...p13 BIBLIOGRAPHIE…………………………………………………………………………..p14 ANNEXE 1………………………………………………………………………………….p15 INTRODUCTION « Nous ne sommes pas plus capables que

l’extérieur c'est-à-dire la Chine et la Russie. Le Japon s’inspire de l’Occident également pour ne pas lui être soumis. Cela implique que le Japon soit capable de s’affirmer et pourquoi pas de contrecarrer les avancées des Européens comme ce fut le cas lors du conflit avec la Russie. L’ambition du Japon est d’être une puissance régionale assez forte pour élargir sa sphère d’influence au Sud de l’Asie et au Pacifique. Cette finalité nationaliste se renforce dans les années 1920 car le Japon est soumis

ne sont plus les seuls à perdre leur emploi », remarque Les Echos. Après les vagues de licenciements dans la finance et la multiplication des mesures de chômage technique dans l’automobile, « l’annonce, hier, de 9000 suppressions de postes chez Arcelor Mittal a fait l’effet d’une bombe ». « La crise financière s’était déjà muée en crise économique, elle pourrait maintenant prendre des allures de crise sociale. » Et pour les plus pessimiste, poursuit le quotidien, « la cause est entendue : l’économie

motivations de la mise en œuvre d’une démarche de Supply Chain verte. b) Impact sur l’organisation et la logistique : les effets majeurs des politiques environnementales sur l’entreprise. III) La Supply Chain verte en pratique a) Cas de Danone. b) Cas de Monoprix.  Conclusion Introduction D’après la commission de Brundtland (1987), le développement durable est un type de développement qui permet de satisfaire les besoins des générations présentes sans compromettre la capacité

: L’émergence de firmes multinationales quelques faits. En 1990, 91,4% des firmes multinationales sont issues des pays développés (Japon et Corée du Sud inclus). Au début des années 2000, ce ne sont plus que 70,7% d’entre elles qui sont dans ce cas. Sur la même période, la part des FMNs des pays en transition progresse, mais de manière limitée, passant de 2 à 3% du total. Le fait majeur de la décennie est donc l’essor des FMNs du Sud : en dix ans, en ratio du nombre de firmes, la part de celles-

société « appartient, psychologiquement et sociologiquement, à sa région d'origine. Dans le pire des cas, ses directeurs accepteront toujours les souhaits et ordres des gouvernements qui ont édité leurs passeports et ceux de leurs familles. » Dans le même registre, Estrella Tolentino pense que « la nation d'origine influence la capacité de ses firmes à réussir dans certaines industries. » Il existe des cas où cette mainmise de l'État est plus évidente, notamment en France, où de grandes entreprises publiques