Cas Essilor

Michel Delsaux, Air France Pierre Dichamp, Altadis Benoît Faller, Winterthur Philippe Galas, Alstom Marie-Claire Gobillot, Axa France Assurance Chantal Leveque, Retraites Unies Patrice Lohard, Dassault Aviation Mohamed Marfouk, Danone Olivier Maupaté, Essilor Gilles Mawas, BNP Paribas Bernard Molland Jacques Mougenot, PMU Monique Moutaud, Société Générale Philippe Pepin, Crédit Lyonnais Jean-René Rames, Axa Philippe Rouaud, Radio-France Sophie Ruderand, GSIT Thierry Thouron, Danone François-Xavier Tual

un chiffre d’affaires de 133 milliards d’euros (19 % du chiffre d’affaires de l’industrie) dont 50 milliards à l’exportation (17 % des exportations de l’industrie). Si deux membres du CAC 40 sont des entreprises significativement mécaniciennes : « Essilor » et « Air Liquide », le secteur regroupe un nombre beaucoup plus important d’entreprises de caractère plus artisanal dont l’effectif est compris entre 1 et 19 salariés, ce qui représente 18 % du chiffre d’affaires total de ces industries, 20 % des

l’audit. • Concernant la communication de documents au PCAOB, les firmes d’audit seront jugées sur la communication effective des documents demandés. Elles sont libres d’obtenir ou non l’accord préalable de leurs clients sur ce point, mais dans tous les cas elles ne pourront se dégager de leur responsabilité en arguant du refus de leur client. Les firmes d’audit américaines ayant comme associées, au sens des normes du PCAOB, des firmes d’audit étrangères doivent apporter la preuve que ces firmes associées

selon le type de produit : le mari : voiture, réparation, assurance vie; la femme : produits d'entretien, vêtements des enfants, produits alimentaires; décision conjointe : appartement, vacances; influence des enfants. Ex: le marché automobile (cas de l'influence des enfants: « Peugeot 806, la voiture que les enfants conseillent à leurs parents »). *Le rôle et le statut: Dans chaque groupe, un individu occupe une situation particulière qui lui confère un rôle et un statut spécifiques. Les gens

Management de Projets et innovation MAE Thématique 2014 1 Management de projets et innovation Christine TRIOMPHE Programme,  Planning & Cas  Management de Projets et innovation 2 MAE - Thématique MANAGEMENT DE PROJETS ET INNOVATION PROFESSEURE : C. Triomphe, IAE de Paris OBJECTIFS : Depuis un certain nombre d'années, le management de projet s'est développé et a pris une place croissante dans l'organisation et le fonctionnement des entreprises. Cet enseignement a

fusions-acquisitions comme l’un des problèmes non résolus en finance. Myers a écrit à ce propos en 1976 : « Mergers are tricky ; the benefits and costs of proposed deals are not always obvious », ce qui semble être encore d’actualité. En évoquant ce thème, un cas sur deux démontre que la fusion est vouée à l’échec. A ce niveau une question mérite d’être posée à savoir : Dans qu’elle mesure l’information contenue d’une annonce de fusion-acquisition permet-elle d’affecter l’évolution des cours boursiers

plus de 70 places salles de cours dotées de gradins de 50 places salles de cours pour les travaux dirigés bibliothèque-médiathèque « learning center », de plus de 600 m2 avec des espaces de travail pour les travaux réalisés en groupe (études de cas, exposés,...), une salle de consultation des périodiques, des bases de données documentaires,... salle de sport sur le toit terrasse offrant une vue panoramique sur marseille, la mer et notre-Dame de la garde (terrasse au dernier étage avec jardins

personnalisation, une demande de services associés à l’Achats du produit s’est également considérablement développée. On a ainsi vu apparaître de nouveau schémas de consommation tels que la location associée à une offre de services particulièrement intéressante (Cas des automobiles, copieurs), le désir d’un SAV performant, la notion de Satisfait ou Remboursé, etc… b) Focalisation sur la réactivité. Deux aspects sont à prendre en compte lorsque l’on aborde la réactivité. Tout d’abord, ce que les industriels

risquent de donner aux enfants en bas du lait de vache trop rapidement. Il est important de différencier les entreprises low-cost et les entreprises qui développent le « business social», dans le premier cas même si le gain financier est faible l’entreprise cherche à augmenter son profit, dans le second cas l’entreprise cherche un réel gain d’image, une reconnaissance des clients et un investissement durable à visé social. Que ce soit le développement du social business dans les pays émergents ou dans

domaines et de méthodes répartis en 5 blocs de 4 ou 5 modules hebdomadaires. Chaque module correspond à une thématique qui est traité soit sur un plan méthodologique, soit sur un plan professionnel. Ces sujets sont abordés concrètement par des études de cas animées par des professionnels issus des entreprises et sont développés sous l’angle méthodologique par des professeurs de grandes écoles et des professeurs d’université. Bloc 1 Bloc 2 Bloc 3 Bloc 4 Bloc 5 - Global supply chain management