Cas Pratique Defaut De Conformite Et Garantie Des Vices Caches

existant. Et dans ce marché, on distingue les résidences principales, des résidences secondaires et des résidences de loisirs. Parallèlement on trouve un marché de l’immobilier d’entreprise avec des spécialités professionnelles distinctes. C’est le cas du marché des immeubles de bureau ou des immeubles commerciaux avec toute la panoplie des immeubles commerciaux (centres commerciaux, hyper marchés etc.). On trouve sur ces secteurs des entreprises spécialisés (entreprises financières ou de construction

1101 du code civil Le contrat est une convention par laquelle une ou plusieurs personnes s’obligent envers une ou plusieurs autres à donner à faire ou à ne pas faire quelque chose. S’oblige : le contrat implique des obligations. Ce n’est pas le cas de toutes les conventions. La convention d’hypothèque n’est pas un contrat. Il reconnait un droit à son créancier mais son endettement est le même. Pas de modification dans sa situation passive. Il y a des classifications dans les contrats. Le

série de contrats spéciaux mais cette liste est incomplète et il faut y rajouter d’autres contrats qui figurent ailleurs dans d’autres codes, par exemple : contrat de transport dans le code de commerce. A cela, il faut ajouter les contrats nés de la pratique tels les crédits-bails. Ainsi que les contrats ajoutés ultérieurement dans le code civil. Il faut encore ajouter les contrats innommés qui ne rentrent dans aucune catégorie particulière qui ne sont que le fruit de l’imagination des parties. Il faudra

l’acquéreur sont essentiellement un défaut d’achèvement par le vendeur alors que le prix aurait été payé pour partie, ou la livraison d’un bien non conforme aux prévisions contractuelles, voire comportant des vices de construction. C’est pour cette raison que la VEFA fait l’objet d’une règlementation spécifique et impérative pour les biens immobiliers à usage d’habita- tion ou à usage d’habitation et professionnel (on parle de « secteur protégé »). Dans les autres cas, elle ne s’applique pas. QUELLES

Quelques qualifications voisines Première partie : l’encadrement de la VEFA Chapitre1 : le régime juridique de la VEFA Section 1 : le contrat préliminaire Section 2 : le contrat définitif Chapitre2 : les garanties de la VEFA Section 1 : les garanties au profit de l’acheteur Section 2 : les garanties au profit du vendeur Deuxième partie : lecture critique de la loi 44-00 Chapitre1 : les points forts de la loi Chapitre2 : les insuffisances de la loi Conclusion   2   Introduction La vente

cause. Il existe des contrats innommés qui ne ressemblent à aucun autre contrat nommé: contrats sui generis qui constituent une catégorie particulière. Les contrats nommés et innommés ont la même force obligatoire. Mais ce ne fut pas toujours le cas comme en droit romain où seuls les contrats nommés avaient force obligatoire car seuls ceux ci permettaient dʼagir en justice. À partir du VIe siècle: les contrats innommés bénéficient de leur propre action en justice (actio prescriptis verbis).

Droit des contrats spéciaux I] Définition des contrats spéciaux Il s'agit des différents contrats particuliers. C'est l'application des règles générales du Code civil. Il s'agit des différents contrats cas par cas, ensemble de règles spécifiques qui prennent leur source dans le droit général des obligations contractuelles. Selon l'article 1107 du Code civil, « les contrats, soit qu'ils aient une dénomination propres soit qu'ils n'en aient pas, sont soumis à des règles générales qui sont l'objet

de droit privé. La VEFA et d’autres qualifications voisines Les similitudes existantes entre la VEFA et d’autres types de ventes posent des problèmes de frontières. Certains exemples permettront d’illustrer cette problématique et les difficultés pratiques qu’elle peut engendrer. • La VEFA et la vente « prêt à finir » On l’appelle aussi « vente brute de décoffrage ». Dans ce type de vente, le vendeur s’engage à réaliser l’immeuble sans les finitions. De telles ventes sont envisageables dans deux hypothèses

dit « innommés » sont ceux qui ne relèvent d’aucune règlementation spécifique. Cette distinction qui semble simple de prime abord est en définitive en grande partie artificielle, tout simplement parce que bien des contrats innomés sont connus de la pratique ou par la jp au point d’être affublés d’une dénomination particulière, par exemple le contrat de location coffre fort, le contrat d’affacturage, le contrat d’ingénierie, ils ne font pas l’objet dans la loi d’une règlementation particulière mais il

la notion d’établissement. Il doit s’agir, selon l’opinion dominante, d’une organisation commerciale stable, dotée d’une certaine indépendance. La salle de conférence d’un hôtel louée par un vendeur ne répondrait pas à l’exigence de stabilité. En cas de pluralité d’établissements, celui qui a la relation la plus étroite avec le contrat sera privilégié, et non le principal établissement (lieu de réception de la commande, lieu d’expédition de l’objet, lieu d’établissement de la facture). Nb : Lorsqu’une