Cas Pratique Sur Le Consentement Au Mariage

Dissertation : La liberté du mariage Actuellement en campagne présidentielle, les candidats à l’élection s’attardent sur de nouvelles considérations dans le but de faire évoluer la société, les mœurs. Il n’est donc pas impossible que certains relancent le sujet du mariage et notamment celui du mariage homosexuel. En effet de nos jours les homosexuels sont la catégorie de couple n’ayant pas la possibilité de contracter mariage. Cette question relève donc de la liberté que possède tout un chacun de

CONSEIL DE METHODOLOGIE DU CAS PRATIQUE · Introduction (1) La phrase d’accroche n’est pas obligatoire dans un cas pratique. (2) En premier lieu, il faut rappeler les faits pertinents de l’énoncé en qualifiant juridiquement les parties et en synthétisant en se limitant aux situations évidentes. Définition de la qualification juridique des faits : la qualification

LE MARIAGE Le mariage est une notion qui n’a pas été définie par le Code civil qui n’en donne que les éléments et les conditions. Le mariage est l’union d’un homme et d’une femme dont la constatation constitue un acte juridique solennel et qui produit des effets imposés de manière impérative par la loi. La liberté nuptiale, c’est-à-dire la liberté de se marier, de refuser le mariage et de choisir son conjoint, a été reconnue par le Conseil constitutionnel (CC, 13 août 1993) et affirmé par la Cour

Les conditions de formation du mariage Cas pratique : Le cas pratique qui nous est proposés traite des conditions de formation du mariage. Nous répondrons successivement aux différentes questions soulevées par les deux énoncés à savoir dans un premier temps le cas du mariage posthume et ses limites puis dans un second temps la question de la réalité du consentement pour les « mariages blancs ». I. Les conditions de célébration du mariage posthume Dans les faits, Éléonore et Arthur ont pris

Corrigé de la séance n°1 LE MARIAGE (I) 2011/2012 Fiche d’arrêt (Cass. 1ère civ. 13 déc. 2005) Reprenez l’arrêt avec les étudiants et procédez à son découpage, afin d’identifier avec les étudiants les faits, la solution de la CA, les moyens, les motifs de la cour de cassation, le dispositif. (Insistez sur la terminologie motif/moyen) Faits : M. X et Mme Y se sont mariés le 11 décembre 1995. Le soir de son mariage, Mme Y a découvert que M. X entretenait une liaison avec une femme mariée

accord préalable au mariage, plus ou moins formel selon les cas. Les fiançailles sont un fait juridique. Il s’agit d’un simple engagement qui ne lie pas juridiquement son auteur. Le choix de cette qualification tend au respect de la liberté matrimoniale et au droit à ne pas se marier. Si on analyse la promesse de mariage comme un engagement juridique, tel qu’un contrat, on porte atteinte à la liberté du mariage. Le consentement des époux doit être entièrement libre jusqu’au mariage. Or, si on admet

Mariage mal acquis ne vaut. Pour accéder à l'état d’époux, il faut répondre à des conditions qui sont imposées par la loi et dont on peut y échapper. Ce sont ces conditions de validité d'ordre biologique ou moral, sans lesquelles le mariage peut être annulé, mais celles-ci ne sont pas immuables c'est-à-dire elles peuvent évoluer dans le temps avec l'évolution des mœurs et des mentalités. Le mariage est l'union d'un homme et d'une femme, constaté dans un acte juridique solennelle et dont découlent

TD Semestre 2 2011 Droit de la famille Deux devoirs minimums, pas de devoirs rédigés à l’ordi. Premier contrôle le 10mars et le deuxième après le galop ( 14 Mars soit cas pratique soit commentaire d’arrêt guidé) partiels le 2mai Tout coeff 1 sinon galop d’essai coeff 2 Méthodologie : CAS PRATIQUE 4 étapes: Première étape MAJEURE - Résumé des faits: Sélectionner les faits, écarte tout ce qui ne change pas la solution. Ensuite il faut les traduire juridiquement ( du langage courant

COMMENTAIRE DU DECRET DE GRATIEN               Modestin, jurisconsulte romain du IIIème siècle après J.C. a défini le mariage comme “une société de toute la vie, une communauté de droit divin et humain”. Beaucoup voyaient dans cette définition l’interpolation d’une idée chrétienne.             L’empreinte chrétienne du mariage se retrouve dans cet extrait d’un abrégé du décret de Gratien, texte de nature religieuse. Gratien, moine camaldule, est un canoniste. Il compose son décret entre

quelqu'un va venir contester cette situation et va demander une sanction, le ministère public assigne le couple pour obtenir l'annulation de ce mariage. Il l'assigne devant le TGI pour obtenir l'annulation de ce mariage. La cour d'appel de Bordeaux, dans un arrêt du 19 avril 2005 annule ce mariage (=> sens de la décision) au motif que selon la loi française, le mariage est l'union d'un homme et d'une femme. La même année, le couple forme un pourvoi en cassation. Par un arrêt du 13 mars 2007, la première