Cas Pratique Vice Du Consentement

THEME 1 LA FORMATION DU CONTRAT I. Les conditions de formation du contrat Article 1108 du code civil, "quatre conditions sont essentielles pour la validité d'une convention 1. le consentement de la partie qui s'oblige 2. sa capacité de contracter 3. un objet certain qui forme la matière de l'engagement 4. une cause licite dans l'obligation". A. La capacité La première condition de validité d'un contrat, en effet une personne incapable n'est pas en mesure (art 1123-1124) Art 1123

validité particulières. Très classiquement, on rencontre des conditions de fond, des conditions de formes et des sanctions. Section 1 : les conditions de fond : Ici il faut distinguer les conditions physiologique, les conditions relatives au consentement et à la capacité, et les conditions intéressants la moralité sociale. I- les conditions physiologiques : Elles portent d'une part sur le sexe et d'autre part sur l'age des futurs époux. Pour ce qui concerne le certificat prénuptial, qu'il fallait

Cette obligation de donner a été contesté en doctrine. En France, l’accord des volontés suffit pour que le contrat soit donné et cette accord suffit au contrat de vente et en droit français le transfère de propriété s’opère en même temps que les consentements soit échangé. Le vendeur n’est donc soumis à aucune obligation car la vente s’effectue au simple consensus. -L’obligation de faire et pas faire : obligation de faire qui astreint le débiteur à un fait positif (effectuer un certain travail pour

également observer qu’en droit notarial, on utilise également le mot obligation. Il s’agit d’un acte authentique constatant une personne est débitrice d’une somme d’argent en vers une autre personne, par exemple c’est le cas d’un prêt garanti par une hypothèque, on parle dans ce cas-là ; d’obligation hypothécaire. Section 2 : les caractères de l’obligation On peut donner 3 traits significatifs de l’obligation dans le sens juridique : * L’obligation d’abord est un droit personnel, de nature

que le droit réel confère à son titulaire un droit de suite et un droit de préférence. le droit de suite permet au titulaire d’un droit réel de suivre en principe la chose sur laquelle porte son droit en quelque main qu’elle se trouve Par exemple en cas de vente d’un bien hypothéqué, le créancier pourra saisir le bien qui a été vendu entre les mains de l’acquéreur. Le droit réel donne également un droit de préférence, c'est-à-dire d’être payé en priorité par rapport aux autres créanciers. Par contre

caractéristiques d'ordre substantiel 1108cciv, 4 éléments constitutifs du contrat de société. §1/ L’accord des volontés Les parties ont elles voulu ? Etaient elles aptes à vouloir ? A/ Le consentement Il doit être intègre et sincère 1) L’intégrité du consentement a) Les différents vices du consentement Erreur, Dol et violence. Violence peu fréquente, très théorique. L’erreur peut d’abord porter sur la personne de l’associé. En droit commun cette erreur sur la peronne est prise en considération

autorité. L’interlocuteur doit se dire que lorsque le juriste parle, sa parole est plus importante que l’information rencontrée sur internet ou auprès d’un professionnel du secteur. Le 2ème profane est celui qui n’est pas néophyte, il a déjà la pratique des contrats et est déjà intervenu dans le domaine. Il connait la technique, les pièges et les problèmes des contrats. Il faut donc aller à l’essentiel en apportant une plus value. Les interlocuteurs, non juristes, mais au même niveau que nous de

par l’art 1108c.civ « Quatre conditions sont essentielles pour la validité d'une convention : Le consentement de la partie qui s'oblige ; Sa capacité de contracter ; Un objet certain qui forme la matière de l'engagement ; Une cause licite dans l'obligation. » Les quatre conditions répondent à quatre questions : les parties ont-elles voulu s’engager par le contrat ? C’est la condition du consentement. Les parties étaient-elles capables de contracter ? C’est la condition de la capacité. Qu’est-ce

déterminer des éléments de qualification (chapitre II). Chapitre I : la notion de contrat spécial Une compréhension rapide du terme pourrait laisser penser qu’il existe un contrat général et puis des contrats spéciaux. Ce n’est évidemment pas le cas, car le contrat en lui-même n’existe qu’au travers de sa qualification en ce sens que l’on ne conclut pas un contrat, mais une vente, une donation, un bail etc…. Il n’y a pas de contrat spécial, parce qu’il n’y a pas de contrat général ! Paragraphe

CAS PRATIQUE SEANCE 12 A) Le dopage de Maurice Maurice Hauriou, champion de France de karaté, se serait dopé en prenant de l’alcool chinois, le 30 octobre 2014 avant une compétition. Il fait donc l’objet de mesures disciplinaires par deux décisions le 8 janvier 2015 prise par la Fédération Française de Karaté (FFK). Celle-ci a d’abord pris la décision de lui retirer son titre de champion de France et l’autre de le sanctionner par trois mois de suspension et la dégradation de la ceinture noire à