Cass 1re Civ 12 Juillet 2006

Revue française de droit administratif 2006, Chroniques p. 661 L' « acte de gouvernement » n'est pas insaisissable(1) par Elise Carpentier Maître de conférences à l'Université d'Aix-Marseille III * * *         « La théorie des actes de gouvernement constitue une des matières les plus controversées du droit administratif »(2).         Le 8 septembre 2005, M. Hoffer demandait au Conseil d'Etat, sur le fondement de l'article L. 521-1 du code de justice administrative, d'enjoindre au Premier

L’étiquetage nutritionnel………………………………………………….p 7 1. 5. 3. La loi de Jean-Marie le Guen………………………………………........p 8 PARTIE II. COMPORTEMENT ET ATTENTES DES CONSOMMATEURS 2. 1. Tendance de la consommation…………………………………………………...p 12 2. 1. 1. Le plaisir…………………………………………………………………..p 12 2. 1. 2. La santé…………………………………………………………………..p 13 2. 1. 3. La praticité………………………………………………………………..p 13 2. 2. Nouveaux comportements alimentaires………………………………………….p 13 2. 2. 1. Les produits allégés……………………………………………………..p 14 2. 2

l’affaire Wilkes v. Wood16, John Wilkes demandait des dommages intérêts exemplaires pour être Voir par ex. l’affaire “Towle v. Blake”, 48 N.H. 92, 96 (1868) (la court accorde punitive damages pour le préjudice causé suite à un acte de violence). 12 Voir par ex. L’ affaire “Davidson v. Goodall”, 18 N.H. 423, 430-31 (1846) (punitive damages pour seduction) ou l’affaire “Greenleaf v. McColley”, 14 N.H. 303, 306 (1843) (punir les defendeur avec “punitive damages for breach of promise to marry”). 13

................................................................ 36 Page 3 8 7924 TE PA 03 Introduction La définition de la libéralité est donnée par l’article 893 alinéa 1er du Code civil, dans sa rédaction issue de la réforme du 23 juin 2006 : « la libéralité est l’acte par lequel une personne dispose à titre gratuit de tout ou partie de ses biens ou de ses droits au profit d’une autre personne. Il ne peut être fait de libéralité que par donation entre vifs ou testament ». Nous ferons

décembre 19961 pour la règlementation de l'activité, • articles 1984 à 2010 du code civil pour la définition juridique du mandat, • la loi n° 92-1442 du 31 décembre 19922 concernant les délais de paiement et les pénalités, • la loi no 91-650 du 9 juillet 19913 concernant les procédures civiles d'exécution. Les obligations réciproques du mandant et du mandataire sont décrites dans les articles 19934 et 19985 du code Civil. En cas d'agissement douteux de la part d'une société mandataire, la responsabilité

RÈGLES CONCERNANT LES CRIMES ET LES DÉLITS, ET LES PEINES QUI LEUR SONT APPLICABLES. L’ARTICLE 37 PRÉCISE QUE TOUT CE QUI N’EST PAS DU DOMAINE LÉGISLATIF EST RÉGLEMENTAIRE. CETTE DIVISION A PRODUIT UNE JURISPRUDENCE PAR UNE DÉCISION DU CONSEIL D’ÉTAT DU 12 FÉVRIER 1960 : LE LÉGISLATEUR EST COMPÉTENT POUR LES CRIMES ET DÉLITS, ET LE RÉGLEMENTAIRE EN MATIÈRE DE CONTRAVENTION. L’ARTICLE 8 DE LA DÉCLARATION DES DROITS ET DU CITOYEN PRÉVOYAIT POURTANT UNIQUEMENT LA LOI. LE CONSEIL D’ÉTAT A CONSIDÉRÉ QUE LA

juridiction ne connaît pas en principe de litiges relevant de ce droit. Quelques décisions ont toutefois un intérêt de premier plan en ce domaine. C’est ainsi qu’une décision de la CIJ, NOTTEBOHN du 6 avril 1955 a considéré qu’un lien de nationalité qui 12 n’est pas suffisamment effectif est inopposable aux tiers, tandis qu’une décision BOLL du 28 novembre 1958 a admis, en matière de tutelle des mineurs, l’éviction de la loi nationale du mineur au profit de la loi de l’Etat de résidence du mineur, pour

Section4 : Un contrat translatif. 8 4.1 La vente et la mise à disposition : 8 4.1.1 La vente et le bail 9 4.1.2 Deuxième distinction : la vente est différente d’un prêt. 10 4.2 La vente et les contrats de représentation : 11 Section5 : Un contrat onéreux. 12 5.1 La vente et l’apport en société : 13 5.2 Vente et échange : 13 Le régime de l’échange : 14 5.3 La vente et la dation en paiement : 15 LA FORMATION DE LA VENTE : Consentement / Avants Contrats / Objet 16 Introduction 16 Chapitre 2 : Le Consentement

les parties, par la cour d'appel d'Aix-en-Provence ; DIT n'y avoir lieu à renvoi ; DIT que Renée X..., née le 3 mars 1957 sera désignée à l'Etat civil comme de sexe féminin. Document 3  : Cour Européenne des Droits de l’Homme, Grande chambre, 11 juillet 2002, 28957/95 Mme GOODWIN c/ R-U1. A l'origine de l'affaire se trouve une requête (no 28957/95) dirigée contre le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord et dont une ressortissante de cet Etat, Mme Christine Goodwin (« la requérante »)

unissant l'enfant à ses parents ou un seul d'entre eux. La loi ne distingue plus aujourd’hui entre filiation légitime et filiation naturelle. Filiation légitime → Filiation de l'enfant né de parents mariés entre eux. L'ordonnance n°2005-759 du 4 juillet 2005 a gommé de du corpus législatif les notions d'enfant naturel et légitime afin de parfaire l'égalité entre les filiations. Filiation naturelle → Filiation de l'enfant né de parents qui ne sont pas mariés entre eux. - Lien collatéral = germain