Cass 1re Civ 12 Juillet 2006

d'abord sur le capital. En outre, il peut subordonner ces mesures à l'accomplissement, par le débiteur, d'actes propres à faciliter ou à garantir le paiement de la dette. Les dispositions du présent article ne s'appliquent pas aux dettes d'aliments. 12 La réforme opérée par la loi n° 2003-710 du 1er août 2003 d'orientation et de programmation pour la ville et la rénovation urbaine offre désormais deux issues distinctes aux situations de surendettement : l'apurement du passif sur dix ans ou l'effacement

passif du 10 avril 1998. AUVE : Acte Uniforme portant organisation des procédures simplifiées de recouvrement et des voies d’exécution du 10 avril 1998. AUS : Acte Uniforme portant organisation des sûretés du 15 décembre 2010. Bull. civ.: Bulletin des arrêts de la Cour de cassation- Chambre civile. Bull. com. : Bulletin des arrêts de la Cour de cassation- La Chambre commerciale. Cass.civ. : Chambre civile de la Cour de cassation. Cass.com. : Chambre commerciale de la cour de cassation

d’expliquer de nouvelles nationalisations et quelques lois protégeant les petits commerces. Depuis quelques années, nous assistons à une volonté de modernisation de certaines institutions commerciales. Par exemple, le droit des sociétés, la loi du 24 juillet 1966 a refondu complètement le droit des sociétés. Depuis cette loi, la volonté du législateur est d’accompagner le développement de l’activité sociétaire par la mise en place de structures beaucoup plus souples. Exemple : les Sociétés par action

d’une façon permanente, leurs connaissances ou leur activité dans un but autre que de partager des bénéfices. Elle est régie, quant à sa validité, par les principes généraux du droit applicables aux contrats et obligations » (article 1 de loi du 1er juillet 1901 relative au contrat d’association). L’article 1134 du Code civil affirme depuis 1804 les principes d’autonomie de la volonté et de la force obligatoire en droit des conventions qui, « légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont

Convention européenne des droits de l'homme par Frédéric SUDRE Professeur à l'Université Montpellier I, Directeur de l'Institut de droit européen des droits de l'homme (IDEDH. EA 3976) De toutes les réformes issues de la révision constitutionnelle du 23 juillet 2008, celle permettant à un justiciable de soutenir, à l'occasion d'une instance en cours devant une juridiction, que la disposition législative en cause porte atteinte aux droits et libertés que la constitution garantit est certainement la plus importante

comptes est désigné, pour garantir une bonne gestion, dans un domaine d’intervention extralégal, la jurisprudence française (T.G.I. Nice 19 avr. 1978, pour une S.C.I., et Versailles 14 mai 1986, pour un syndicat de copropriétaires régi par la loi du 10 juillet 1965)(5) considère que « les deux parties contractantes entendent placer leur convention sous l’empire de la loi », et non de leur loi, avec toutes les conséquences de droit que cela emporte. Les parties ne peuvent donc pas se placer dans le champ

privilégié. Le créancier, qui a une sûreté personnelle, a un droit de créance sur le patrimoine à titre de garantie est un droit ordinaire. Il a deux débiteurs au lieu d'un. Il est un créancier chirographaire. Dans le code civil, une ordonnance du 23 mars 2006, il y a un livre IV (des sûretés): - dispositions générales - Titre 1: 2287-1 à 2322 (des sûretés personnelles) - Titre 2: 2323 à 2488 (des sûretés réelles) Partie I: Les sûretés personnelles Une sureté personnelle se réalise par l'adjonction

aucune des parties n’invoque l’application d’une loi étrangère, le juge est-il tenu d’appliquer la RCL ? → Il y a une grande variation de jurisprudence sur cette question, « la valse de l’hésitation ». 1- La jurisprudence Brisbal du 12 mai 1959 Les époux Brisbal sont de nationalité espagnole vivant en France, et voulant divorcer font une demande de divorce devant un juge français. Les juges ont refusé le divorce car la loi espagnole prohibait ce dernier. Aussi les époux

réflexion, ma seule ambition a été de dégager les moyens juridiques visant à favoriser tout ce qui peut servir l’intérêt de l’enfant dans sa vie quotidienne après la séparation de ses parents. (1) Cour de cassation, civile 1ère, 24 février 2006, JurisData n° 2006-032294. (2) Cf. annexe I : Lettre de mission du Premier ministre en date du 8 avril 2009. — 8 — Dans le souci d’entendre l’ensemble des acteurs de terrain, quelle que soit leur analyse, il a été procédé à une évaluation sans a priori

informations, des informations personnelles plus précisément. En effet, le droit à l'oubli s'inscrit dans le registre des droits de la personnalité, c'est-à-dire les droits qui concernent les ressorts intimes et les caractéristiques propres de chacun (12) . En pratique, il a vocation à protéger le nom de la personne ou d'autres informations personnelles (adresse, âge, sexe, etc.). En d'autres termes, il prend l'apparence, soit d'un droit à l'anonymat, soit d'un droit à la confidentialité. Par ailleurs