Cass Civ 1ère 13 Mars 2007

civil. En réalité les révolutionnaires ont échoué dans leur création du code civil. A l’époque des consuls, la France est dans une stabilité politique et économique, et Bonaparte va en faire une priorité du consulat et fera adopter le code civil le 21 mars 1804. Le code civil s’appelle officiellement le code Napoléon. II/ La dimension politique du code civil A/ L’individualisme Est-ce que le code civil est un code individualisme ? D’après de nombreux auteurs oui. Ernest Renan pense que le code

descendants, les ascendants, et le conjoint. La loi du 23 juin 2006 a supprimé la réserve des ascendants. (elle leur a octroyé, néanmoins, un droit de retour sur les biens donnés). Le conjoint, pour les successions ouvertes à compter du 1er janvier 2007, est réservataire à une double condition : ne pas être divorcé d’une part, et que le défunt ne laisse aucune descendance d’autre part. Il ne dispose donc de la qualité d'héritier réservataire que par défaut. La réserve des descendants est globale

 droits  dont  elles  ont  libre  disposition  ».  ART  2061  «  Sous  réserve  (…)  la  clause   compromissoire  est  valable  (…)  ».       Afin  d’avoir  une  meilleure  lisibilité  du  droit  de  l’arbitrage,  on  a  recodifié  dans  le  décret  du  13  janvier   2011,   les   décrets   de   1981,   et   1980.   Les   solutions   majeurs   figurent   (celles   intégrées   dans   le   code   de   procédure  civile).       2. Sources  internationales     a. Les  conventions  internationales     Les

Responsabilité de plein droit. S’il y a faute, la victime peut l’invoquer, pour des dommages et intérêts plus importants. Mais quand il n’y a pas de faute, on utilise l’art 1384-1. 1 La chose. La chose se sera toute sorte de chose. L’arrêt Jand’heur le 13 février 1930 l’art 1384 rattache la responsabilité à la garde de la chose et non à la chose elle-même. La loi, ne distingue pas suivant que la chose qui a causer des dommages étant ou non actionné par la main de l’homme. Il n’est pas nécessaire qu’elle

pieds, les contrats d’assurance sur la vie en unités de compte qui ont progressivement remplacé nos bons vieux contrats d’assurance-vie qui étaient libellés en monnaie jusque dans les années 1970 ! PRIPs !!! Pour l’anecdote, on rappellera que, depuis 2007, la Commission européenne tente de mettre en place, dans un souci de cohérence et de clarification (sic !) une réglementation protectrice des consommateurs qui accèdent aux marchés financiers, commune aux OPCVM, aux produits structurés, aux contrats

Droit des sociétés Sur EPREL il y a un document à voir. Galop d’essai : Mardi 3 mars dans l’amphi C de 13h à 17h Bibliographie : Causian Lecanu Merles, précis Dalloz (société commerciale uniquement) Mémento, Francis Lefèvre Germain et Manier, traité de droit des affaires tome 2 qui porte sur les sociétés commerciales Revues juridiques sur le droit des sociétés Quelques encyclopédies voir la fiche sur EPREL Voir fiche pour sites. Quelques chiffres : … Si le nombre de SNC et de commandite est

généraux du droit se sont des principes dégagés par le Conseil d'Etat. Ce sont donc des normes jurisprudentielles. 6 La jurisprudence a des inconvénients car juridiquement parlant, elle a un effet rétroactif. Ainsi, depuis l’arrêt Tropic de 2007, le Conseil d'Etat limite dans certains cas les effets dans le temps de sa propre jurisprudence et va décider dans certains cas de ne pas lui accorder d’effet rétroactif. Les PGD sont des normes jurisprudentielles spécifiques car : Ø Ce sont

rupture etait illegitime = soutraction a ses bligations de paternites). Il n’est pas certain que la jurisprudence abandonne, en dehors de cette hypothese, les solutions classiques : la victime devra prouver l’illegitimite des causes de la rupture.1er civ, 4 janv 1995 : c’est a la victime de prouver l’illegitimite de la rupture. Le sort des cadeaux Parmi tous les cadeaux pouvant etre offerts a l’occasion des fiancaille, un regime particulier devra etre accordee a la bagues des fiancaille Le

un contrat ou acte juridique. Les préjudices : moral, matériel. Les restitutions consécutives à la rupture des fiançailles. Le juge les détermine par 2 critères : La nature des cadeaux. La conséquence de la rupture. 1ère règle : s’il s’agit d’un cadeau important le principe est la restitution (art. 1088 C.c. dispose : « La donation disparait s’il a été fait en vu du mariage et ceci n’a pas été fait », même si c’est un cadeau important, si les circonstances de la rupture

droits de propriété intellectuelle et les situations juridiques qui justifient en cas d’infraction l’action en concurrence déloyale qui est un avatar de l’action en responsabilité civile fondée sur l’article 1382 du Code civil. Depuis une loi de 2007, la réparation de la contrefaçon ne relève peut être plus des principes de la responsabilité civile, de la concurrence déloyale notamment. Exemple : La protection de l’enseigne commerciale du commerçant s’exerce par l’action en concurrence déloyale