Cass Civ 1ère 8 Décembre 1998

les biens immeubles La maxime ne détermine plus la classification même si elle conserve une valeur ethnologique B_ Le contenu de la qualification C’est la loi et non pas la volonté des parties qui détermine ce qui est meuble ou immeuble Civ 3, 26 juin 1991 [B.N°197 JCP 92II21825] « la nature immobilier ou mobilière d’un bien est définie par la loi et la convention des parties ne peut avoir d’incidence à cet égard », la volonté des parties peut avoir un rôle mais déterminer indirectement

exceptionnelle gravité exposant sans raison valable, son auteur à un danger dont il aurait dû avoir conscience. Circulation d’un cycliste à sens inverse sur une bretelle d’autoroute. 5 Les produits défectueux. Art 1386 du code civil. Loi du 19/5/1998. Cette loi constitue la transposition Régime particulier pour les dommages par les produits défectueux. Ce régime ignore la responsabilité contractuelle ou responsabilité délictuelle. Le même régime s’applique dans tous les cas. Le producteur est

ensuite passer à une seconde étape à savoir la liquidation de la succession. S’il a deux enfants, et sa femme. Donc dévolution légale de la succession, les biens successoraux du défunt vont être attribué à ¼ en propriété à la femme, et 3/8 pour l’enfant A et 3/8 pour l’enfant B. Le de cujus n’a pas fait de libéralité, s’il en avait fait, la transmission de sa succession aurait été modifié, il aurait put faire un testament avec des legs. Le régime matrimonial peut aboutir à vider la succession.

personne se disant injustement condamnée (cf. l'affaire Omar Raddad). Les rapports délivrés à l'issue d'enquêtes effectuées en vue de la préparation d'un constat: L'huissier de justice, pas plus que l'avocat, n'est habilité à effectuer des enquêtes (Cass. 2e civ. 15 avril 1981). Il sera donc demandé dans certains cas au détective de vérifier que toutes les conditions sont réunies pour que l'huissier soit en mesure de dresser un constat à coup sûr, en évitant un échec qui risquerait de ruiner toute possibilité

jugé que « il n’est pas contesté que la diffusion sur le réseau internet des photographies de Lynda Lacoste, sans son autorisation, constitue une atteinte au droit qu’elle a sur son image, attribut de sa personnalité » (Cour d’Appel de Versailles, 1ère ch., 8 juin 2000). Enfin, comme le rappelle un auteur « une exposition est au même rang qu’une reproduction dans la presse. En pur droit, peu importe en effet que l’image soit très éphémère ou fixe, grande ou petite, imprimée à un seul exemplaire ou

p. 65s. Au sortir de la guerre, en accompagnement de la création de l’organisation de la sécurité sociale, la question s’est posée de déterminer si ces juridictions devaient relever du contentieux de l’ordre administratif ou de l’ordre judiciaire[8]. Les arguments en présence ne permettaient pas de trancher clairement la question. En faveur du rattachement à un contentieux de nature administrative[9], on avançait essentiellement l’idée que l’organisation de la sécurité sociale dans son ensemble

Bull. civ. = bulletin des arrêts des chambres civiles des arrêts de la Cour de cassation. CA = cour d'appel. C.civ. = Code civil. C.consom. = code de la consommation. C.éduc. = code de l'éducation. C.mon.et fin. = Code monétaire et financier. CCH = Code de la Construction et de l'Urbanisme. cep. = cependant. ch. = chambre. chr. = chronique. Civ. = chambre civile. Civ. 1ère = 1ère chambre civile de la Cour de cassation. Civ. 2ème = 2ème chambre civile de la Cour de cassation. Civ. 3ème =

1 Dossier n° 1 : Droit des sociétés L3, 2013/2014. Conseils, bibliographie et plan de cours Université de Paris 8 Saint-Denis. UFR de Droit Licence 3 ème année (L3) Année 2013/2014 Droit des sociétés : cours du Professeur Jérôme Bonnard Semestre 1 : Cours Parcours Privé et Parcours Public Travaux dirigés pour les étudiants du parcours droit privé Thèmes des dossiers de travaux dirigés Dossier n° 1 : Conseils, bibliographie et plan de cours Dossier n° 2 : Le choix de la forme de

quelques-unes de celle-ci sont contraires. Une norme écrite de droit interne (loi ou décret) est contraire aux dispositions d’un acte uniforme parce que les prescriptions respectives des deux textes sont manifestement incompatibles. La loi du 22 décembre 1999 portant statut général des entreprises du secteur public et parapublic offre des exemples de dispositions de cette nature. L’article 82 par exemple parlant de la liquidation des entreprises du secteur public et parapublic ne vise que celle

décret n°54-406 du 10 avril 1954, la loi du 29 novembre 1966 sur les SCP,  la première loi de fusion du 31 décembre 1971 avec les avoués de Grande Instance, la seconde loi de fusion du 31.12.1990 entre les avocats et les conseils juridiques, la loi du 31 décembre 1990 sur les Société d’Exercice libéral, la loi du 15 mai 2001 NRE étendant les SAS aux professions libérales. La Loi MURCEF du 11 Décembre 2001 permettant aux professions libérales réglementées de constituer des Sociétés de participations financières