Cass Civ 2ème Chambre 6 Février 2008

que c’est le fondement de l’enrichissement sans cause qui fonde tous les quasi-contrats. La jurisprudence récente est venue perturber cette possibilité de faire une théorie générale des quasi-contrats et nous verrons notamment l’arrêt du 6 septembre 2002 chambre mixte de la Cour de Cassation qui a peut être découvert un autre quasi-contrat mais dans une hypothèse où on n’a pas d’un côté un enrichissement et de l’autre un appauvrissement c’est ce qu’on a appelé les affaires de loteries publicitaires

patrimoine autonome qui ne sera plus celui du constituant mais qui ne s’intégrera pas non plus à celui du fiduciaire ». 6 Sur les règlements des litiges internationaux, voir le Rapport du Groupe de Travail sur le Droit applicable et le règlement des différends dans les financements islamiques, 21 septembre 2009, www.financeislamiquefrance.fr. la mourabaha et au sukuk en février dernier, elle a annoncé la publication prochaine de nouvelles instructions pour les opérations d’ijara et d’istisna. Ce

principe, celui de la non rétroactivité de la loi nouvelle. Enfin, c'est dans ce titre que l'on trouve le texte qui fonde la prohibition des arrêts de règlement : les juges ne peuvent pas procéder par voie de […] générale. Il y a également l'article 6 qui fait obstacle à la possibilité de déroger à des conventions particulières aux lois qui intéressent l'ordre public et les bonnes mœurs. – Le livre premier du C.C. : il regroupe les articles 7 à 515-8 et il est intitulé « Des personnes ».

La commercialité a un impact sur le tribunal à saisir. Simple en première instance, mais si le contentieux remonte jusqu'à la Cour de cassation, il se trouve qu'il n'y a pas toujours une parfaite unité au sein des arrêts de la Cour. La chambre civile et la chambre commerciale s'opposent, la première étant plus protectrice des cautions, la seconde moins encline à la protection. Du coup, il y a des différences de Jp. Et qualifier le cautionnement n'est alors pas indifférent, la solution finale pourrait

réalisé qu’après la liquidation de la communauté. Elle permet de déterminer les droits de chacun. Chapitre 1 : la dissolution de la communauté. Section 1 : Les causes de dissolution de la communauté. Article 1441 C civ : Cet article énumère les causes de dissolution (6 réparties dans 2 catégories) : -conséquences d’une dissolution du mariage. -dissolution de la communauté avec maintien du mariage. §1 : Dissolution de la communauté en conséquence de la dissolution du mariage. La

publique : « l’interdiction d’aliéner serait inutile si l’Etat n’était pas propriétaire ». L’Etat peut être propriétaire de son domaine : * CE 17 janvier 1923, Piccioli : le charbon trouvé en Algérie a été reconnu comme propriété de l’Etat * Civ 6 juillet 1896 : application de droit des propriétaires à des personnes publiques. Deux siècles plus tard, le Conseil constitutionnel a admis l’existence d’un droit de propriété publique comparable au droit de propriété privée. Il n’a cessé de le

constitutionnel, 1987, sur la concurrence: réserve u juge admin une certaine compétence. Loi de 86: exemple d'un contentieux de la concurrence qui a été judiciarisé. Litiges portés devant la cour d'appel de Paris, sous le contrôle de la cour de cass. Le droit public des affaires est donc très différent du droit administratif. Droit public des affaires a certaines spécificités: du point de vue des sources, il est vaste. Il va tenir compte des différents avis de l'activité consultative des organes

1er cas: en présence d'une obligation naturelle lorsqu'il y avait une obligation civile ms qu'elle a été imparfaite parce qu'un obstacle a empêché soit la naissance soit la survie de l'obligation, ex: hypothèse d'une dette éteinte par prescription. 2ème cas: en présence de devoirs dictés par la conscience. Les relations de famille ou de couple → terrain privilégié de développement de ces obligations naturelles. Dans le cas de cette obligation naturelle beaucoup d'exemples. Section 2: Les sources

(sépultures). A priori cette thèse est séduisante, car elle semble confirmer, corroborer par les critères de la personnalité morale admis par la jurisprudence. En effet, la cour de cassation a décidé dans un arrêt de principe du 28 Janvier 1954 de la 2ème chambre civile « La personnalité civile appartient en principe à tout groupement pourvu d'une possibilité d'expression collective pour la défense d'intérêts licites dignes par suite d'être juridiquement reconnus et protégés ». Or, on a assisté à la multiplication

chapitre, c'est-à-dire assimiler les différentes méthodes de solutions des conflits, le mécanisme de la règle de conflit elle-même (unilatérale, bilatérale, droit international privé matériel, technique de proximité, lois de police et de sûreté etc). La 2ème séance aura pour objet le conflit des qualifications. La 3ème séance est relative au renvoi. La 4ème portera sur les questions d'application du droit étranger, donc les questions générales qui se présentent quand on donne compétence au droit étranger