Cass Com 10 Mars 2004

commerce pour les SAS) - une majorité renforcée suffit pour la modification des statuts dans la plupart des sociétés - la supériorité de la clause statutaire sur la clause extra-statutaire contraire est affirmée par le juge. (Cass. com., 15 février 1994) Remarque : On peut d'ailleurs raisonner parfois en la matière d'une manière séquentielle et décider par exemple que telle ou telle prérogative sera dans un premier temps régie par un pacte d'actionnaires, puis dans un second

pays pourrait résulter d’une relation préexistante entre les parties, telle qu’un contrat. Le Règlement prévoit enfin des règles propres en matière de quasi-contrats : Ainsi, en matière d’enrichissement sans cause et de gestion d’affaires, les articles 10 et 11 du Règlement prévoient l’application en cascade, soit de la loi de la relation préexistante – s’il en existe une –, soit de la loi du pays de la résidence commune, soit de la loi du pays dans lequel l’enrichissement sans cause ou la gestion d’affaires

exécution d’une obligation contractuelle. Il est simplement tenu de respecter le contrat. Les parties ne sont liées qu’entre elles par leur volonté commune et réciproque. 1 Cass. Civ 1ère 28 janvier 1997 (RCA 1997 n°128) « impossibilité pour un tiers d’être lié par un contrat auquel il n’a souscrit aucun engagement ». 2 Cass. Civ 1ère 15 février 2000 ( Bull civ I n° 47) « une société ne peut être condamnée à payer des travaux commandés par une autre société ». 3 Le principe de l’effet relatif

s'appliqueraient qu à défaut de l'existence des dispositions conventionnelles susvisées. La Convention de New York de 1958 est la convention applicable dans la plupart des Etats de membres de l'OHADA. Sur les seize (16) Etats actuellement membres de l'OHADA, dix (10) sont parties à cette convention224(*). Plusieurs Etats membres de l'OHADA sont également parties à des accords de coopération judiciaires faisant référence à l'exécution des sentences arbitrales. Ces accords conclus au plan régional ou continental

LGDJ, 1994. – F. FERRAND, Rép. civ. Dalloz, V° Preuve, 2006. S’agissant des travaux collectifs : Ch. PERELMAN et P. FORIERS (ss dir.), La preuve en droit, Bruylant, 1981, p. 357 ; Droits 1996, n° 23. – C. PUIGELIER (ss dir.), La preuve, Economica, 2004. 2 E. DUMONT, Préface, in J. BENTHAM, Traité des preuves judiciaires, t. I, Bossange Frères, Paris, 1823, p. ij. 3 Ibid. p. V. – En réalité, le Traité des preuves judiciaires ne constitue pas une théorie générale de la preuve, mais la remarque de Dumont

a provoqué une véritable aversion des banques et menacé le crédit aux entreprises saines alors que la loi de 1985 n’avait pas prouvé son efficacité économique. Sous la pression du secteur bancaire le législateur a dû adopter une loi modificative du 10 juin 1994. Plusieurs mesures sont prises en faveur des créanciers antérieurs : - la période d’observation n’est plus obligatoire ; - le privilège « de la procédure collective » est rétrogradé si la période d’observation ne débouche pas sur un plan -

Le monopole bancaire. Exercice : Commentaire de l'arrêt rendu par l'Assemblée plénière de la Cour de cassation le 4 mars 2005, pourvoi n° 03-11725 . En 1986, La Caisse, succursale belge de la société Axa Bank, a consenti à des prêts hypothécaires souscrits en Belgique par acte sous seing privé au profit de M.X.Y.Z. et de la Société Lauga limited , actionnaires de la société SAIG. Mécontents, la Société Lauga limited ainsi que M. X.Y.Z décident de porter l'affaire devant

la Faculté de droit de Clermont-Ferrand DIVISION Généralités, 1-35. ART. 1. – NOTION, 1-3. ART. 2. – ENJEUX, 4-15. § 1. – Arguments favorables à la présence des parties civiles, 5-9. § 2. – Arguments hostiles à la présence des parties civiles, 10-15. ART. 3. – CONCEPTIONS ENVISAGEABLES, § 2. – Compétence matérielle, 68-76. ART. 4. – EXCEPTION D’IRRECEVABILITÉ, 77-87. § 1. – Conditions de l’exception d’irrecevabilité, 79-82. § 2. – Mise en œuvre de l’exception d’irrecevabilité, 83-87.

question : 8 septième question : 9 Deuxième partie : la résolution du cas pratique 9 1ère Phase : la forme de la rédaction du cas pratique 9 2ème Phase : l’application de ce principe sur la rédaction du présent cas 10 1- l’introduction 10 2- la recherche d’un plan 10 3- la forme des réponses aux questions 11 3ème Phase : la rédaction du cas pratique 12 la première correction proposée avec plan 13 la seconde correction proposée sans plan 17 CAS PRATIQUES  Cas

activité économique prisée .................................................................................................................. 4 Titre 1 - Le régime d’exploitation du terminal à conteneurs portuaire .................................... 10 Chapitre 1- L’exploitation du terminal à conteneurs dans le respect des règles de la domanialité portuaire ........................................................................................................... 11 Section 1- L’exploitation du terminal