Cass Com 13 Mars 2001

une banque notificatrice. Cette dernière est celle qui se charge d’accomplir certaines opérations. Son rôle et sa responsabilité éventuelle ne sont pas toujours faciles à cerner. Elle peut être plus ou moins chargée de différentes missions. Com. 3 juin 2003 n°00-16 758. relatif à la responsabilité de la banque notificatrice : elle ne doit pas être conçue comme un interlocuteur du bénéficiaire, elle se charge d’opérations matérielles dont l’importance est variable. En l’espèce le bénéficiaire

juridique peut alors évoluer en fonction de son contenu moral. 13 Exemple La question de la conformité aux bonnes mœurs des donations entre concubins 1/ Validité de la libéralité lorsqu’elle constitue une compensation lors de la rupture, lorsqu’elle constitue l’exécution d’un devoir de conscience ou lorsqu’elle est un moyen d'assurer à la concubine une existence convenable, pour elle et ses enfants, après la mort de son concubin Exemple : Cass. 1re civ., 28 avr. 1987, n° 85-17.302 En revanche, la libéralité

très large marge d’interprétation. Dans la présente contribution, nous tenterons de donner un bref aperçu des conditions d’application en nous référant à plusieurs exemples pratiques que nous puiserons essentiellement dans la jurisprudence française. 13 Nous allons donc essayer de traiter dans cette première partie successivement les éléments constitutifs de l’infraction ( chapitre I) et la répression de celle-ci ( chapitre II). 14 CHAPITRE I : LES ELEMENTS CONSTITUTIFS DE L’ABUS DE BIENS SOCIAUX

"libertés publiques". Cet enseignement est relativement récent dans les Facultés de Droit, si on le compare à celui des matières classiques telles le droit civil ou le droit administratif : il a été introduit en licence en droit par une réforme de mars 1954. Il est vrai que certaines des questions qui y sont habituellement rattachées étaient déjà abordés dans le cadre des enseignements traditionnels : par exemple le droit de propriété en cours de droit civil, la liberté individuelle en cours de droit

philosophiques du droit naturel, Vrin, 2002. © AgroParisTech, J.-P. Plavinet 13 b) la règle de droit n’est pas respectée, soit parce qu’elle est ignorée de bonne foi (ce qui n’est pas une excuse en principe), soit délibérément, parce qu’elle fait l’objet d’un refus d’application (la règle devrait être différente (12)) ou d’un rejet plus profond (la règle n’a pas de raison d’exister, elle est jugée mauvaise ou scandaleuse (13)) : l’état de fait n’est pas conforme à l’état de droit ; cette situation appelle

qu'un seul associé). Mais, il n'y aura pas de nullité pour s'il y un défaut de capacité dans les SA et les SARL (art L235-1), sauf si tous les associés sont viciés. Le consentement, comme précédement la nullité pourra être soulevé pour vice ou défaut (com 20/06/89) du consentement sauf dans les SA et SARL. L'objet, qui peut être pris pour la raison pour laquelle on s'engage, c'est l'affectio societatis. Il ne semble pas qu'il y ait de cause de nullité touchant l'objet. La cause, c'est là où les raisons

difficile d’annuler un contrat, même !3 GHJP2 dans les situations qui peuvent paraitre injuste. D’un autre côté, la sécurité de contrat a été conservé. Mais les cours n’ont pas ignoré les arguments des néo-causalistes. Dans le fameux arrêt Chronopost (Cass. com. 22 oct. 1996), la société Chronopost était spécialisé dans la livraison rapide de documents et colis. La société a garanti que les documents envoyés par le client allait arriver le lendemain au destinataire. Malheureusement, ils sont arrivés trop

modifications de rédaction dans les dix dernières années ? Lesquelles ? 2) Recherche documentaire : Recherchez et répertoriez dans les principaux périodiques (cf. liste infra) les commentaires rendus à propos de la décision suivante : Civ. 3ème, 20 mars 2002, Bull. civ. III, n° 71 ; D. 2002, p. 2075, note Chr. Caron ; JCP, éd. G, 2002, I, 176, n° 6, obs. H. Périnet-Marquet ; RTDCiv. 2002, p. 333, obs. Th. Revet 3) Initiation à la lecture d’arrêt : Lisez attentivement la décision figurant dans le document

On parle de la nationalité du for, de l’autorité saisie concernant la nationalité française. Pour la CDC, le principe est celui de la primauté de la nationalité du for. Par conséquent, la nationalité française l’emporte sur la nationalité étrangère. Cass, 17 juin 1968, Kasapyan : concernait un ressortissant franco-turc. Lorsqu’un individu a plusieurs nationalités, dont la nationalité française, celle-ci est la seule prise en considération par les autorités françaises. Dès lors, l’intéressé doit décider

............. 3 SEANCE 1- La classification des contrats et des obligations .................................................... 6 SEANCE 2- Les sources du droit des contrats ......................................................................... 13 SEANCE 3- L’offre et l’acceptation ........................................................................................ 14 SEANCE 4- L’erreur ......................................................................................................