Cass Com 13 Mars 2001

vouloir). Il n'y a pas eu d'engagement de volonté. A. Présentation : Le code civil connait les droits qui découlent de l'enrichissement sans cause. L'action de «  in rem verso » est une création purement prétorienne de la jurisprudence. C'est la cass qui a décidé que l'enrichissement sans cause est une source d'obligation pour autrui (et non contrat). Il y a 3-4 semi exceptions : Dans quelques textes épars du code civil, on trouve des références indirectes à l'action de in rem verso (ex :

contrat de travail, si les critères de ce dernier sont remplis, c'est-à-dire en cas de subordination juridique. Il n'y a là rien de vraiment original. Il s'agit d'une simple application de l'article L. 8221-6 du Code de travail issu de l'ordonnance du 12 mars 2007 ( C. trav., reprise de l'ex art. L. 120-3). Si les commerçants et dirigeants de sociétés commerciales sont présumés ne pas être des salariés du donneur d'ouvrage, il s'agit d'une présomption simple. Aussi, si un lien de subordination juridique

d’assemblée plénière du 6 octobre 2006, le juge a procédé à la « dérelativisation » du manquement contractuel, c'est-à-dire que le manquement contractuel est désormais invocable par le tiers au titre de faute délictuelle. 1 Com 5 avril 2005. Civ 1, 13 fév. 2001 ; civ 2, 23 oct 2003. 3 Com. 2 avril 1996. 4 Sur la question et commenntaires de l’arrêt Ass. Plen. 6 oct 2006, voir: D. 2006, p. 2825, note G. Viney ; RDC 2007, p. 179, obs. S. Carval et p. 259, obs. D. Mazeaud ; LPA 22 janv. 2007, note C. Lacroix

moment de l’accord des volontés mais seulement au moment de la remise de la chose prêtée (Cass, Civ 1, 20 juillet 1981). La cour de cassation, face au scepticisme des auteurs, a produit un arrêt (Cass, Civ 1, 28 mars 2000) dans lequel elle procède à un revirement : « le prêt consenti par un professionnel du crédit n’est pas un contrat réel. » Et, la première chambre civile de la cour de cassation, le 7 mars 2006, a rendu un arrêt dans lequel il est indiqué que « le prêt qui n’est pas consenti par

Rapport de 2001 du conseil de la conc, étude thématique « le marché pertinent » 17.10.07 2 types de normes textuelles : 1) Règles ayant pour objectif de maintenir processus concurrentiel entre les entreprises : o règles destinées au contrôle des comportements des entreprises (règlementation des pratiques anti-conc) Droit communautaire UE : art 81 (ententes illicites) et 82 Traité (abus de position dominante) Droit français : • L420-1 code de commerce (L = partie législative et depuis 7 mars 2007 :

1627 - C. civ., art. 1628 - C. civ., art. 220 - Ensemble : - C. civ., art. 1119, 1120 et 1121 - C.civ., art. 1165, 1166, 1167 - C. civ., art. 1382, 1383, 1384, 1385, 1386 , 1386-1 Appendice : à propos du Code civil… Le code civil a été promulgué le 25 mars 1804 par Bonaparte, encore Premier Consul. Il devrait s’intituler d’ailleurs officiellement, en principe, Code Napoléon, encore aujourd’hui, sur le fondement d’une loi adoptée sous le second Empire, mais débattre de cette question nous conduit déjà

une sanction pécuniaire mise à la charge du professionnel pour chaque clause abusive sanctionnée par un tribunal. Cette mesure pourrait avoir un réel effet dissuasif ! Gaëlle Patteta Directrice juridique UFC Que Choisir |Dalloz actualité 23 mars 2009 | |Clauses abusives : publication des listes « noire » et « grise »

Infans conceptus pro nato habetur quoties de commodies ejus agitur » l’enfant conçu est réputé né chaque fois qu’il y va de son intérêt. Art 725 et 906 du code civil : pour succession et donation naître né vivant et viable. et Chambre réunies, 8 mars 1939, DC 1941.J.37. « attendu que l’enfant conçu est considéré comme étant déjà né en tant que son intérêt l’exige » Pas viable si physiologiquement pas apte à survivre Date légale de la conception : présomption de l’art 311 du code civil

Hannah Clea Sybille Koch Göhrener Str. 4 10437 Berlin Matrikelnummer: 160113 HU : 6. Fachsemester Séminaire Franco-Allemand 6 - 9 juillet 2001 Höchstrichterliche Entscheidungen der französischen Rechtsprechung Prof. Dr. H.-P. Benöhr, Prof. J. B. Blaise, Mme S. Weiler L’arrêt Chronopost Com. 22 octobre 1996 L’arrêt Chronopost TRANSPORTS TERRESTRES . – Marchandises. – Responsabilité. – Clause limitative. – Exclusion. – Dol ou faute lourde. – Spécialiste du transport rapide

exécution successive Définition Contrat générant des obligations pouvant être exécutées en une seule fois Contrat générant des obligations dont l’exécution s’inscrit nécessairement dans la durée Exemples Le contrat de vente Le contrat de travail 13 CONTRATS CONSENSUELS, REELS ET SOLENNELS Dénomination Contrat consensuel Contrat réel Contrat solennel Définition Contrat formé par le simple accord de volonté des parties sans aucune condition de forme Contrat dont la formation nécessite la remise