Cass Com 24 Avril 1990

respectées et la justice consolidée. Dans un tel contexte, les spoliations avaient considérablement diminuées de sorte que l'action qu'elles engendraient perdit de son intérêt. Le régime de la réintégrande fut ainsi abandonné au profit de la complainte[24] qui demeurait la seule véritable action possessoire à la fin du XIVè siècle. Dès lors, la saisine d'an et jour était exigée et la réintégrande devint une action réelle. Reste que, s'il y eut une confusion des procédures, la réintégrande resta en tant

son fondement. La Cour de cassation l’a très tôt affirmé2. Dans certaines hypothèses particulières toutefois, comme dans le cas des accidents du travail 1 2 Régime de responsabilité mis en place par le célèbre arrêt Jand’heur de 1930 V. par ex., Cass. 2ème civ., 4 fev. 1987, D. 1987, p. 187, note H. Groutel. 2 ou des infractions et actes de terrorismes, d’autres régimes spéciaux peuvent trouver à s’appliquer3. A cela il faut ajouter que le droit commun conserve une place dans certaines circonstances

dispose d'une "clientèle réelle et certaine" (Cass. 3e civ., 18 mai 1978). À défaut, il demeure à l'état de projet. Par conséquent, c'est la venue du premier client, manifestation tangible du pouvoir attractif des éléments le structurant, qui donne une réalité au fonds de commerce. Il ne suffit donc pas de prendre à bail un local, de le garnir de marchandises et de s'inscrire au registre du commerce et des sociétés pour se doter d'un fonds véritable (Cass. 3e civ., 1er févr. 1995). Existence possible

............................................................67 Table des matières.....................................................................................................................72 3 Table des sigles et abréviations BTL Cass. CA CAMP CDMT CMI CMR CNUDCI DMF ISM Code ISPS Code OMI UE Bulletin des transports et de la logistique Cour de cassation Cour d’appel Chambre arbitrale maritime de Paris Centre de droit maritime et des transports Comité Maritime International Convention

doivent être considérées comme propres à leur auteur. 2 Sommaire Introduction p. 4 Première partie : organisation du contentieux des sanctions de l’AMF p. 23 I – Détermination du juge compétent II – Pouvoirs du juge saisi p. 24 p. 35 Deuxième partie : bilan du contentieux des sanctions de l’AMF p. 46 I – Contentieux de la régularité des sanctions de l’AMF II – Contentieux du bien-fondé des sanctions de l’AMF p. 49 p. 63 Conclusion p. 74 3 INTRODUCTION

...................................................... 11 Section 1- L’exploitation du terminal à conteneurs dans son contexte portuaire ............. 11 Section 2- les régimes d’occupation privative du domaine public portuaire .................... 24 Chapitre 2- L’exploitation du terminal à conteneurs dans le respect d’un environnement portuaire compétitif et plus sûr ............................................................................................ 39 Section préliminaire- L’occupation

Dans les Etats développés, taux jamais < 25% PIB (USA : 27,3% PIB) Taux correspondant à des réalités différentes suivant les Etats : Impôts (pays scandinaves) >< Cotisations (France : mode de financement de la sécu jusqu’à l’instauration de la CSG 1990) Degré de décentralisation : Etat >< Collectivités locales (France, 75% Etat / 25% collectivités locales, malgré § 72-2 C° = autonomie fiscale des collectivités, mais la part reste faible) RMQ : Impôts = ressource essentielle des personnes publiques

dispositions pouvant être considérées comme impératives, le prêt ou la garantie irrégulièrement consentis peuvent être annulés par décision de justice. En outre, la violation de l'interdiction est sanctionnée pénalement par une amende de 60.000 F (art. L 242-24, al. 3 du Code de commerce  31, ex loi de 1966 art. 454-1) encourue par le Président, les administrateurs, le ou les directeurs généraux. Cette interdiction des prêts, avances et garanties est expressément écartée lorsqu'il s'agit d'opérations courantes

www.JURI SQUES .com P Cabinet d'Avocats, Jean-François CARLOT II SUPPORT DE COURS DE DROIT DES ASSURANCES - I/VII LA PLACE DE L'ASSURANCE DANS LA GESTION DES RISQUES Notion - Historique - Intérêts - Mécanisme Dernière mise à jour : NaN undefined NaN (undefined) TITRE I - LA PLACE DE L'ASSURANCE DANS LA GESTION DES RISQUES CHAPITRE I : LA NOTION D'ASSURANCE I - EVOLUTION HISTORIQUE A - La pré-assurance B - Nécessités du commerce maritime C - Transformation économique et

D’INTERET PERSONNEL 1 : Intérêt des personnes physiques 2 : Intérêt des personnes morales SECTION IV : UN ACTE ACCOMPLI INTENTIONNELLEMENT A : LA NOTION D’ELEMENT INTENTIONNEL B : LE CONTENU DE L’ELEMENT INTENTIONNEL 11 15 15 16 16 17 18 19 23 24 24 25 26 26 27 28 28 28 CHAPITRE II : LA REPRESSION DE L’ABUS DE BIENS SOCIAUX SECTION I : LES ACTEURS DE L’ABUS DE BIENS SOCIAUX A : LES PERSONNES INCRIMINABLES 1 : Les auteurs 2 : Les sociétés concernées 3 : Les complices 4 : Les receleurs 31