Cass Com 4 Janvier 1994

son ambition, cette loi ne supprimera pas le risque, et c’est heureux, car le risque est un moteur nécessaire pour le mouvement de nos sociétés. Elle ne supprimera pas davantage la volatilité, qui est consubstantielle aux marchés financiers ». 2 1 4 « LE DEMARCHAGE FINANCIER : BILAN ET PERSPECTIVES » MEMOIRE DE HAROUN BOUCHETA des marchés d’instruments financiers3, le Conseil des marchés financiers (CMF), successeur de la Compagnie des agents de change puis du Conseil des marchés à terme

telle ou telle disposition. Bien plus, les règles du droit fiscal ne répondent pas toujours à des critères "objectifs et rationnels", suivant la formule utilisée par le Conseil constitutionnel pour censurer certaines dispositions de loi (V. infra, titre 4, le contrôle de la loi au regard du principe d'égalité devant l'impôt). C'est cependant pour une autre raison qu'il apparaît nécessaire de privilégier la règle de droit dans un cours consacré à la fiscalité. Il n'existe pas d'autre domaine de l'action

d’interdiction de louer rend moins louable le bien. Il en serait de même pour une clause d’inaliénabilité en principe : or l’ article 900-1 CC, ces clauses sont valables si elles sont limitées par le temps et justifiées par un intérêt légitime. Voir Cass. Civ 1ère 15 décembre 2005. - Le risque de paiement « au prix de la course » des créanciers Le créancier face à un débiteur sans sûreté peut redouter un paiement auprès d’autres créanciers selon la règle du prix de la course. Le débiteur

DroitLicence2 – Droit des obligations – Séance 3 L’erreur – (2006) Cass. 1ère civ., 13 janv. 19981 Introduction2 : Cet arrêt rendu le 13 janvier 1998 par la première Chambre civile de la Cour de cassation a trait aux vices du consentement. Son apport est à souligner dans la mesure où il offre à la Haute juridiction, une fois encore confrontée à l’authenticité d’une œuvre d’art, l’occasion de préciser les conditions du jeu de l’action en nullité du contrat pour erreur. À l’occasion d’une vente

Semaine Thème du cours 1 Origine du droit & obéissance 2 Rédaction et lecture des décisions de justice 3 Complexité et simplification du droit (codification ; inflation normative ; évaluation des normes) TD1 : La formulation de la règle de droit 4 Méthodes d’interprétation : Gény, Saleilles & Cie TD2 : La loi 5 Application de la loi dans le temps : présentation détaillée des théories TD3 : La jurisprudence (1) 6 Droit et… (Law and…) : droit et littérature, droit et économie, droit et sciences

du 5 janvier 1988 relative au dév et à la transmission des entrep. Cette simplification a continué par l'adoption de différentes lois telle que la loi du 1 aout 2003 sur l'initiative économique et 2 importantes ord du 25 mars 2004 assouplissant le rég de la SARL et du 24 juin 2004 réformant profondément le rég des valeurs mobilières. Entre temps, les efforts du législateur se st portés vers la création d'un outil souple et adapté au besoin de l'entrep : la SAS a vu le jour le 3 janvier 1994

L'acte de complaisance : un automobiliste qui prend un autostoppeur à son bord : Cass. 1È civ. 6 avril 1994. Les gentlemen's agreement ou engagements d'honneur par lesquels deux personnes s'engagent sur l'honneur. La jurisprudence considère généralement que si ces engagements sont conclus dans le cadre familial, ils n'auront pas de liberté contractuelle contrairement au cadre professionnel ou amical. Cass. Ch Com. 2007 : Il s'agissait d'une société qui s'était engagée à ne pas copier le modèle

interprofessionnel du 5 octobre 2009. C’est aussi l’un des objectifs de l’accord national interprofessionnel sur l’emploi des seniors du 13 octobre 2005. La loi du 24 novembre 2009 va dans le même sens et poursuit le travail de réforme entrepris par la loi du 4 mai 2004. Son apport majeur est le développement des possibilités pour le salarié d’utiliser le solde de ses droit à DIF après la rupture de son contrat de travail. Ce guide pratique a pour objet d’aider aussi bien l’employeur que les salaré à mettre

peine à nommer. Pour répondre aux exigences du commerce, le fonds de commerce est en mutation interne permanente, dans le temps et dans l'espace. Comme le législateur a dû en convenir en 1909, le fonds de commerce est rétif à une définition précise(4). Il est un tout. Il est une universalité de biens et de droits, en fait, en droit, mais il est un tout sans cesse unique, sans cesse différent. Son contenu varie : au fil du temps, en fonction des besoins, en raison des changements techniques et technologiques

ressources », c'est-à-dire les revenus des époux, qui| |composent l'assiette de la contribution. Ainsi a-t-il été parfois proposé de transposer aux charges de l'article 214 la solution | |retenue par la Cour de cassation dans son arrêt du 11 janvier 1984 (Civ. 1, 11 janv. 1984, n° 82-15.461) au sujet des dépenses | |ménagères de l'article 220 : « les opérations d'investissement d'un ménage, et notamment celles qui ont pour objet de lui permettre de| |se constituer un patrimoine immobilier