Cass Crim 10 Mai 2006

citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion ». Aujourd’hui le principe d’égalité outre sa valeur constitutionnelle est également reconnu par une série de textes internationaux. La Déclaration universelle des droits de l’homme du 10 décembre 1948 affirme dans son article premier que « tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits ». Aux termes de l’article 2 « chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente

générale du contrat. 1ère Civ Cass 7 mars 1989 : L’obligation de sécurité du transporteur n’existe que pendant la période de transport proprement dite. Avant et après, il n’y a plus d’obligation de sécurité. Avant, il y avait un fractionnement en trois parties de l’obligation de sécurité. C’est avantageux pour la victime, car cela lui permet de se placer sur le terrain délictuel et invoquer une responsabilité délictuelle sans faute de la SNCF. 2éme civ Cass 10 janvier 1990 : n accident dans le

personnalité juridique avant la naissance. Art 311 (1804) du code civil pose une présomption quant à la date de conception de l’enfant. « L’enfant est censé avoir été conçu dans la période entre le 300e et le 180e jour avant la date de sa naissance ». (Entre 10 et 6 mois) L’enfant est présumé avoir été conçu à n’importe quelle date de cette période. Cette présomption n’est qu’une présomption simple, càd une présomption où on peut apporter une preuve concrète. - il faut qu’il en aille de l’intérêt de l’enfant

L 242-1 CSS et L 621-1 CT qui définit le contrat de travail.   Société générale avait opté pour le versement des cotisations en un lieu unique (VLU). URSSAF s’aperçoit que Société Générale a versé des sommes d’argent à différents intervenants. Cass : il faut revenir aux critères dans leur rigueur initiale : toujours l’immixtion de l’employeur dans l’exécution du travail et le service organisé qu’il faut rechercher mais de manière bien précise.   Article L 242-1 est visé car il s’agit en l’espèce

l’homme ne sont pas du tout une évidence ; on s’aperçoit que plus de la moitié de la population mondiale vit sous des régimes autoritaires qui ne respectent pas les droits et libertés. Par exemple en Iran en juillet 2007 une femme a était condamnée à 10 coups de fouet et 2 ans ½ de prison pour avoir participer à une manifestation pour l’égalité des sexes ; le même mois, le principal quotidien a était fermé pour avoir publié l’interview d’une personne homosexuelle, dans ce pays l’homosexualité est d’ailleurs

peine. Souvent le mobile est précisément la raison de l’octroi des circonstances atténuantes .Généralement celui qui fait souffrir quelqu’un va être puni de réclusion criminelle a perpétuité, celui qui s’est battu en duel sera puni d’une peine d’environ 10 ans d’emprisonnement et celui qui a euthanasié pourra voir sa peine diminuée jusqu’à deux ans avec sursis. En matière d’euthanasie ou de crime passionnel on assiste parfois à des décisions d’acquittement… Cet élément moral est donc l’un des piliers

c’est elle qui doit déterminer par la voie du législateur les infractions méritant d’être sanctionnées. Le législateur incarne la souveraineté populaire donc le contrat social. La répression doit être objective avec une description minutieuse des crimes et délits mais aussi le rejet de toute données subjective trop personnelles qui pourraient interférer avec la répression. Par exemple Beccaria rejetait la grâce car cela n’a rien d’objectif. De même Beccaria préconisait un système de peine fixe, aucune

Mais l’importance est différente : à l’origine la jurisprudence a impulsé l’apparition du droit international privé. Puis rapidement on a eu besoin de la doctrine. C’est donc une matière qui s’est développée dans un dialogue entre le juge et la 10 doctrine. • La loi Il tend aujourd’hui à se développer. Au début elle n’existait que dans la matière de la nationalité et de la condition des étrangers. En revanche en ce qui concerne les conflits de loi, un seul article dans le Code civil (art. 3)

COURS IEJ - CRFPA (2005/2006) DROITS ET LIBERTES FONDAMENTAUX Intro : Définition des libertés publiques, des droits fondamentaux 1ère partie : Le régime général des libertés publiques Titre 1 – Les fondements des libertés publiques Chapitre 1 – Les fondements idéologiques Section 1 – Le positivisme § 1 – Le positivisme juridique § 2 – Le positivisme sociologique Section 2 – Le jusnaturalisme § 1 – Le droit naturel objectif § 2

fait, une attitude. Faute dans l’action de commission ou de faute d’omission. ← L’élément Juridique : Pour retenir la qualification de faute, il faut qu’intervienne une opération de qualification juridique contrôlée par la cour de cass. ← L’élément Moral : L’idée d’imputabilité de l’acte délictueux à une personne donnée. Fait de rendre quelqu’un responsable. Traditionnellement, la faute comportait ces trois éléments très clairement et durant très longtemps