Cass Crim 11 Mars 1993

fait pas exclusivement référence à un texte adopté par le législateur. Depuis la Constitution de 1958, la détermination des infractions relève d'un partage de compétence entre le domaine législatif (art. 34) et le domaine réglementaire (art. 37). Les crimes et les délits (c’est-à-dire les actes plus graves) relèvent du premier domaine , alors les contraventions (punies de simple peines d’amende) relèvent du second. JC LAPOUBLE DS Avocats 2006 8 Contravention Cette approche particulière de la légalité

faillite virtuelle Certains auteurs, comme Deen Gibrila, avaient pourtant, au contraire de M. Gioanni, parié sur la disparition de la faillite virtuelle . La solution de la cour de cassation a donné raison à M. Gioanni, dans un arrêt récent du 24 mars 2010 En effet, la cour de cassation a permis au juge pénal de prononcer une banqueroute, alors que le jugement de redressement judiciaire n’était pas définitif. En l’espèce, une commerçante s’était pourvue en cassation contre une décision de redressement

titulaire du diplôme requis ou à une société habilitée à cet effet (Cass. req., 27 nov. 1935 : DH 1936, p. 17. – CA Paris, 22 oct. 1947 : S. 1948, 2, p. 47. – Par conséquent, la cession consentie à une personne non diplômée serait nulle et le prix indûment perçu devrait être restitué par le vendeur, Cass. req., 21 juin 1898 : S. 1899, 1, p. 71. – Cass. req., 24 nov. 1902 : DP 1903, 1, p. 80. – Cass. req., 23 mai 1905 : DP 1906, 1, p. 412. – Cass. req., 22 mai 1913 : S. 1913, 1, p. 292. – CA Rennes, 21 janv

LES PERQUISITIONS I GÉNÉRALITÉS. 11 - PRINCIPE. 12 - PRISE DE CONSCIENCE. II RÉGLES LÉGALES. 21 - CADRE JURIDIQUE 22 - LÉGALISATION DE L'ACTE 23 - DROIT DE PERQUISITION 24 - CONDITIONS DE LIEUX 25 - CONDITIONS DE FORME 26 - CONDITIONS DE TEMPS 27 - CAS PARTICULIER DU VÉHICULE 28 - FOUILLE PERQUISITION III BUT DE LA PERQUISITION 31 - CATÉGORIE D'OBJETS DÉCOUVERTS 32 - SAISIES INCIDENTES IV TECHNIQUE DE PERQUISITION 41 - AVANT Durant la phase préparation. 42 - PENDANT Durant la phase exécution


   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   1 
  A. WEYEMBERG, L. KENNES, Droit pénal spécial, t. 1, Limal, Anthemis, 2011, p. 
  213 2 Cass. 24 juin 1981, Pas.1981, I, p. 1242 et note 
   4 connaissance ou auxquels ils sont présentés peuvent se convaincre de la réalité de l’acte ou du fait juridique constaté par ces écrits ou sont en droit de leur accorder foi »3 Il résulte de

SA Document 4 de 50 La Semaine Juridique Edition Générale n° 37, 12 Septembre 2011, 962 Précisions sur le délit de traite des êtres humains Veille par Jean-Yves Maréchal maître de conférences, droit privé et sciences criminelles Crimes et délits Sommaire CA Paris, pôle 8, ch. 1, 5 avr. 2011, n° 10/04909 : JurisData n° 2011-014004 L'extrême rareté de la jurisprudence relative à l'infraction de traite des êtres humains confère à l'arrêt rendu par la cour d'appel de Paris

l’interprétation stricte de la loi pénale. Ce principe est le prolongement naturel du principe de la légalité des délits et des peines comme l’affirment clairement le Conseil constitutionnel (DC 16 juillet 1996) et la Cour européenne, (CEDH, 25 mai 1993). Il est aujourd’hui énoncé à l’article 111-4 CP : « la loi pénale est d’interprétation stricte ». Il ne signifie pas que la loi pénale doit systématiquement être comprise de la manière la plus étroite possible. Ce principe a en réalité un sens

Le banditisme et la sécurité dans les banques, RI crim. et pol. techn. 1976.375. - BONZON, Le vol d'électricité, CJEG 1985. chron. 1. - P. CORLAY, Réflexions sur les récentes controverses relatives au domaine et à la définition du vol, JCP 1984. I. 3160. - M.-S. COUSIN-HOUPPE, Vers une continuité de la loi pénale dans le domaine des principales infractions portant atteinte juridique aux biens (vols - abus de confiance - escroquerie), Rev. sc. crim. 1977.779. - J. DEFRÉNOIS, Abus de fonction et vol

de plusieurs commettants (que l’on appelle co-commettants) dans le but de réaliser un travail unique. Cette situation serait donc selon nos observations précédentes susceptibles d’avoir pour conséquence le cumul de plusieurs responsabilités civiles[11]. Dans une telle situation sera recherchée la responsabilité du commettant qui avait le pouvoir effectif de donner des instructions au moment de la réalisation du fait dommageable. Certaines activités demeurent cependant incompatibles avec un lien

DISTINCT - LES DELEGUES DU PERSONNEL 36 FICHE N°9 : LA NOTION D’ETABLISSEMENT DISTINCT - LE COMITE D’ETABLISSEMENT 39 FICHE N°10 : LA NOTION D’ETABLISSEMENT DISTINCT : LES DELEGUES SYNDICAUX ET LES REPRESENTANTS DE SECTION SYNDICALE 40 FICHE N°11 : LA REPARTITION DU PERSONNEL ENTRE LES COLLEGES 42 FICHE N°12 : LA REPARTITION DES SIEGES ENTRE LES COLLEGES 49 FICHE N°13 : ÉLECTORAT ET ELIGIBILITÉ - DÉROGATIONS AUX CONDITIONS D’ANCIENNETÉ 56 FICHE N°14 : DP – CE - LES REGLES DE SCRUTIN 64