Casse

deux est désignée le reflet. Il doit donc refléter ce que fait son partenaire. Ensuite, on échange les rôles. On peut jouer à plusieurs duos en même temps. GRAND JEUX : ( western ) - Jeu du tire à l'arc Casse boite de conserve Les pommes à attraper dans un tonneaux avec la bouche Le casse tête (mettre au mur des images de personne avec l'inscription WANTED en noir et blanc et laisser les joueurs tirer en essayant de viser la tête) | Lampion du 14 juillet : Fournitures :

au skat, un jeu de cartes allemand. Les trois hommes ont fait la guerre, et en gardent de nombreuses séquelles, telles que des membres en moins remplacés par des prothèses en bois. Ces visages portant de lourdes séquelles ont un nom: "Les gueules cassées" Deux d’entre eux ont de fausses mâchoires en métal (dont l'une porte l'inscription "Prothèse Marke: Dix, ce qui peut signifier qu'Otto Dix s'identifie au personnage), l’un n’a plus d’œil et son visage est déformé du fait qu’il lui manque un bout

Document 1 : Aquarelle d’André Devambez (1915, Musée des deux Guerres Mondiales, Paris). II. Les conditions de vie : Document 2 : Témoignage d’un poilu. III. Bilan physique et psychologique des poilus : Document 3 : les gueules cassées. Les tranchées sont une ligne de front continue de 700 km, chaque jour, 8000 soldats en moyenne tombaient et leurs corps venaient s’ajouter à ceux des jours et des semaines précédentes. Les conditions de vie dans ces tranchées

Toutes les couleurs tournent autour du verdâtre, noir, et bleu foncé. On voit aussi que les lignes du tableau sont très confuses. Elles sont toutes cassées. Il n’y a pas d’équilibre dans le tableau. Ces lignes confuses et ces couleurs froides mettent le spectateur très mal a l’aise tout en l’amenant à accepter les idées du peintre. L’utilisation du clair/obscur nous révèle les corps d’anciens soldats démembrés. On note ainsi l’absence quasi-totale de membres inférieurs, remplacés par des pilons

on voit trois gueules cassées. Le titre est un peu trop simple pour exprimer une telle boucherie sur des hommes, mais c’est-ce que Otto Dix voulait faire comprendre. Il est plein de rancœur face au peu de reconnaissance qu’a la population pour les soldats. Ces soldats on été victimes d’une boucherie, ils ont subi des souffrances morales mais aussi physiques, et la population les rejette au lieu de les honorer pour ce qu’ils ont donné pour l’Allemagne. Ces trois gueules cassées représentent les conséquences

de 1918, Otto Dix peint les conséquences physiques de la guerre. La situation présentée est une scène ordinaire : trois personnes jouent aux cartes. Mais cette banalité est contrebalancée par l'horreur dégagée de ces personnes, véritables "gueules cassées" de la première guerre mondiale. L'aspect des joueurs n'a plus rien d'humain, l'un d'entre eux tient ses cartes avec le pied, on voit les parties génitales d’un autre. Ils conservent leurs uniformes, mais ce ne sont désormais que des moitiés d’hommes

Dugain, La Chambre des officiers. Adrien Fournier, à peine mobilisé en 1914, se retrouve défiguré par un éclat d’obus. On le conduit dans la chambre des officiers de l’hôpital du Val de Grâce, où sont soignés les soldats dans son cas, les « gueules cassées ». 5 10 15 Le matin suivant, je me lève pour la première fois. Ma démarche est hésitante. Je longe les fers de lits comme les premiers marins explorateurs longeaient les côtes. A chaque pas je crains de m’effondrer, mais la curiosité

Stadt, Stuttgart. © SESAM, Paris, 1998. La mort 979899 98 - Otto Dix En 1920, lors de la première foire internationale à Berlin, Dix exposa Kriegsversehrte (mit Selbstbildnis) (Infirmes de guerre) (avec autoportrait), frise de "gueules cassées" dans une rue, amputés, défigurés, aveugles. La rue de Prague et Die Skatspieler (Les Joueurs de skat), toutes deux de 1920, sont proches de cette oeuvre d'autant plus emblématique qu'elle fut saisie par les nazis en 1933 et probablement détruite

d'obus dans le crâne et sur le visage ; après avoir été transporté (dans de dures conditions) dans une clinique médicale, il est couché dans une chambre : "La chambre des officiers". Au fil du récit, Adrien fait la connaissance de plusieurs "Gueules Cassées" qui lui ressemblent plus ou moins et "réapprend à vivre"...au bout de quelques année il retrouve l'amour de sa vie "clemence" et se marie avec une autre femme quelques années plus tard. son aventure sera boulversée par des suicides et des changements

« la belle au bois dormant » (1890),  « barbe bleu » (1896)). Une grande partie de ses ballets rentreront dans le répertoire classique des grandes institutions telles que « la bayadère » (1877), « Le lac des cygnes » (1895), « Faust » (1867), « Casse noisette » (1892) et bien d’autre. Marius Petipa prône la codification chorégraphique soucieu de la rigueur, il veut des musiciens de qualités comme Tchaïkovski ou Glazounov. Il porte une extrême importance au spectaculaire et à la virtuosité. Il