Catacombes de Rome

vétéro-testamentaire : Isaac, Scène testamentaire : la résurrection de Lazare. Également des scènes plus simple comme le schisme. C- Catacombes et art officiel 1- mutation de l’art impérial romain pratiques de l’empire païen continu dans l’empire chrétien = ex : statues des empereurs ; tradition du portrait politique. 2- programme picturaux, funéraires des catacombes catacombes : vaste cimetière romain qui ont servi comme dernière demeure aux empereurs. nombreux décors picturaux correspondent à ceux

dans cet instant éphémère, les sens engourdis par les parfums mêlés du citron et de l'olive, me pose un instant, me fonds dans ce décor et invite mon esprit à donner libre cours aux pensées vagabondes... ROMA Je déambule dans les ruines du vieux Rome où chaque pierre vibre encore de cette mémoire si riche, et je ne sais pourquoi, ici, tu me manques plus qu'ailleurs... Par une étrange coïncidence, c'est la même année que je t'ai rencontré, en février, et que je suis venue ici pour la première fois

millénaire (avant J.C) : -3500 – 3000 avec l’invention de l’écriture et se termine autour du Ve siècle selon les régions et les civilisations. La fin de l’antiquité : 476 = chute de l’empire romain d’occident. ( pour les pays de réf ? à l’Europe : Rome et Grèce antique) II. Le contexte historique Les romains ont été les successeurs des grec, ils vont fonder un vaste empire où ils vont diffuser la culture des grecs et y apportent leurs propres éléments. Même si la France a peu été en contact avec

documentation sans faille qu’elle bâtit son récit, plein de vie, évocateur comme un film. *SA BIBLIOGRAPHIE : Ses écrits sont : -LE CAVALIER DE BAGDAD -LE SOMMET DES CATACOMBES -LE CHEVALIER AU BOUCLIER VERT -LE CHEVALIER DE JERUSALEM -LES PILLEURS DE SARCOPHAGES -LES VAGABONDS DE LA BASTILLE -TUMULTE A ROME -L’AIGLE DE MEXICO -LE VOLEUR DE SOIE -L’ARLEQUIN DE VENISE -LE SECRET DU PAPYRUS -DISPARITION SUR LE NIL 7-LES PERSONNAGES : *Les personnages principaux :

L’homme est originellement bon et c’est la société qui le perfidie. II.Les différentes représentations du péché originel en peinture : 1)Représentations « primitives » L’épisode du pêché apparaît déjà dans les peintures des catacombes (Catacombe de Priscille, Rome) ou sur les sarcophages paléochrétiens. Les représentations se tiennent à la valeur absolue du péché. 2)Le Moyen-âge La tradition iconographique veut désormais que la nature du péché perde son universalité et devienne plus

art païen Art chrétien Art des premier chrétien dans les catacombes (fresque très rudimentaire) fresque des 3 chrétien dan la fournaise, vue d'ensemble des catacombes, technique moins chargé, la représentation change de fonction, repré les 4 saisons, art de résistance. Catacombe di priscilla * trois chrétiens dans la fournaise * revenu a l'art égyptien = fresque * figure son poser nul part dans l'espace Catacombe de saint pierre et Marcelin * début du 4eme siècle *

Christà la cène et le respect du dimanche(le jour du repos où l’on célèbre la résurrection du Christ. Les lieux importants pour les chrétiens sont : l’église qui apparaît au 3°siècle car avant ils se réunissaient des les maisons de chacun, les catacombes. (symboles des premiers chrétiens (p.56) B/Une religion persécutée 1)Des chrétiens suspects Les romains tolèrent les religions autres que la leurs mais à condition qu’ils célèbrent le culte impérial (empereur). A partir de cette rupture

Rome (en italien Roma), est la capitale de l'Italie depuis 1871. Elle se trouve sur le Tibre, dans la région du Latium, dans le centre du pays. Avec 2 722 907 habitants établis sur 1 285 km² (4 103 250 habitants avec l'agglomération en 2009)2, Rome est la commune la plus peuplée et la plus étendue d'Italie3 ; son aire urbaine est en revanche moins importante que celles de Milan et Naples. Ville berceau de la civilisation occidentale après Athènes, Rome a une histoire qui s'étend sur plus de deux

s’adresser les fidèles ordinaires. Mais vouer une vénération à un personnage qui n’est pas matériellement présent n’est pas toujours chose facile. Et si les corps des saints se multiplient à cette époque, encore plus après la redécouverte des catacombes de Rome, un autre objet de vénération et de dévotion collective marque cette époque, les reliques. « Celui qui touche les os d’un saint, disait saint Basile, participe à la sainteté et à la grâce qui y réside ». Du latin reliquiae signifiant « les

luire ses mosaïques,L’odeur du lieu mettrait en fuite des stoïques,Le sol partout se creuse en gouffres empestés ;Et les chauves-souris volent de tous côtésComme au milieu des fleurs s’ébattent les colombes ;On croit, dans cette brume et dans ces catacombes,Entendre bougonner la mégère Atropos ;Le pied sent dans la nuit le dos mou des crapauds ;L’eau pleure ; par moments quelque escalier lividePlonge lugubrement ses marches dans le vide.Tout est fétide, informe, abject, terrible à voir. Le charnier