Catharsis Comique

sont des personnages royaux. Ils sont tiraillés entre le devoir et la passion. Il y a le destin, la fatalité. Le spectateur a pitié des personnages. Au début de la pièce, le personnage se prépare à mourir. Le mélange entre terreur et pitié crée la catharsis (= la purgation des passions). La tragédie a les mêmes vertus que les films d’épouvante. La comédie joue sur le rire. Le spectateur est purgé par le rire. Le théâtre classique est régi par la règle des trois unités : Le temps : -La scène se

Lorsque le rideau se lève, l'histoire est déjà commencée (début in medias res). Le spectateur se trouve directement plongé au cœur de l'intrigue, comme s'il surprenait une conversation. Or le public a besoin de certains éléments pour comprendre la situation présente. Ces informations lui seront fournies par les premières scènes, appelées scènes d'exposition : elles exposent, précisent la situation, présentent les personnages, les problèmes qu'ils rencontrent. La difficulté à laquelle se heurte le

Meursault. - Ces deux paragraphes s’articulent enfin autour de deux thèmes prédominants : la révolte et la paix, comme le montrent les champs lexicaux qui leur sont associés (Les relever). B. Un accès de violence purificateur : entre révolte et catharsis - Cette explosion de révolte, ajoutée à la présence des marques de l’oralité et du registre tragique, évoque évidemment le schéma cathartique propre à la tragédie. Mais c’est aussi et surtout l’utilisation d’un certain vocabulaire qui nous le fait

tragédie divertit puis comment elle nous instruit et on fera de même pour la comédie. La tragédie grecque, dit Aristote dans la Poétique, est“l’imitation d’une action de caractère élevé (…) qui, suscitant pitié et crainte, opère à la purgation (catharsis) propre à de telles émotions”. Dans la tragédie on rend toujours compte d’un conflit: unêtre, place en situation de victime, est confronté à des forces qui le dépassent, aux drames de la destinée humaine (le mal, les passions dévastatrices, la mort

Extrait 4 : Le roi se meurt de Ionesco C'est le final de la pièce, seule Marguerite reste avec le Roi. Elle devient notamment son guide, et le guidera ainsi au passage de la mort mais vers la fin elle deviendra la mort elle même. Au delà du tragique, l'irréalisme et l'onirisme sont très présent. I- Assignation par Ionesco d'un dernier rôle particulier à Marguerite a) Un cheminement sensible des progressions dans la tirade L'ensemble va du parcourt jusqu'à l'installation du Roi sur

principale et est dépouillée de toute action secondaire. Même l’amour d’Antiochus pour Bérénice apporte peu à l’intrigue. Cette extrême concentration confère à la tragédie classique sa beauté sobre et sa densité intense. 5. Si l’on se réfère à la catharsis, on peut dire de Corneille qu’il entend susciter l’effroi. En ce sens, il reste proche de l’esthétique baroque du début du siècle où les tragédies comportaient des morts, des duels, des batailles, etc. Racine provoque plutôt la pitié par empathie

[modifier] Psychanalyse Article détaillé : Psychanalyse. [modifier] Débuts de la psychanalyse En 1895, Freud utilise la suggestion (sa main est posée sur le front du patient qui est incité à se souvenir de son enfance) après l’abandon de la catharsis, trop incertaine et dont les effets ne sont pas durables. Mais c'est surtout avec la publication des Études sur l’hystérie avec Joseph Breuer, que Freud « assemblant et ordonnant les fragments de ce grand puzzle, le psychisme humain, [...] élabora

évoque ce cas avec son collègue S. Freud. Ensemble, ils développent une conception théorique sur le fonctionnement de l’appareil psychique et sur leur procédé thérapeutique qu'ils nomment « méthode cathartique » en s’appuyant sur le concept de « catharsis » d’Aristote. Cette méthode, est étroitement liée à l’emploi de la suggestion et de l’hypnose. Freud abandonne cette méthode pour la remplacer par la méthode psychanalytique caractérisée par les associations libres. Il y a des formes de psychothérapie

pour l'Epopée mais on fait une représentation de l'histoire. Toutes les règles tragiques viennent d'Aristote (règle des trois unités, de bienséance et de vraisemblance. La tragédie doit faire ressentir deux émotions : ta terreur et la pitié. Catharsis : purification, purger, purgation (mot d'origine médicale)(comme Phèdre, Œdipe…) Une catastrophe est un bouleversement. Il peut être positif comme négatif.

sanguinaire mais dans l’instant indécis ou apparaissent les premiers signes de ses troubles. Conformité : - le héros n’est ni tout à fait coupable, ni tout à fait innocent. - schéma formel de la tragédie respecté : * effet de catharsis * unité de lieu (palais impérial, antichambre de Néron), de temps (commence au point du jour et s’achève le soir) et d’action.