Catharsis Mythe

mythes tragiques, le récit repose sur l’idée d’une prédestination au mal que le héros doit affronter. • Dans le « mythe de l’âme exilée » (Paul Ricoeur Philosophie de la volonté), les hommes sont tiraillés par une division qu’ils expérimentent en eux entre le même (l’homme se pense être le même que son âme) et l’autre (l’homme se pense être autre que son corps). Ceci traduit le mythe de l’enfermement de l’âme dans le corps. II. Platon, le mal et l’ignorance « Nul n’est volontairement pervers

Horace » de Corneille. 3. Une visée opposée : Entre le rire et les pleurs (farces, vaudeville, commedia dell’arte…) II / De la tragédie à la comédie, il n’y a qu’un changement de registre 1. La tragédie et la comédie répondent tous deux de la catharsis, « castigat ridendo mores » : - Le personnage hypocrite de Tartuffe, dans la pièce éponyme de Molière, et sa préface. 2. La comédie reprend des thèmes de la tragédie : - Lutte contre une force supérieure avec « Le mariage de Figaro », de Beaumarchais

pourra être. Exemple Orwell, 1984. Puisqu’on ne sait de quoi l’avenir sera fait et que la fiction est le territoire du conditionnel, notre vision du futur à tendance à être façonné par les fictions qui parfois portent un message prophétique. °La catharsis. Par le biais de personnage fictif, la tragédie peut modifier notre être en nous purgeant de nos passions. Aristote. 2. Elle est l’extension de la réalité. °Les histoires fictives s’incarnent véritablement dans la réalité (roman, film…).

régressions ! - ou encore le retour à la mythologie : je cite à nouveau Levinas : "le mythe fut-il sublime, introduit dans l'âme cet élément trouble, cet élément impur de magie et de sorcellerie et cette ivresse du sacré et de la guerre qui plongent l'animal dans le civilisé". Il y aurait donc des choses que l'histoire ne peut pas transmettre ! Ce serait alors à la littérature, au théâtre par sa catharsis (ce lieu où on regarde), à la peinture (par la totale la liberté dont elle jouit), à la

sources mythologiques de celle-ci (Ex : Dans Phèdre de Racine, lorsque Hippolyte est tué par un monstre marin, cela, qui pourrait paraitre invraisemblable aujourd’hui, ne contredisait pas la règle de vraisemblance, puisqu’il était fidèle aux données du mythe grec. Nicolas Boileau « Le vrai peut quelque fois n’être pas vraisemblable. » -règle de bienséance (découle du principe de vraisemblance) : Respecter le goût du public, ne pas heurter sa sensibilité, ni les codes de bonnes manières. Ce souci d’ordre

contre les Titans et qui va gagner celle-ci → apparition de l'ordre. Cependant, certains titans sont enfermés dans le tartare et en sortent parfois : le chaos peut revenir. b) De la pensée mythique à la pensée rationnelle : du muthos au logos Mythe au centre de la culture grecque dans un premier temps mais celle-ci va sortir de cette vision mythique du monde pour prendre une vision rationnelle (mutos/logos) par le biais de l'Histoire, de la science et de la philosophie. * L’Histoire fut inventé

du bouc ». Cette app Premium 413 Mots 2 Pages Electre, Une Tragédie? Dans quelle mesure Electre, la pièce de Giraudoux, est une tragédie ? Introduction : La pièce de Jean Giraudoux est interprétée pour la première fois en 1937. Elle reprend le mythe tragique d’Electre autrefois mis en scène par les dramaturges grecs Eschyle, Sophocle et Euripide au Ve siècle Premium 519 Mots 3 Pages La Tragédie La tragédie I. La tragédie antique 1)Le contexte 2)Les auteurs II. La tragédie classique 1)Historique

Prenons pour exemple Giraudoux (La Guerre de Troie n’aura pas lieu), Sartre (Les Mouches) ou encore Anouilh (Antigone) qui, au XXe siècle, ont réactualisé des mythes grecs déjà traités dans la tragédie antique (dans l’ordre : L’Iliade d’Homère, le mythe d’Œdipe ou encore celui de sa descendance). Au long de son histoire, le théâtre a été régulièrement soit condamné par les tenants d’une morale stricte et rigoureuse qui le considérait comme un mensonge (problème posé par l’illusion théâtrale) soit

essentiellement des tragédies. Cette forme de théâtre est la représentation symbolique d'un sacrifice. Dans la Grèce antique, les célébrations religieuses étaient l'occasion pour les dramaturges de s'affronter en proposant différentes représentations d'un mythe ou d'un sujet donné. La compétition consistait souvent à présenter quatre pièces (trois tragédies et un drame satyrique) Eschyle propose L'Orestie en 458 avant Jésus-Christ. Les tragédies étaient l'occasion de débattre sur des sujets politiques. Antigone de

qu'en lui.... Cette opacité fait la profondeur du symbole". Ce langage est conjointement indirect, allusif, il dévoile en cachant, révèle en dissimulant et parle! Or, c'est un mode de dire où l'essentiel n'est pas dit mais suggéré, sous-entendu. Un mythe, un rêve, un tableau un poème en tant que système d'images se caractérise par cette surdétermination de sens. Et le passage du caché au visible n'y est jamais achevé. Ainsi, le mot devient un "espace émotionnel", révélé son origine subjective, ses