Cathédrale Notre-Dame de Chartres

comme il faut que les hommes aient de l’esprit pour employer ainsi la tombe à la vanité ! Il avait dans l’occasion une raillerie douce qui contenait presque toujours un sens sérieux. Pendant un carême, un jeune vicaire vint à Digne et prêcha dans la cathédrale. Il fut assez éloquent. Le sujet de son sermon était la charité. Il invita les riches à donner aux indigents, afin d’éviter l’enfer qu’il peignit le plus effroyable qu’il put et de gagner le paradis qu’il fit désirable et charmant. Il y avait dans

haut, ce soir. Nous verrons après. Alors, Mme Baudu et Geneviève comprirent, sur un regard, qu'elles pouvaient arranger les choses. Tout fut réglé. Il n'y avait point à s'occuper de Jean. Quant a Pépé, il serait à merveille chez Mme Gras, une vieille dame qui habitait un grand rez-de-chaussée, rue des Orties, où elle prenait en pension complète des enfants jeunes, moyennant quarante francs par mois. Denise déclara qu'elle avait de quoi payer le premier mois. Il ne restait donc qu'à la placer elle-même

haut, ce soir. Nous verrons après. Alors, Mme Baudu et Geneviève comprirent, sur un regard, qu'elles pouvaient arranger les choses. Tout fut réglé. Il n'y avait point à s'occuper de Jean. Quant a Pépé, il serait à merveille chez Mme Gras, une vieille dame qui habitait un grand rez-de-chaussée, rue des Orties, où elle prenait en pension complète des enfants jeunes, moyennant quarante francs par mois. Denise déclara qu'elle avait de quoi payer le premier mois. Il ne restait donc qu'à la placer elle-même

haut, ce soir. Nous verrons après. Alors, Mme Baudu et Geneviève comprirent, sur un regard, qu’elles pouvaient arranger les choses. Tout fut réglé. Il n’y avait point à s’occuper de Jean. Quant a Pépé, il serait à merveille chez Mme Gras, une vieille dame qui habitait un grand rez-de-chaussée, rue des Orties, où elle prenait en pension complète des enfants jeunes, moyennant quarante francs par mois. Denise déclara qu’elle avait de quoi payer le premier mois. Il ne restait donc qu’à la placer elle-même

fournis par l’introduction du chapitre consacré au Moyen Âge. On veillera donc, dans un premier temps, à vérifier qu’ils en ont effectué une lecture attentive et que l’association entre lumière matérielle et lumière spirituelle de l’architecture des cathédrales gothiques ne leur a pas échappé. Parmi les exemples littéraires, on pourra citer les détails de la description que donne Joinville « des armoiries d’or sur lesquelles frappait le soleil, qui les faisait resplendir » (p. 20), et proposer dans

org/files/46451/46451-h/46451-h.htm#page_269FICHE D'INVENTAIRE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL 25 ― Conseil national des arts culinaires, l’Inventaire national des arts culinaires : Île-de-France, 1994 ― Viron (Philippe), Vive la baguette, Le Chesnay/Chartres, Les Éditions de l’épi gourmand, 1995 ― Roussel (Philippe) et Chiron (Hubert), Les Pains français : évolution, qualité, production, Paris, Édition Mae-Erti, 2005 ― Kaplan (Steven), La France et son pain, Paris, Albin-Michel, 2010 Brochures et

plus parfaites manifestations. Les romans courtois - nés sous l'influence de la poésie des troubadours chantant la fin'amor - proposent une nouvelle vision des relations sociales, fondées sur le respect que le chevalier doit à son seigneur et à sa Dame (le«service d'amour»). Les premiers textes qui s'inscrivent dans le cycle arthurien - relatant les hauts faits du roi légendaire Arthur et de ses chevaliers - apparaissent vers le XIe siècle, c'est-à-dire à une époque antérieure à la courtoisie. La

plus parfaites manifestations. Les romans courtois - nés sous l'influence de la poésie des troubadours chantant la fin'amor - proposent une nouvelle vision des relations sociales, fondées sur le respect que le chevalier doit à son seigneur et à sa Dame (le«service d'amour»). Les premiers textes qui s'inscrivent dans le cycle arthurien - relatant les hauts faits du roi légendaire Arthur et de ses chevaliers - apparaissent vers le XIe siècle, c'est-à-dire à une époque antérieure à la courtoisie. La

423-424. 426 et suiv. (4) La Rochelle avait été créée en cet emplacement par les seigneurs de Châtelaillon pour assurer la perception des impôts qu’ils levaient sur les navires. C’était alors une infime bourgade ; la première paroisse créée fut Notre-Dame de Cougnes. P. Marchegay, Cha rtes de Fontevra ud concernant l’Aunis et La Rochelle, Bibl. de l’Ec. des Cha rtes, t. IV, 4e série (1858), p. 169. (5) On trouve dès 1190 la dénomination de “Vieux Port”. Pawlowski, op. cit., p. 12. (6) G. Pawlowski,

comme il faut que les hommes aient de l’esprit pour employer ainsi la tombe à la vanité ! Il avait dans l’occasion une raillerie douce qui contenait presque toujours un sens sérieux. Pendant un carême, un jeune vicaire vint à Digne et prêcha dans la cathédrale. Il fut assez éloquent. Le sujet de son sermon était la charité. Il invita les riches à donner aux indigents, afin d’éviter l’enfer qu’il peignit le plus effroyable qu’il put et de gagner le paradis qu’il fit désirable et charmant. Il y avait dans