Cauchemar Fussli

plan => un iroquois qui s’en fout un peu, qui ne comprend pas trop la scène! renvoi au rôle des amérindiens dans la guerre! ! *Manufacture de wetchwood*! Porcelaine! le bleu fait ressortir les lignes blanches des corps! …..! ! *Füssli, le cauchemar*! il est amoureux d’un jeune femme de bonne famille avec qui il ne pourra jamais être (décision parentale)! deux versions ! gnome très laids! Caractéritiques néo classiques et pas néo classiques! scène fermée, pas d’action, plusieurs

s’aveugler et s’égarer. Comme Emma Bovary, celui qui rêve trop n’est-il pas guetté par le risque du suicide ? La deuxième sous-partie, nourrie de Gérard de Nerval, Sigmund Freud, Georges Bataille ou Clément Rosset, s’intéresse au rêve qui tourne au cauchemar et à la folie obsessionnelle. Cette part de rêve que chacun porte en soi peut se révéler être une partie de folie et de délire quand le rêve échoue à se réaliser. Le rêve serait alors une maladie, une pathologie qui, au lieu d’améliorer l’existence

s’aveugler et s’égarer. Comme Emma Bovary, celui qui rêve trop n’est-il pas guetté par le risque du suicide ? La deuxième sous-partie, nourrie de Gérard de Nerval, Sigmund Freud, Georges Bataille ou Clément Rosset, s’intéresse au rêve qui tourne au cauchemar et à la folie obsessionnelle. Cette part de rêve que chacun porte en soi peut se révéler être une partie de folie et de délire quand le rêve échoue à se réaliser. Le rêve serait alors une maladie, une pathologie qui, au lieu d’améliorer l’existence

couleur bleues) l’isolement : recherche effectuée par Georges Millet (CPAV ) MANET : « Un bar aux folies bergères » GIORGIONE : « La Tempête » 1500 7 De CHIRICO : « Portrait de Guillaume APPOLLINAIRE la peur : Edouard MUNCH : « Le cri » 1893 FUSSLI : «le cauchemar » 1790/1791 Sculpture Avec de la terre par exemple sculpter des personnages comme le fait Edward avec ses mains ciseaux quand il sculpte la glace pu les arbres. Soit partir d’un bloc de matière puis le transformer par étirement pour réaliser

Inspectrice de l’Éducation nationale en Lettres (académie de Créteil) Objet d’étude 1 Présentation de l’objet d’étude 1 4 Interrogation 1 Séquence A Le vampire Séquence B Sherlock Holmes ACTIVITÉS ET PROLONGEMENTS Histoire des arts Füssli 6 18 32 34 Interrogation 2 Séquence A Ruy Blas de V. Hugo Séquence B Les Miettes de P. Pinaud ACTIVITÉS ET PROLONGEMENTS Histoire des arts Delacroix 36 47 60 64 Interrogation 3 Séquence A Bouvard et Pécuchet Séquence B

Symbolisme prétend réinventer un langage des idées: selon Aurier, l'œuvre d'art se doit désormais d'être "idéiste","symboliste", "synthétique" et "subjective".En cela, le Symbolisme rejoint ses précurseurs:le peintre suisse Heinrich Fusslï, à qui l'on doit le célèbre "Cauchemar", William Blake, ou encore le pathétique Goya de l'époque de la "Casa del sordo"...Il s'inscrit également dans une mouvance à la fois philosophique, littéraire et artistique, dont tous les acteurs,à travers une singularité revendiquée

néo-classicisme/premier romantisme 1. La peinture en France (1800-1815) : prolongement et domination du néo-classicisme 2. Les autres pays d’Europe (1800-1815) : le premier esprit romantique a. L’Allemagne de Friedrich b. L’Angleterre de Füssli et de Blake c. L’Espagne de Goya 3. L’expression architecturale de la dualité néo-classicisme/premier romantisme : a. La monumentalité urbaine et civile néo-classique. b. Les extrapolations architecturales néo-gothiques du premier romantisme

fantastique funèbre dans lequel il a pu trouver un aliment nouveau à la même époque dans les fantasmagories. Hokusaï, Le squelette de Kohada, Femme serpent fumant, L'ogresse, estampes Les fantômes d’Hokusaï sont pétris de la substance même des cauchemars et des hantises et frappent tous les sens. L'odeur de l’eau croupie s'attache aux vêtements boueux de la femme noyée la lanterne qui brûle répand une puanteur de tombeau, et l'on croit toucher du doigt les pustules visqueuses du crapaud, les tentacules

Paganini, les œuvres d’Hoffmann transformées en opéra par Offenbach. En littérature, la traduction des contes d’Hoffmann, et les feuilletons de fantaisies publiés dans Le Mercure esquisse l’ambiance du fantastique. Les tableaux de J. H. Füssli comme Le Cauchemar (1781), ainsi que les dessins de G. Doré laissent les traces d’une période obscure, fantomatique et mystérieuse, pleine d’allégories et de symboles. Et dans les 19 Πάπυρος Larousse, 1994. 11 © Kalliopi Ploumistaki 2004 Tableaux

déçu de son résultat. · Heinrich Füssli, Le cauchemar, 1781. → Préromantique. Suisse voyageant en Italie, puis en Angleterre. → Intérêt pour Shakespeare pour son passage du tragique au grotesque. Pas de pied de lecture, pas d’indices pour comprendre cette toile. Contraste très fort, décor contemporain, tête de cheval probablement aveugle → Tableau très vite devenu célèbre. Explication de la toile : Le démon est probablement un incube produisant des cauchemars sexuels. La tête de cheval peut