Cause Du Bipartisme

malaisé par l'apathie et la passivité des membres, mais aussi parce qu'il sera contré — d'une façon insidieuse mais d'autant plus efficace — et réprimé par les organisations mises en place pour fournir ces services » (1986, p. 72). L'analyse du bipartisme nous offre également un exemple intéressant. A. Hirschman part du modèle de H. Hotelling : lorsque deux partis se disputent la clientèle électorale, ils tendent à se rapprocher l'un de l'autre idéologiquement et politiquement, parce qu'ils ne

législatif et judiciaire, ainsi que leur équilibre respectif (l’impact des décisions de la cour suprême montre par exemple qu’il n’existe pas un pouvoir subordonné à un autre). Dans la pratique, la vie politique américaine s’organise autour du bipartisme : les partis démocrate et républicain dominent le paysage politique. Dans ce système, les médias et l’opinion publique jouent un rôle qui ne cesse de croître, ainsi que l’a montré dès 1972-1974 le scandale du Watergate ayant contraint Nixon à

partis politiques agissant sur la scène politique d’une même société”. Ces relations peuvent être plus ou moins conflictuelles. On distingue deux grands types de partis : le bipartisme et le multipartisme. Le bipartisme repose sur l’alternance plus ou moins régulière de deux partis à vocation majoritaire. Le bipartisme absolu n’existe pas, même si les Etats-Unis et la Nouvelle-Zélande s’en rapprochent. Cela correspond au mode de scrutin en vigueur (scrutin majoritaire à un tour) favorisant une

exécutif, et judiciaire. Ils marquent avec force la distinction et la séparation des pouvoirs, par leur première phrase respective, toutes les trois sur le même modèle. D’ailleurs remet la décision USA v. Nixon du 24/7/1974 cette séparation stricte en cause : "En définissant la structure de notre Gouvernement et en divisant le pouvoir souverain par une répartition entre trois branches égales, les fondateurs de la Constitution ont cherché à définir un système d'ensemble, mais il n'était pas dans leur intention

choisi par le monarque en fonction du résultat des élections. La chambre basse du parlement n'est plus alors le seul organe à pouvoir se prévaloir de la légitimité populaire. C L'AUTORITE JUDICIAIRE Le judiciaire est plutôt une autorité à cause de l'absence d'indépendance réelle visà-vis du pouvoir politique qui l'a caractérisée pendant longtemps et la caractérise encore dans certains pays. Aujourd'hui, la plupart des démocraties ont réussi à couper les liens entre le politique et le judiciaire

La politique des Etats-Unis repose sur deux piliers principaux : La démocratie et la liberté individuelle. Le principe de démocratie est poussé à son maximum. En effet, le pluralisme est une priorité avec l’existence de deux partis majeurs (bipartisme) : Les démocrates, équivalant à la gauche française, dont le symbole est l’âne et les républicains’ équivalant à la droite française, dont le symbole est l’éléphant. La démocratie est aussi garantie par un système de vote maximum, aux Etats-Unis

Turcs, Iraniens, Irakiens... Mouvements indépendantistes kurdes avec des attentats. La nation Kurde a-t-elle le droit un jour de constituer un État et d'être reconnue par la communauté internationale. Danielle Mitterrand plaidait beaucoup pour la cause Kurde. Serait-ce géopolitiquement possible ? Prudence de la communauté internationale => L'exemple de la Tchétchénie qui est éparpillée en Russie. Prudence de la CI vis à vis de la Russie qui a l'arme nucléaire, du gaz... L'exemple du Tibet. La Chine

aux Etats-Unis.   Dans les systèmes bipartisant, on distingue du bipartisme rigide du bipartisme souple qui dépendent tout deux du degré de cohésion des partis politiques.  Dans le bipartisme rigide, les partis connaissent une grande discipline de vote. La Grande Bretagne est l’exemple parfait du bipartisme rigide. Tandis que les Etats-Unis sont les champions d’un bipartisme souple sans discipline de vote forte.   Le bipartisme n’est pas le modèle le plus répandu dans les démocraties pluralistes

législateur a l’initiative des lois et les vote. L’exécutif s’occupe de leur exécution et le pouvoir juridictionnel juge. La qualification de séparation « rigide » s’explique par l’absence de moyens d’actions réciproques susceptibles de remettre en cause l’existence de tel ou tel organe législatif ou exécutif. En effet, il n’y a pas de place pour des mécanismes de dissolution d’une chambre ou de mise en jeu de la responsabilité politique d’un organe exécutif en régime présidentiel. Par conséquent,

comparatisme présuppose que l’on puisse comparer des éléments du politique au sein des sociétés politiques, et cela avec les mêmes outils. Cela marginalise la spécificité de la culture des sociétés. Le modèle du comparatisme classique va être remis en cause par deux phénomènes.D’abord, autour des pratiques politiques. Elles sont distinctes d’une société à l’autre, donc incomparables d’une société à une autre. Chaque société invente sa propre définition du politique, même si on a l’impression que le modèle