Causes Et Conséquences De La Tertiarisation

en l’époque coloniale, lorsque les européens s’installèrent en Amérique du Nord à partir du XVI siècle. Les treize colonies anglaises de la cote orientale virent leurs économies se développer et la révolution américaine contre la métropole eut des causes économiques. Elle entraina son indépendance en 1783 et la formation d’une nation et d’une marché prospére.L’histoire économique du XIX siècle fut marquée par l’ascension du pays comme puissance productrice et commerciale. Les Etats Unis s’industrialisèrent

par an. Cette crise s’étend à la planète entière également au pays de l’Est du tiers-monde. En 1979, se produit un second choc pétrolier où le prix triple, il est dû à la guerre entre l’Iran et l’Irak. Conséquences : inflation et chômage augmentent à nouveau. Mais la dépression à d’autres causes : celle de la hausse des prix en matières première en raison de la hausse de la demande des pays qui s’industrialisent (Inde, Brésil, Chine) (ex : cuivre augmente de 88% en 1972) ; d’autre part à partir

de la société fondée sur l'industrie moderne et ses principes d'organisation économique. Partout dans le monde, elle fascine et elle est imitée. Son succès fait alors apparaître des concurrents et génère une révolution des activités tertiaires, conséquences qui déclenchent une crise inattendue. II. La mutation des sociétés industrielles à la faveur de la « crise » (1973-1990) 1. L'essoufflement des sociétés industrielles Dès la fin des années soixante, la consommation ralentit, la croissance devient

principalement un face à face entre un monde pauvre qui ne cesse de s’enrichir et des vieilles nations occidentales riches qui semblent s’appauvrir (chômage européen, « working poor » américain). Différentes questions peuvent alors se poser : quelles sont les causes de ce renversement ? Est-ce le commerce avec les pays pauvres, la mondialisation, la cause de notre appauvrissement ? Non, répond l’auteur, qui va essayer de démontrer tout au long de ce livre les réelles origines des nouveaux maux européens. En

par la place centrale du secteur secondaire, la centralisation de la production dans les usines (factory system), l’essor du salariat et de la classe ouvrière. Au milieu du XIXème siècle, Karl Marx (1818-1883) voit dans la misère ouvrière la conséquence immédiate des rapports de production(relations déterminées par la place qu’occupent les individus dans un mode de production)caractéristiques des sociétés capitalistes (le salariat): l’exploitation (rapport de production liant le capital et le travail

de ces pays qui conduisent ces derniers à la ruine même lorsqu'ils possèdent des richesses minières ou pétrolières. Il existe même certains exemples de pays qui exploitent non seulement les ressources du pays mais également l'argent destiné à des causes sociales. « Démocratie pour l'Afrique » L'occident a déjà vécu sa succession de révolutions ayant abouti à l'instauration de la démocratie, et l’Afrique semble prête à commencer ce processus. Les raisons de possibles révolutions ne sont cependant

C'est A. Smith[4] qui le premier introduit la notion de division du travail[5] dans son exemple célèbre de la fabrique d'épingles. Pour lui, c'est le pendant naturel des hommes à échanger qui est à l'origine de la division du travail. En conséquence, la division du travail produit les effets suivants : accroissement de l'habileté de chaque ouvrier ; gain de temps (en passant d'un ouvrage à l'autre) ; invention de machines qui facilitent le travail.  Taylor[6] et l'OST[7]

syndicats de défendre les intérêts professionnels des salariés ; la principale source de recrutement des syndicats, le monde des ouvriers de la grande industrie est en pleine recomposition avec l’émergence d’une nouvelle condition ouvrière. II. Les causes internes de la crise du syndicalisme A l’origine, l’action syndicale est animée par des militants souvent bénévoles ; à présent, les militants deviennent de véritables « professionnels » de l’action sociale avec notamment des permanents de leur

fondamentaux Quand un pays connait la croissance, cela signifie qu'il a plus de richesses à partager: les agents économiques ont produit plus de richesses sous forme de valeur ajoutée. Celle-ci va permettre d'augmenter les salaires, avec pour conséquence l'augmentation de la consommation de biens et services. La production augmente alors pour répondre à la demande, entraînant l'investissement et l'emploi. La croissance s'auto-entretient, permettant une hausse du niveau de vie, mesurée par le PIB/

de la tertiarisation de l’économie et de la diminution du temps de travail (35heures en France). L’auteur se pose alors la question de savoir pourquoi cette détérioration ? Pour tenter de répondre à la question, dans une seconde partie, l’économiste reprend les interprétations qui sont souvent avancées. Il y a selon lui d’un côté ceux qui affirment que c’est « la qualité du thermomètre qui ferait monter la fièvre » ; l’augmentation des maladies professionnelles serait une conséquence du fait