Ce Que L On Te Reproche C Est Toi Cultive Le

on en a été le complice ; que ce nazisme-là, on l’a supporté avant de le subir, on l’a absous, on a fermé l’oeil là-dessus, on l’a légitimé, parce que, jusque-là, il ne s’était appliqué qu’à des peuples non européens ; que ce nazisme là, on l’a cultivé, on en est responsable, et qu’il est sourd, qu’il perce, qu’il goutte, avant de l’engloutir dans ses eaux rougies de toutes les fissures de la civilisation occidentale et chrétienne.

Oui, il vaudrait la peine d’étudier, clinlquement, dans le détail

dire quelque chose, par exemple sur la perte du sens dans les sociétés modernes : c'est le cas de Rhinocéros de Ionesco. II Sois belle et tais-toi ! On peut toutefois se demander si ce critère est réellement pertinent et s'il est légitime de reprocher à une œuvre d'art de ne vouloir rien dire : cela ne signifierait-il pas que l'on réduit l'art à un moyen de communication ? * Le jugement de goût est formel On peut tout d'abord rappeler la distinction établie par Kant entre beauté adhérente et

COMMENTAIRE LITTERAIRE :  LETTRES PERSANES, MONTESQUIEU. Montesquieu (1689-1755), magistrat et écrivain français que les études destinaient à être parlementaire, voyage beaucoup. Homme cultivé, dont l’ouverture d'esprit lui permet de percevoir la société d'un regard différent est par ailleurs l’auteur de nombreux mémoires, de romans parmi lesquels : Lettres persanes (1721), de Pensées et d’ouvrages d’analyse tel que De l’Esprit des Lois. Lettres Persanes est un roman

de leur art. La codification des genres littéraires, comme les règles sur la langue édictées par l’Académie française (1634, Richelieu) ne visent qu’à répondre aux goûts du public. L’accent est mis sur le concept d’ « honnête homme » : raffiné et cultivé, sans pédantisme, alliant l’élégance aux vertus chrétiennes. III) Andromaque, une pièce classique 1) Exigences de vraisemblance et règles des trois unités Ainsi le spectateur doit-il avoir l’illusion qu’il assiste non à une représentation

grâce au lien Lecteur/Roman. Cela explique la lecture des Romans fleuves ou des Romans de Gare. Ces romans avec un niveau de lecture facile ont une connotation péjorative et permettent au lecteur de passer un moment divertissant sans pour autant se cultiver. En outre, l’opinion négative du roman peut provenir de la présence du comique. Le comique (de geste, de décalage, de situation…) fait perdre alors toute crédibilité à un roman. Ainsi dans « Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part » d’Anna

ans, Socrate en a le double. Il y a donc une génération d’écart. Et c’est le « coup de foudre » instantané. Platon décide de consacrer sa vie à Socrate. Platon était un jeune aristocrate qui avait l’éducation des jeunes aristocrates grecs, il était cultivé, « sportif » (terme qui n’existait pas à l’époque), il avait beaucoup de talent. Il avait écrit du théâtre. Mais lorsqu’il a rencontré Socrate, il a décidé de consacrer sa vie à la philosophie, et a détruit ses pièces de théâtre. On sait qu’il en

sur une place tranquille d’une ville de Province, un dimanche matin. Le décor comprend une épicerie en arrière-plan et une terrasse de café où Jean, personnage imbu de sa personne attend Bérenger, son ami employé de bureau, bien plus timide. Il lui reproche de ne jamais arriver à l’heure, ainsi que son allure négligée et son manque de personnalité. Ce dernier ne réagit pas. Un rhinocéros traverse alors la place avec fracas. Les habitants du quartier sont d’abord interloqués et commentent son passage

charge par la mère. On sait que sa « vertu » et son « mérite » étaient « extraordinaires » l6 : l’éducation de Mlle de Chartres est donc entre de bonnes mains : « elle avait donné tous ses soins » l8, « elle ne travailla pas seulement » l8 à 9, « cultivé » l9 : éducation essentiellement morale. Modernité de cette éducation : « la plupart des mères s’imaginent (…) Mme de Chartres avait une opinion opposée » l10 à 12 : absence de mots de liaison entre ces 2 phrases, elles s’opposent avec une asyndète

l’abbaye, Ecole sentiments…) des Lettres, 2002-2003, n°7. Agnès de Montal et Guy de Servières se retrouvent seuls, peu après la rencontre de Guy et Flor. Agnès est très jalouse de la jeune espagnole. Elle soupçonne Guy de bien la connaître, et lui reproche de s’être isolé avec elle. Il la rassure alors à propos de ses sentiments, et lui rappelle leurs tendres souvenirs de jeunesse. Rédige le dialogue de ces deux personnages en employant 15 à 20 verbes de paroles appropriés aux différentes répliques

par rapport à l'attitude à adopter se traduit par une succession d'antithèses : « Elle croyait devoir parler et croyait ne rien devoir dire Le discours de Monsieur de Nemours lui plaisait et l'offensait quasi également. » Alors que son mari lui reproche sa vie retirée, elle est tentée de lui avouer l'intérêt de Nemours pour elle. Troisième récit enchâssé : Anne de Boulen (mère d'Elisabeth d'Angleterre) vue par la Dauphine Le récit de l'histoire d'Anne de Boulen permet d'exposer les ravages de la