Ce Qui Est Légal Est Il Nécessairement Légitime Philosophie

générique pour tous les actes, où qu'ils soient dans la hiérarchie des normes (normes constitutionnelles, légales au sens formel ou strict, réglementaires...) Si la loi n'est pas respectée par les individus, cela peut engendrer des sanctions judiciaires (pénales ou civiles). Au plan de sa forme, une loi est un acte juridique pris par une autorité précise, en général le parlement, qui est légitime et a les moyens de commander. Dans les pays qui connaissent une forme de séparation des pouvoirs, la loi

puni est le non-respect du droit il faut distinguer aussi le droit et la religion. Le droit doit donc embrasser une grande diversité de situation. * Le droit correspond aussi à une notion d’universalité selon un ouvrage de Villé qui a écrit « Philosophie du droit » on trouve une idée que le droit est construit sur une vision universelle de l’homme sur laquelle nous seront tous d’accord exemple de la torture, nous considérons que les droit de l’homme ont par exemple une portée universelle. *

dire, d'une autorité différenciée du reste de la société et autorisée par la société à imposer son arbitrage. Il reste à voir comment s'est imposé cet appareil. Rattraper résumé : délimitation du politique ? Le politique ne passe pas nécessairement par l'intervention d'un appareil spécialisé, l'Etat n'as pas indispensable. La contrainte est exercée dans ces cas de manière diffuse. Les sociétés sans Etat sont aujourd'hui très rares. L'Etat s'est institutionnalisé = spécialisation , autonomisation

directement ou par un héritier. L’affranchi sera dès lors libre et pourra exercer l’activité professionnelle de son choix mais il ne pourra toutefois pas jouir de tous les droits du citoyen : * Il ne possède pas le droit de contracter un mariage légal avec un(e) « ingénu(e) » de l’autre sexe, mais seulement un droit au concubinage ; * Il ne peut servir dans une légion (jusqu’à 87 ACN) ; * Il ne dispose pas du « jus honorum », le droit d’être élu à la magistrature publique, ni aux hautes

d'accords de volonté ou de vouloir souverain. C'est parce que la vérité est inaccessible à la raison qu'il faut se tourner vers l'autorité et vers la force. Pascal : « La justice est ce qui est établi ; et ainsi toutes vos lois établies sont nécessairement tenues pour justes, puisqu'elles sont établies. » Courant plus radical encore car nie la réalité de la justice : le « juste » n'est indiscernable que parce qu'il n'existe pas. L'idée de justice est « une simple conception des hommes » (Beccaria)

différent qu'il aurait accomplit autrement. Capacité d'influence d'autrui. Le pouvoir est l'influence décisive débouchant sur une action. Influence négative ou positive. Dans tout groupe humain, le pouvoir (terme synonyme d'influence) (non nécessairement politique) -distinguer le politique et la politique : LE politique : se confond avec l'appareil d’État, l'administration et qui détient le monopole de la décision, seul à pouvoir décider et légitimement. LA politique : agitation politique

circonstances de la mort ainsi que le droit à l’image. La Cour de cassation française énonce également que le numéro de sécurité sociale et les références bancaires ressortissent à la vie privée de chacun à l'encontre de toute personne dépourvue de motif légitime à en connaître. Vie professionnelle. En revanche, par principe, les activités professionnelles échappent à la vie privée, sauf à révéler, à l'occasion d'imputations concernant la vie professionnelle, des éléments de la vie privée de la personne

Des enjeux parfois incompris. II) Institutionnalisation, accès à la légitimité artistique ? 1) Deux points de vues sur la légitimité culturelle. a) La définition initiale de Max Weber A chacun sa légitimité... … et sa culture b) La philosophie esthétique, Légitimité et goût Bourdieu ou comment lier goût et légitimité. 2) Un art illégitime en institution ? a) Le goût de l’illégitime b) Ethique du street art, art officiel et marchandisation Le cas de Bansky, à travers le film « Exit

la force des puissants dont elle constitue une justification ? C'est cette thèse de Marx soutient. Selon lui, le droit est l'expression de la puissance de la classe dominante. Il traduit ses intérêts particuliers et, en même temps, tente de les légitimer et de les occulter en les faisant passer comme l'intérêt commun de tous les membres de la société. Sartre reprend cette analyse à sa manière. Constatant que le droit est toujours lié à des rapports de force parce qu'il est fait pour régler des

que l’activité de telle ou telle juridiction constitutionnelle ou la validité, en général, du contrôle de constitutionnalité des lois est légitime, ou pourrait l’être à telle(s) condition(s), ou au contraire est peu ou pas du tout légitime, sans qu’on ait la moindre idée précise des critères retenus pour décider, en toute rigueur, de ce qui est ou non légitime. Très souvent, un va-et-vient constant entre les niveaux analytiques, normatifs et prescriptifs caractérise ces études sur la « légitimité