Ce Qui Rend Une Comédie Plaisante

Arnolphe. Présentation indispensable puisque la suite des événements dépend de son comportement (comédie de type psychologique). L'excès de sa confiance appelle une leçon la nature outrageusement bafouée se vengera ; les efforts d 'Arnolphe n'aboutiront qu'à le ridiculiser davantage, à augmenter sa torture morale. Plus encore que les événements c'est la peinture d'un caractère qui fait l'intérêt de cette comédie: on ne saurait donc, dès l'abord, connaître trop minutieusement d'après . ses paroles, ses

Les fausses confidences, Marivaux Présentation : * Une comédie tardive au XVIII eme siècle c'est la 20eme pièces de Marivaux Elle évoque « Les surprises de l'amour, les subtilités de ses retournements et de ses avancées, à travers le jeu vertigineux des stratagèmes et des faux-fuyants de la séduction » Conflit réel entre les interêts et les sentiments : élaboration de la comédie bourgeoise. Les fausses confidences sont adaptées a la troupe italienne en plein renouveau, d'où

d’actionEnfin, Arrias donne, sans qu’il ne le soit demandé, son avis sur les histoires qu’il raconte : les verbes “il les trouve plaisantes” et “il en rit le premier jusqu’à éclater” donnent des indications sur ses réactions. Arrias semble très impliqué dans son récit et n’hésite pas à être le premier à y réagir ; on a presque l’impression qu’il parle pour lui-même, il veut être à la

la “déterritorialisation”, car il l’a d’emblée – en l’annexant à son monde pour en faire son autre dégradé – exproprié de son territoire propre. En dépit de cette socialité foncière du singe, La Fontaine l’enrôle tardivement dans l’“ample comédie aux cent actes divers” que sont les Fables. Hormis deux apparitions isolées au Livre IV (Le Singe et le Dauphin) et au Livre VII (La Cour du Lion), le Singe ne s’intègre vraiment à la population des Fables que dans le dernier recueil, paru en 1694

moi qui ai rendu la vie à tous ces cadavres gisant dans la poussière » signalent une véritable renaissance par rapport à l’usage qui en était fait auparavant. Les costumes retrouvent leur importance : ils sont travaillés, remis au goût du jour, plaisants à regarder et sont à leur tour un gage de réalisme dans la mise en scène. Les décors et les costumes ont une importance technique, c’est évident, mais ils ne sont pas de simples accessoires. Ce sont des éléments essentiels de l’œuvre qui visent à

conte et la fable : deux genres dont les affinités et les entrecroisements paraissent évidents au xviie siècle. Le Dictionnaire de Furetière a recours à la même terminologie pour les définir : « fiction », « chose inventée », « plaisanterie », « plaisant ». Pour les contemporains de La Fontaine, les deux genres participent également de la « feinte » — la fable par statut, le conte par prédilection — et leur finalité avouée est celle de « plaire », de « divertir ». Bien sûr, il existe aussi des contes

cette scène peut faire penser à un décor, de théâtre. on peut rappeler aux élèves la polysémie du titre Le Roman comique : c’est un roman qui fait rire, qui parle du métier de comédien et dont certains épisodes rappellent des scènes de farce ou de comédie. la voracité féminine 5. La première étape de la tentative de séduction de la Bouvillon consiste à faire asseoir Le destin au pied d’un lit, auprès d’elle (l. 1-2). Puis, après la sortie des servantes, le  dialogue permet à la Bouvillon de séduire

exception. Le chemin parcouru par l'âne Lucius, tel une imitation burlesque d'Ulysse et de son Odyssée, avec toutes les tribulations qu'il implique, ressemble beaucoup à un parcours initiatique. Après avoir étudié dans une première partie tout ce qui rend l'univers de Lucius particulièrement instable, nous analyserons dans une deuxième partie en quoi ses aventures en font un personnage en quête de sens. Un univers instable, c'est le moins que l'on puisse dire. Il est opportun de

nobles de la Cour.A la croisée de multiples genres, son œuvre unique, « Les Caractères », somme morale publiée en 1688, rééditée et augmentée de nouvelles réflexions neuf fois, est proche du proverbe, de la maxime de la réflexion philosophique, de la comédie, de l’apologue... C’est essentiellement l’efficacité et la clarté de la brièveté et de la simplicité, le rejet de toute préciosité et de toute vanité, l’imperatoria brevitas qui lui firent préférer ces formes fragmentées (G). Au commencement, l’auteur

les clercs qui donnent leur savoir, et impose à la société… Les clercs connaissent les 7 arts importants (grammaire, musique…). Le chevalier n’avait pas du tout les mêmes connaissances que les clercs, il représente un parfait amant, un homme fort, rend social supérieur comme l’illustre Tristan et Iseut. Humanisme et Pléiade (XVI° siècle) Auteurs principaux: Erasme; Ronsard; Rabelais; Shakespeare Découverte de l’imprimerie par Gutenberg, qui a permis la diffusion de l’humanisme. Pour Luther