Celine Fordisme

pause afin de trouver la méthode de production la plus efficace qui contraint les ouvriers à travailler à un rythme élevé et constant. L’ouvrier = l’OS. En 1913 : Henry Ford accroît encore la productivité en introduisant le travail à la chaîne = le Fordisme => le travail vient à l’ouvrier qui ne se déplace plus et à qui on donne des hauts salaires pour devenir consommateur. => utilisation rationnelle de la main d’œuvre, des machines et de l’espace. Les profits de l’entreprise augmentent mais

noire), permettant ainsi de faire baisser ses prix (par des économies d’échelle) et de vendre en masse ; par ailleurs il double les salaires de ses ouvriers par rapport à la concurrence, les incitant à acheter à leur tour des voitures Ford. Mais le fordisme porte en lui deux contradictions qui vont contribuer à sa chute. Au vu de la pénibilité du travail, de hauts salaires étaient indispensables pour attirer et garder les ouvriers ; mais lorsque toute l’industrie est contrainte d’adopter ce système

organisation de production devient possible grâce à l’informatique et internet. -Rupture sociale : une nouvelle façon de concevoir le travail humain. La production doit être adaptable à la demande, réactive, et de qualité. On passe ainsi du taylorisme, fordisme au toyotisme (« juste à temps »). On tente d’optimiser au maximum le processus de fabrication et d’éliminer les « temps-morts » . Les travailleurs moins qualifiés se voient défavorisés par ce mode organisationnel, car la polyvalence des travailleurs

doctrine sociale. III. Le taylorisme: un âge du capitalisme, celui de l’OS. A. L’impact marginal du taylorisme avant 1914. B. 1914/1945: la révolution taylorienne inachevée. C. 1945/73 : l’âge d’or de l’OS en France. 1. Taylorisation généralisée et fordisme. 2. L’âge d’or de l’OS. D. La crise du taylorisme depuis le début des années 70. 1. La crise du travail taylorisé. 2. Des tentatives de réformes du taylorisme. 3. Un nouveau contexte socio-économique. Le taylorismeest-il mort ? Guy CAIRE, 1985, «lectures

machine. Les limites : → Conception de l'homme au travail qui repose sur une vision restrictives et appauvrie du potentiel humain. → La logique de rationalisation du travail supprime l'initiative et l'autonomie au travail. Henri Ford et le Fordisme Il est un des premier à avoir appliquer et développer le principe du taylorisme. Il y a trois principales innovations apportées dans la construction automobile aux USA : → Le travail à la chaine continue : insipiré par le principe de la division

Portée et limites du modèle Fordiste de prod. 3 | | | |parcellisé -> mécanisé) La machine fini par dicter à l’homme son rythme de W et de production. Le mode de |effets complémentaires du Fordisme : | | | |production Fordiste a induit la croissance économique mondiale. |- Baisse des prix de vente |

Histoire devoir maison L’automobile : la chaine 1) comment la production est elle organisée dans cette usine ? Le document 1 est une photographie d’une usine Citroën vers 1930. Nous pouvons ici observer le principe du taylorisme et du fordisme. C'est-à-dire que nous avons ici un système de travail a la chaine : chaque ouvrier a une tache désignée à faire et ne doit pas faire autre chose que cette tache, il doit l’accomplir en moins de temps possible et la faire le plus grand nombre de

comme celle d’ISO garantissent un standard quasi taylorien rassurant alors les consommateurs. « Les clients pourront avoir une voiture de la couleur qu’ils veulent, pourvu qu’ils la veuillent noire. » Ford. Le taylorisme (on comprend également le fordisme dedans) est en effet une organisation scientifique du travail prônant quelques grands principes : la division verticale et horizontale du travail, la standardisation, le chronomètre du temps le salaire au rendements pour chasser la flânerie des ouvriers

produits, les méthodes et les techniques nées à la fin du XIX° siècle et qui participent à la seconde révolution industrielle arrivent à maturité pendant cette période des 30 glorieuses. Ainsi, en ce qui concerne les méthodes de production , le Fordisme et le Taylorisme (travail à la chaîne, standardisation des productions, chronométrage) sont définitivement adoptées comme règle d'organisation des unités de production. L'ouvrier qualifié sachant tout faire et dorénavant supplanté par l'ouvrier spécialisé

B) Les bases de cette croissance -Repose sur le financement américain avec le PLAN MARSHALL qui impulse les investissements productifs, privés et publics. -Le baby boom a des effets sur la consommation des ménages. -La généralisation du FORDISME et du TAYLORISME. -Le développement du secteur RECHERCHE ET DEVELOPPEMENT( la NASA aux E.U) dans les entreprises pour optimiser les GAINS DE PRODUCTIVITE. -Le développement et l’amélioration des moyens de transports, l’extension des réseaux de