Centralisme

d'intellectuels, d'écrivains marqués par la défaite de 1871 et la volonté de revanche. Boulangiste à ses débuts Barrès accueille avec enthousiasme la guerre mais cette dernière fait évoluer sa réflexion politique. Il est pour la république, contre le centralisme parisien et est partisan de l'expression de la volonté populaire à travers des plébiscites. La terre, les régions et traditions, sont des thèmes importants de ce mouvement qui sont associés avant la guerre à un mythe de l'Alsace perdue. Dans la

réseaux d’influence à la cour (la camarilla ) et par les interventions constantes de la couronne dans le jeu politique ; - le renforcement du centralisme et de l’uniformité de l’Etat : · le pouvoir de l’administration centrale est accru : maires nommés soit par la couronne (+ de 2 000 habitants ou capitales de province)

l’instauration d’une langue commune (ainsi, c’est une des œuvres de la monarchie absolue en France d’avoir contribué à l’affaiblissement progressif des patois locaux dans le but de constituer une nation unie, unification sans laquelle n’aurait pu exister le centralisme politique). Ceux qui ont des visées universalisantes négligent le fait qu’avant même de pouvoir se sentir proche de qui que ce soit, il faut pouvoir se sentir proches de quelques uns et cette proximité repose sur ce fond indiscutable qu'est la langue

lequel tout convergeait a laissé des traces indélébiles. Paris en encore aujourd’hui le symbole de la réussite professionnelle l’endroit vers lequel tout converge ou tout se décide, y compris la mode la culture la notoriété et bien d’autres. Le centralisme parisien s’illustre en ce qui concerne les transports, mes équipements autoroutiers, ferroviaires et aériens. Si un aéroport doit se construire dans une province ce n’est pas pour le développement régional mais aussi pour désengorger les aéroports

des fortunes et des grands noms, aucune cité ne l’emportera sur l’autre. Le Val de Loire est un cordon ombilical : il a donné vie à la France. Il l’a réveillé. Le destin inattendu du Val de Loire s’explique donc par la guerre de Cent Ans et le centralisme affirmé de la monarchie française. Si le souverain s’enfuit, le pouvoir aussi. C’est alors que des châteaux se créent et se développent au nom d’une innovation architecturale. Si la Renaissance est aussi célébrée, c’est parce ce que l’élite française

une langue de prestige, avec une abondante création littéraire, et ce prestige atteint son apogée au XVIIIème siècle. Un rayonnement dans le monde entier (Voltaire ira séjourner chez Frederic de Prusse par exemple). Pendant la Révolution, le centralisme du français est assez contraignant car si on ne parle pas français on est mis à l'écart de la société et on peut même être considéré comme ennemi de la société. Dilemme des révolutionnaire face à la langue. En 1790, l'abbé Grégoire décide de faire

la Conférence nationale du Zaïre au « Palais du peuple ». Quelques 1500 délégués, venus des 11 provinces du pays y sont réunis. Plusieurs partis y seront réunis tels que (UDPS), (Palu) partie lumumbiste etc. La majorité des partis est opposée au centralisme et se dit « fédéralistes » .Les autres se disent « unitaristes »(Palu) mais la conférence ne sera déclarée souveraine qu’en mai 1992. Le 15 aout, le premier Premier ministre élu : Tshisekedi. Aux yeux des Zaïrois, le Mobutu n'a ainsi plus le

Ferme des animaux (chez Champ libre). * Le stalinisme désigne l’idéologie et la pratique politique de Joseph Staline, puis, par extension, de ses partisans ou de ses émules, qualifiés de staliniens. * Le stalinisme est caractérisé par le centralisme et l'emploi de la force, voire de la terreur, comme mode de gouvernement, accompagnés d'un culte de la personnalité organisé autour du principal dirigeant. Les régimes staliniens se caractérisent par une économie planifiée[1], où la bureaucratie

» L’Europe va être écartelée entre deux modèles qui lui sont imposées par les deux grandes puissances, chacune dans son camp. 1. Au modèle totalitaire soviétique (marxisme-léninisme ; dictature du prolétariat ; toute-puissance du parti unique ; centralisme démocratique) s’oppose la démocratie libérale américaine. 2. L’opposition des deux modèles économiques est la plus flagrante. Le fonctionnement de l’économie soviétique reste fidèle aux principes hérités de l’entre-deux guerres (collectivisationétatisation

une investigation sur ce point excéderait sans doute largement l’objet de cette note. On voit en revanche que si Staline a eu une influence personnelle sur le fonctionnement du parti, celle-ci ne doit pas être recherchée dans le renforcement du centralisme démocratique ou de la dictature exercée par le parti ; les règles – indiscutablement favorables au développement du pouvoir personnel de Staline – avaient déjà été mises en place par Lénine. Staline s’inscrit donc sur ce point dans la continuité