Centre d'études supérieures de civilisation médiévale

Séquence 1 La question de l’altérité Objet d’étude E  a question de l’Homme dans les genres de l’arguL mentation, du XVIe siècle à nos jours Activités E  tude É de deux groupements de textes. Sommaire Introduction 1. Découverte d’un continent et découverte de l’Autre 2. L’utopie et la rencontre avec l’Autre au XVIIe siècle 3. Regards de voyageurs du XVIIIe au XXe siècle : l’Autre, miroir et mire de soi Séquence 1 – FR10 1 © Cned – Académie en ligne I ntroduction La séquence

de compétences sur le marché du travail, et détermine de plus en plus l'accès à l'emploi et le genre d'emploi, lui-même fondement du statut social.  Conséquences : démocratisation du système scolaire : développement des maternelles, des Bourses d'Etudes, en 1959 la scolarité devient obligatoire jusqu'à l'âge de 16 ans, en 1975 apparaît le collège unique et aujourd'hui près de 70% d'une classe d'âge accède au lycée, alors que moins de 50% accédaient au collège dans les années 1960. Accès des classes

sentiment panthéiste : Et devant l'infini pour qui tout est pareil, Il est donc aussi grand d'être homme que soleil ! (Lamartine, Harmonies poétiques et religieuses) Cette vision peut également faire du poète un mage : l'infini est ainsi le centre du recueil d’Hugo, Les Contemplations. L'esprit s'arrête « éperdu au bord de l'infini », et accède aux vérités que lui révèle la nature en le dissimulant. La nuit La nuit est pour la sensibilité romantique une temporalité particulière qui favorise

Confédération générale du patronat 284 des petites et moyennes entreprises (CGPME) Contribution du Centre des jeunes dirigeants d’entreprise (CJD) 288 Contribution de la Confédération générale du travail (CGT) 291 Contribution de la Confédération française démocratique du travail (CFDT) 297 Contribution de l’UMP –  Le Mouvement populaire 302 Contribution du Nouveau Centre 307 Contribution du Front national 312 Contribution du Parti communiste français

primitive, p. 5.—Tradition africaine, p. 5.— Naissance de l’école, p 6.—Tradition littérale, p. 6.—Maîtres et élèves p. 7.—Tradition asiatique, p 7.—Tradition gréco-romaine, p. 8.—L’école et la Chrétienté, p. 8.—Éducation islamique, p. 9.—Modèle médiéval de l’Université, p. 9.—Avènement des temps modernes, p. 10.—La révolution industrielle, p. 10.—Exportation des modèles, p. 11.—Aux portes du temps présent, p. 12. Répères actuels Trois phénomènes nouveaux, p. 14.—L’éducation précède, p. 14.— L’éducation

médusés certes, mais aussi insatisfaits intérieurement. Il introduisit à un degré inégalé, la rationalité, la logique, la raison et le savoir, dans un environnement qui s'avéra des plus féconds, puisqu’il propulsa les Musulmans au zénith de la civilisation mondiale, alors que l’Europe sombrait dans un moyen âge, marqué par les ténèbres et la barbarie. Il exalta les mérites de la science et de la connaissance, les hissant au niveau des vertus morales les plus nobles. Et par dessus tout, il proclama

droit ». I. Legs de l’Antiquité : (Depuis le 11 septembre, nous vivons au jour le jour, on ne parvient plus à faire dans la durée). L’Antiquité est une période ample, durant laquelle il y a eu plusieurs expériences politiques à travers plusieurs civilisations. 2 expériences principales : - la cité influencent directe sur les sources du droit. - l’Empire 1° Chapitre : Legs politiques et sociaux. I) La cité : Invention grecque qui va être introduite par

empire : La Francie occidentale devient la France La Francie médiane ( ou Lotharingie ) constitue la Lorraine et le nord de l’Italie La Francie orientale devient l’Allemagne Plan : I. Origines du système juridique français II. Période médiévale III. Période moderne I. Origines du système juridique français. A. Antiquité Le droit français, comme tous les droits occidentaux, trouve ses racines les plus anciennes dans le droit romain. Le droit romain constitue chronologiquement la

§ 1. Les nécessités de la lutte de la classe ouvrière et les sciences sociales. § 2. La bourgeoisie et les sciences sociales. § 3. Le caractère de classe des sciences sociales. § 4. Pourquoi la science prolétarienne est-elle supérieure à la science bourgeoise ? § 5. Les diverses sciences sociales et la sociologie. § 6. La théorie du matérialisme historique en tant que sociologie marxiste. Chapitre I LA CAUSE ET LE BUT DANS LES SCIENCES SOCIALES. (CAUSALITÉ ET FINALITÉ

Giboux TRADITION, MODERNITÉ : UN ÉTERNEL RETOUR ? REMERCIEMENTS Ce recueil d’articles est issu du colloque qui s’est déroulé les 30 novembre et 1er décembre 2007 à la Maison de la recherche de l’Université Paris-Sorbonne et à l’École normale supérieure de la rue d’Ulm, grâce au soutien financier du CRLC et de l’École doctorale III de Paris-Sorbonne, ainsi que du CRéART-Phi de Paris Ouest Nanterre La Défense. Ma gratitude va tout particulièrement à Jean-Yves Masson pour la générosité et la bienveillance