Centre régional de lutte contre le cancer

moyen de voler les adhérents des mutuelles et de remplir les caisses d’assurance maladie (CNSS ,CNOPS ,ASSURANCES PRIVES) ; en face d’une couverture maladie et d’un panier de soins qui demeure faible et des soins de santé de mauvaise qualité ;par contre les ménages et assurés sociaux font de grosses dépenses sur leur budget pour se soigner ,soit au niveau de médicaments soit au niveau de diagnostic ou au niveau d’hospitalisation. Le remboursement des frais sont très dérisoires et misérables à la

familiales ; d'autre part, d'un grand décalage entre le déficit au niveau des logements pour les jeunes familles et du nombre de logements vacants dans les quartiers nord de Marseille. En réponse à cette problématique est né un projet d'hébergement, le Centre d'hébergement et de réinsertion sociale (CHRS), approuvé par la Direction Départementale d'Affaires Sanitaires et Sociales (DDASS) en 1986, destiné aux personnes de moins de 25 ans: en rupture avec les pratiques habituelles, l'association propose

métiers liés à l’évolution des nouvelles technologies d’information et de communication. - L’existence de plates-formes technologiques permettant l’épanouissement et le développement des métiers liés aux TIC (Technopark) - La création des centres d’appels. • Environnement Economique : Le secteur des télécommunications maintient le dynamisme observé ces dernières années en réalisant un chiffre d’affaires consolidé de plus de 22,6 milliards de DH en hausse de 10% par rapport à 2005

 Introduction PARTIE I : Dispositifs de lutte contre le blanchiment des capitaux Chapitre I : Dispositif international Section I :Le rôle des instances internationales I.I Les 40 recommandations du G.A.F.I I.II La mobilisation des nations unies contre le blanchiment des capitaux Section II : Mesures et actions des instances financières internationales II.I Rôles du F.M.I II.II Rôle des banques centrales Chapitre II : Dispositifs nationaux : cas du Maroc Section I : Droit

2008-2009 Université Paris 8 C.S.A.P. . d’A (Centres de Soins, d’Accompagnement et de Prévention en Addictologie) : A Utopies d’une d’une dépénalisation des usages de drogues ? Présenté par Gérard de Gardéazabal santé médicoMaster 2 Droit de la santé : Droit de la gestion des établissements de santé, sanitaires, sociaux et médico-sociaux Directeur de mémoire : A.LUNEL Remerciements Nous voulons ici remercier toute l’équipe de Paris 8 pour la qualité de son accueil (notamment

professionnels municipaux qui s’investissent chaque jour pour permettre aux retraités et aux personnes âgées de bien vivre leur âge à Dijon. Tous contribuent à faire fonctionner l’ensemble des services de la direction des retraités et des personnes âgées du centre communal d’action sociale de la ville de Dijon pour les milliers de personnes âgées qui en bénéficient. La ville met en œuvre, depuis longtemps, une politique spécifique à votre intention et adaptée aux besoins des retraités et des personnes âgées

rôle de l’Etat dans un contexte décentralisé. Le département : un rôle majeur. SOMMAIRE IV- Un enjeu majeur des politiques publiques : La question de la maltraitance A- Définition de la maltraitance B- Caractéristiques de la maltraitance C- Lutter contre la maltraitance a – recours au médiateur b – les outils de la loi du 02 janvier 2002 c – l’état de fragilité de la personne âgée D- Responsabilité pénale E- Vers la bientraitance I - COMPRÉHENSION DES NOTIONS UTILISÉES : VIEILLISSEMENT ET PERSONNE

la bonne administration du médicament 5. Les numéros d'autorisation de mise sur le marché ou d'enregistrement 6. Les propriétés pharmacologiques essentielles au regard des indications thérapeutiques 7. Les indications thérapeutiques et les contre-indications 8. Le mode d'administration et, si nécessaire, la voie d'administration 9. La posologie 10. Les effets indésirables 11. Les mises en garde spéciales et les précautions particulières d'emploi 12. Les interactions médicamenteuses

ANTICORPS: substance spécifique de défense synthétisée par l’organisme réagissant à un agent infectieux, qui agit en réponse directe à l’introduction d’un antigène. - SEROPOSITIVITE : après contact avec le virus, l’organisme va fabriquer des anticorps contre ce virus, à ce moment, on devient séropositif, les anticorps sont décelables dans le sang (entre 3 semaines et 3 mois après la prise de risque) - SIDA maladie : le virus va détruire les défenses immunitaires de l’organisme, au bout d’un certain

les malheureux, malades ou trop âgés ou les pélerins sur le chemin de Compostelle. Les institutions hospitalières sont ensuite de plus en plus surveillées par la Royauté. XIIe siècle et suivants : des établissements spécialisés sont créés dans la lutte contre la lèpre aux périphéries des villes. Dans son testament, Louis VII (1120-1180) fait des legs à 2000 léproseries. 1260 : Louis IX (Saint-Louis) fonde l’hospice des quinze-vingts. François 1er (1515-1547) : crée le Grand Bureau des Pauvres, qui avait