Céphalée

consommation de fruits et légumes souillés par la terre soit par la consommation de viande mal cuite soit par contact avec un chat porteur (notamment lors du changement de la litière). D/ Sémiologie La toxoplasmose se manifeste par de la fièvre, céphalées, vomissements, encéphalites (œdème, abcès cérébraux), déficits moteur, troubles sensitifs convulsionnels. E/ Diagnostic La visualisation par scanner ou par IRM de l’abcès avec un produit de contraste permet de poser le diagnostic. F/ Traitement

référence dans la prise en charge des formes graves de paludisme. Effets indésirables (Quinimax®, ...) • Sécrétion pancréatique d’insuline => hypoglycémie. • Convulsions à forte dose (lors des injections). • Cinchonisme : acouphènes, vertiges, céphalées, troubles de la vision, baisse de l'acuité auditive, nausées et diarrhées ; régression à la diminution des doses, nécessite rarement l'arrêt du traitement. • Photosensibilité ; allergie (prurit, urticaire, éruption cutanée généralisée, choc anaphylactique)

meilleure vue d'ensemble) Problème médical : HTA Traitement : Amlor® 5mg, inhibiteur calcique Posologie et voie d'administration : Per os, 1 gélule le matin Indication pour le patient : HTA Effets indésirables : Rougeurs, tachycardie, œdème, céphalées. Eléments de surveillance et réajustement : surveillance de la pression artérielle, du poids, des oedèmes. Normalisation et stabilisation des parametres vitaux. Problème médical : Risque thromboembolique Traitement : Calciparine®0.5 ml, héparine

à 100 mg chez l'enfant. -Antiagrégant plaquettaire à faibles doses : 75 à 325 mg/j chez l'adulte. -Inhibition de l'acide urique |-Troubles digestifs -Syndrome hémorragique -Allergies -Insuffisance hépatique -Baisse de l'acuité visuelle -Céphalées -Bourdonnements d'oreille - Troubles de l’hémostase -Potentialise l’effet anticoagulant des AVK et de l’héparine ainsi que l’effet hypoglycémiant des sulfamides antidiabétiques -Troubles de l’élimination de l’acide urique |Pré médication :

15 mg 1 à 2 bouffées sublinguales, à renouveler après 15 mn si TA systolique > 100 mmHg. □ Si TA systolique 210 mm Hg ou HTA sévère TA MINIMA > 120 mm Hg Signes d'intolérance : - Gêne respiratoire - Troubles de la vision - Céphalées pulsatiles permanentes - Obnubilation, troubles de l'équilibre. SOIGNER Si absence de signes d'intolérance : ( Contacter médecin traitant pour suivi médical (Organiser transport au cabinet du médecin. Si présence de signes d'intolérance

hémorragiquesPrévention AVC, embolie pulmonaire et thromboseGel-larmes1 goutte dans chaque œil le midi1 goutte dans chaque œil le soirTroubles visuelsInsuffisance de sécrétion naturelle de larmesJanuvia100mg le matinHypoglycémie, nausées, vomissements, céphalées, hépatite, pancréatiteSurveillance biologique du diabète, mesure glycémie capillaire, surveillance apparition hypoglycémieAntidiabétique, augmente sécrétion d’insulineLactulose10g/15mL le matinBallonnements, douleurs abdominales, nausées et vomissementsÉviter

athéromateuses ou signe de dissection. -Echographie cardiaque transthoracique : recherche cardiopathie emboligène. -Angiographie à résonance magnétique. Complications -Hypertension intracrânienne : se manifeste par des troubles de la conscience, céphalées, nausées, bâillements. -Vasospasme : réaction inflammatoire de l'artère au contact d'une hémorragie méningée. -Crises comitiales : peuvent aggraver le déficit focal, les troubles de conscience, les troubles de déglutition. -Trouble de la déglutition

la plante 111 111 Signes caractéristiques Sensations Modalités Signes concomitants Gelsemium • • • • • • • assoupissement, abrutissement courbatures, lourdeurs plénitude de la tête diplopie migraines précédées de troubles visuels céphalée occipitale arrêt imminent du coeur 112 112 Signes caractéristiques Sensations Modalités Signes concomitants Amélioration • par une abondante diurèse Aggravation Gelsemium • par les émotions • par les mauvaises nouvelles • par la

l'utérus gravide modifiant la courbure lombaire, et si le travail est en cours, des douleurs de contractions utérines peuvent gêner le maintien de la mère dans une position adéquate. Malgré l'utilisation d'aiguilles de petit calibre, l'incidence des céphalées reste non négligeable. Les parturientes ne doivent pas rester en décubitus strict du fait de la compression des gros vaisseaux (veine cave inférieure, et accessoirement l'aorte) par l'utérus gravide, provoquant alors une hypotension artérielle

Evaluation clinique d’un traumatisé crânien L’examen clinique d’un traumatisé crânien repose en priorité sur l’évaluation de l’état de conscience du patient = Score de Glasgow  Il recherche des éléments en faveur d’une hypertension intracrânienne :  céphalée (allant crescendo : patient conscient)  Vomissements ( en jets)  Il recherche des signes de souffrance cérébrale :  anisocorie ? ( = mydriase unilatérale)  En cas de Tc grave : recherche systématique de lésions associées ( abdomen – thorax –